
Les visées de la Dame Clinton, officiellement « chrétienne méthodiste » sur « l’Église catholique » (ou ce qui en tient lieu…)
Cave Ne Cadas
Publié le 22 octobre 2016
Les visées de la Dame Clinton, officiellement « chrétienne méthodiste » (1) sur « l’Église catholique » (ou ce qui en tient lieu…)
Ce texte sur la dame Clinton est important pour les catholiques …ou ce qui en reste.
Le lecteur se reportera au document en annexe : «L’ORGANISATION DE LA PERSÉCUTION DES CHRÉTIENS ET DES TRADITIONALISTES AMÉRICAINS : PROFIL DES CHOSES À VENIR.» pour comprendre que la persécution mondiale de ceux qui entretiennent des relations personnelles avec Jésus-Christ a commencé…
Hillary RODHAM CLINTON, née Hillary Diane RODHAM serait comme chacun ne le sait pas, d’origine juive Shepharade. (Elle se présente comme « franco-canadiennes, écossaises et françaises » par sa grand-mère maternelle).
Elle est la fille aînée de Hugh Rodham (1911-1993), d’ascendance galloise et anglaise, et de Dorothy Howell (1919-2011), d’ascendance anglaise, écossaise, galloise et franco-canadienne. Elle a deux frères, Hugh et Tony. Son père était un “républicain conservateur” et sa mère était “démocrate”. Son prénom est dû à l’admiration que vouaient ses parents à Sir Edmund Hillary, l’alpiniste néo-zélandais.
Dans son autobiographie Living Story, Hillary Rodham Clinton évoque les origines « franco-canadiennes, écossaises et françaises » de sa grand-mère maternelle, Della Murray. La famille de cette dernière était originaire de Nouvelle-France. Son arrière-arrière-grand-père Antoine Martin est par ailleurs né en France, dans le Perche, vers 1815, et a émigré de France en Haut-Canada (aujourd’hui Ontario) avant 1840. Elle grandit à Park Ridge, dans la banlieue de Chicago, nous dit Wikipedia.
On devrait se souvenir qu’elle vient souvent au Maroc se recueillir sur les tombes de ses ancêtres à Marrakech et près de Ouarzazate et y faire des pèlerinages en compagnie de sa fille.
Plusieurs copies de photos d’Hillary dans le cimetière juif de Marrakech (photos personnelles détenu par Jacky Kadoch responsable de la synagogue Gueliz de Marrakech – Temple Beth El Synagogue Henri Cadoch) sont connues.
D’autres ont été publié dans la brochure de Ouarzazate ou on la voit recevoir une Kasbah, sculpture miniature, des Ait ben Haddou ou se trouve justement un “saint” que les juifs du monde entier viennent honorer.
Révélation Wikileaks sur le camp Clinton.
Article rédigé par Alexandre Meyer, le 19 octobre 2016
[Source : Aleteia]
Un « Printemps catholique » ! L’Église aurait échappé de peu à une révolution idéologique progressiste… jusqu’à maintenant.
La troisième fournée d’e-mails livrée ces derniers jours par Wikileaks réserve une surprise de taille. Les fuites visent toujours le cercle le plus étroit des relations politiques d’Hillary Clinton, candidate démocrate à la présidence des États-Unis d’Amérique. Elles sont abondamment exploitées par l’équipe de campagne du candidat républicain Donald Trump et par de nombreux titres de la presse anglo-saxonne. Aux États-Unis, c’est un sujet. En France c’est le silence.
On y découvre que le plus proche et plus ancien collaborateur de Madame Clinton entend fomenter un « Printemps catholique » au sein de l’Église en y infiltrant des idées progressistes et révolutionnaires jusqu’à l’implosion. Parmi les milliers de courriers électroniques divulgués par l’équipe de hackers de Julian Assange, ceux du directeur de campagne d’Hillary Clinton n’en finissent plus d’alimenter la polémique. Ni commentés ni surtout démentis par le camp démocrate, ils trahissent par exemple le double langage de la candidate sur le contrôle des frontières ou la régulation de la finance. Tel un Janus aux deux visages, Hillary affiche sa fermeté sur ces points depuis le début de la campagne mais Mrs. Clinton tient des propos autrement plus libéraux devant son entourage. Il est nécessaire pour le personnel politique d’avoir parfois une position publique et une position privée assure-t-elle. Curieuse entorse aux principes démocratiques américains qui honnissent le parjure.
L’Église, « dictature médiévale » dans le viseur
Un e-mail montre ainsi un activiste de gauche et le bras droit d’Hillary Clinton discuter avec désinvolture de cette « révolution » qu’ils entendent fomenter au sein de l’Église catholique.
L’intitulé du courriel envoyé à John Podesta est sans équivoque : « Lancement d’un printemps catholique ? Le rêve ». Il est signé Sandy Newman, président fondateur de l’organisation progressiste à but non-lucratif Voices for Progress, ancien employeur et ami intime du président Obama. « Il doit y avoir un printemps catholique, où les catholiques eux-mêmes exigeraient la fin d’une dictature moyenâgeuse et l’arrivée d’un peu de démocratie et de respect de l’égalité des sexes (gender equality) dans l’Église catholique. »
Sandy Newman, qui est de confession juive, admet ne pas savoir grand-chose de l’Église catholique et ne se déclare pas prêt lui-même à mener cette campagne de subversion de la doctrine catholique. « Même si l’idée n’est pas folle, je ne suis pas qualifié pour y participer et je n’ai pas pensé du tout à la façon dont on pourrait planter les graines de la révolution, ou qui serait à même de les planter. »
John Podesta le rassure et lui demande de s’en remettre à lui et à ses amis qui ont déjà créé les organisations explicitement conçues pour infiltrer l’Église catholique avec leur idéologie progressiste. Mais il le prévient que le moment n’est pas idéal pour la révolution totale — du moins pour l’instant.
« Nous avons créé l’organisation Catholics in Alliance for the Common Good pour faire advenir cette heure. Mais nous manquons de commandement (leadership) pour agir tout de suite. De même concernant les Catholics United. Comme la plupart des Printemps, je pense que celui-ci fonctionnera de la base vers le sommet », écrit-il.
Les catholiques traités en parias
La conversation révèle en outre le mépris des progressistes radicaux pour les catholiques et l’Église. Lundi dernier, WikiLeaks publiait de nombreux e-mails traduisant les moqueries des cadres démocrates envers les catholiques conservateurs. L’universitaire John Halpin, du Center for American Progress (un think-tank démocrate), envoyait à Podesta en 2011 un e-mail d’une rare violence à l’encontre du patron de l’époque de la chaîne Fox-News, dénigrant sa foi catholique : « C’est un abâtardissement incroyable de la foi ».
John Halpin n’est pas tendre lorsqu’il s’épanche sur les catholiques devant Podesta et Jennifer Palmieri, directrice de la communication de la campagne Clinton. « Ils sont attirés par une pensée systématiquement et sévèrement rétrograde sur le sujet des rapports entre les sexes (gender relations) et ignorent totalement toute idée de démocratie chrétienne. » Et la directrice de campagne d’acquiescer : « Je suppose qu’ils s’imaginent que leur religion est la plus conservatrice qui soit politiquement et socialement acceptable. Leurs amis riches ne comprendraient pas qu’ils deviennent évangéliques ! » Le professeur Halpin approuve : « Ils peuvent toujours jeter par-ci par-là leur pensée thomiste et leur principe de subsidiarité pour paraître sophistiqués, personne ne comprend foutre rien à ce dont ils parlent ».
Une insulte dirigée contre des millions de personnes
Le président de la Chambre des Représentants [la chambre basse du Parlement américain, ndlr] Paul Ryan, élu républicain du Wisconsin, a dénoncé des commentaires « stupéfiant ». « Dénigrer l’Église catholique comme sévèrement rétrograde (severly backwards) est une insulte dirigée contre des millions de personnes à travers le pays » a déclaré le fervent catholique dans un communiqué cinglant. « À tout le moins, ces déclarations révèlent l’attitude hostile de la campagne de Clinton envers les gens croyants en général. »
« Les Américains croyants devraient prendre tout cela en sérieuse considération et décider si ce sont les valeurs que notre prochain président doit porter. Si Hillary Clinton continue d’employer des personnes aux vues si partiales et sectaires, nous saurons clairement où se situent ses priorités » a-t-il ajouté.
Les chevaux de Troie de la révolution
L’organisation Catholics in Alliance for the Common Good (CACG) a été fondée par Tom Periello en 2005. À son conseil d’administration siège Fred Rotondaro. L’un et l’autre sont des compagnons de route du Centre for American Progress, fondé par… John Podesta. Rotondaro appelle régulièrement à l’ordination des femmes ou bien affirme que les « amours homosexuelles viennent de Dieu ».
Catholics United fut fondée en 2005, par deux activistes démocrates : Chris Korzen et James Salt. L’organisation a condamné les évêques qui refusaient de distribuer la communion aux hommes politiques soutenant l’avortement. Elle dénonce régulièrement les « tentatives honteuses d’utiliser les sacrements catholiques en tant qu’arme politique ».
Sur Hillary, voir aussi les « Courriels et extraits choisis : le plus intéressant sur Wikileaks » :
annexe
L’organisation de la persécution des chrétiens et des traditionalistes américains :
profil des choses à venir*.
« Mais, avant tout cela, on portera la main sur vous et l’on vous persécutera ;
on vous livrera aux synagogues, on vous jettera en prison, on vous mènera
devant les rois et devant les gouverneurs à cause de Mon Nom… » Luc, xxi, 12
« Vous serez livrés même par des parents, des frères, des proches et des amis
et ils feront mourir plusieurs d’entre vous. » Luc, xxi, 16
« Vous serez haïs de tous à cause de Mon Nom. » Luc, xxi, 17.
« Si le monde a de la haine pour vous, sachez qu’il M’a haï avant vous. » Jean xv, 18.
La persécution mondiale de ceux qui entretiennent des relations personnelles avec Jésus-Christ a commencé. Aujourd’hui, les chrétiens constituent le groupement le plus largement haï et persécuté de la planète. Les marxistes exécutent les chrétiens de la Corée jusqu’à Cuba en passant par les anciens pays soviétiques et les goulags chinois jusqu’en Angola et au Mozambique. De leur côté, les musulmans persécutent les chrétiens d’Arabie saoudite et de Libye, de l’Algérie au Pakistan sans oublier le Soudan où deux millions de chrétiens soudanais furent liquidés au cours de la dernière décennie. Les animistes, religion dominante en Afrique, agités par les nuées de sorciers et de devins excités contre les Blancs et les Noirs chrétiens les sacrifient en masse.
L’Encyclopédie du monde chrétien déclare que les chrétiens sont persécutés ou liquidés peu à peu dans plus de deux pays mondiaux sur trois. Ils subissent toutes les tortures et privations possibles allant de la perte de la liberté de circuler jusqu’au confinement dans les prisons avec, en plus, l’interdiction de pratiquer leur foi. L’encyclopédie note ce que les journaux ne jugent pas utile de publier ceci à savoir que plus de 30 % des chrétiens du monde n’ont aucune liberté politique ni civile ; 25 % vivent sous des régimes ouvertement antichrétiens ; 30 % en plus vivent sous des régimes résolument athées et 17 % dans des pays où ils sont combattus sévèrement par les bastonnades publiques, la confiscation de leurs biens, l’emprisonnement ou l’exécution.
En Amérique, la situation n’est pas meilleure et les chrétiens sont la cible permanente des groupes et organisations homos, des pratiquants de l’avortement, des mouvements féministes radicaux, de l’industrie de la pornographie, de l’industrie de la télé et du cinéma, des juges libéraux, de la bureaucratie gouvernementale, des têtes pensantes de l’académie, des groupements occultes et athées et par les gauchistes et les politiciens de la droite molle. La pression s’accroît contre les groupes chrétiens et les chrétiens eux-mêmes, contre leur liberté d’expression, d’association et de rassemblement, contre leurs croyances, leur enseignement, et des actions sont en permanence exercées par le gouvernement et le pouvoir judiciaire américain de plus en plus libéral et donc hostile et antichrétien.
Même le télé-évangéliste Pat Robertson* s’en est aperçu : « Certaines lois du Congrès, signées par le président des États-Unis, sont soutenues par toute la puissance du FBI* et du département de la Justice. Le moment est venu où, en Amérique, le gouvernement fédéral partira à la chasse aux chrétiens et les traînera en justice parce qu’ils osent protester contre les massacres des enfants à naître, contre le soutien gouvernemental aux pratiques homosexuelles. Au lieu que ce soient ceux qui transgressent la loi de Dieu qui sont jugés comme des criminels, ce sont ceux qui la suivent et la soutiennent qui sont combattus comme des ennemis de l’État ». Comme on l’a dit mille fois par le passé et comme on le reconnaît finalement aujourd’hui ceux qui suivent la Bible, les chrétiens évangélistes* ou fondamentalistes sont la proie des humanistes séculiers, des socialistes de toutes les tendances, les homos, les avorteurs et de ceux qui soutiennent l’avortement, par les femelles de la libération sexuelle, par les médias aux ordres et par les socialistes toutes tendances confondues. Ils haïssent autant les chrétiens que les empereurs romains, les Hitler, Lénine, Staline, Mao, Pol Pot ou Castro les ont haïs, les voyant comme un obstacle à la réalisation de leur vision séculière, socialiste, contrôlée, globaliste, de l’Amérique de demain.
Les médias libéraux ont entrepris, avec l’aide de l’industrie du film et de la télé, leur campagne de salissement contre les chrétiens tradis, provie et surtout leur enseignement, de les faire passer pour des cultistes dangereux, homophobes, étroits d’esprit, bigots, peu éduqués, aisément mobilisables, fanatiques censeurs, intolérants religieux, grands organisateurs d’autodafés, semeurs d’intolérance et de peur ou même pour des rats (dans les bandes dessinées de Pat Oliphant Trad.) et aussi dangereux que le Ku Klux Klan, les nazis et les hezbollahs réunis.
Actuellement, celui qui défend les idées chrétiennes et la moralité biblique devient la cible de leurs attaques malsaines. On constate, chez ceux qui les attaquent et qui appartiennent aux médias, l’industrie des loisirs, aux académies, au gouvernement et au pouvoir judiciaire une haine incroyable très peu “politiquement correcte”.
La chasse aux chrétiens en Amérique
En Amérique, la « chasse aux chrétiens » est ouverte toute l’année. On peut tirer à vue, impunément sur les chrétiens et les traditionalistes. Cela est devenu un sport national. Le livre blasphématoire de Gore Vidal, Live* from Golgotha, qui montre entre autres énormités saint Paul et Timothée représentés par un couple d’homos. L’auteur ne manque pas de faire remarquer que le christianisme fut « le plus grand désastre qui frappa l’Occident ». À Broadway (New York City) on a présenté une pièce de théâtre, Corpus Christi, mettant en scène Jésus et Judas représentés par deux homosexuels s’embrassant sur la bouche et très lié sexuellement avec un bon nombre de ses disciples.
À la télé et au cinéma les chrétiens sont, le plus souvent, représentés comme des bigots, des censeurs, des intolérants, des étroits d’esprit, des hypocrites, des idiots, des charlatans, des violeurs, des assassins, des cannibales, des menaces potentielles pour la liberté et le mode de vie des Américains.
On voit tout ceci notamment aux heures de plus grande écoute comme par exemple Showtime, dans le film Flight of the Black Angel qui met en scène un pilote de l’USAF*, qui est un chrétien fondamentaliste, qui est atteint brusquement de la folie du meurtre, massacre sa famille et quelques copains d’escadrille. Puis il imagine de nettoyer Las Vegas avec une bombe nucléaire tactique. Il s’en justifie en prétextant qu’il ne fait qu’accomplir la volonté de Dieu : «Tout sur Terre doit être détruit*… J’apporte la lumière du ciel aux malades, aux impurs, aux corrompus, aux menteurs…».
De son côté Don Feder, éditorialiste connu et Juif orthodoxe déclarait en avril 1993 (en 1993 !) sous le titre : « Le massacre des chrétiens a commencé en Amérique et atteint déjà des sommets. » :
« Les chrétiens blancs sont presque la seule cible possible qui reste… Le massacre est en cours et dans ses grandes lignes consiste à
1/ ridiculiser les conservateurs chrétiens comme étant arriérés et moutonneux *,
2/ suggérer qu’il y a quelque chose de sinistre à propos des idées politiques basées sur des standards anciens et immuables,
3/ impliquer que le clergé chrétien abandonne ses droits constitutionnels dès qu’il porte un col romain ou une soutane ».
Comme ils s’astreignent à la chasteté, à la fidélité, à l’hétérosexualité, les chrétiens sont souvent dépeints par les médias et l’industrie des loisirs comme des bigots à l’esprit étroit. Au cours de toutes les manifestations concernant l’avortement ou la libération sexuelle, les gays et les féministes hystériques scandent : « Racist, Sexists, anti-gay/Born-again bigots go away*« .
On se souvient de l’époque où le célèbre dessinateur de gauche Pat Oliphant dessinait des bandes pour son journal où des rats symbolisaient des groupes chrétiens tirant derrière eux un gros éléphant républicain à l’intérieur d’une mission chrétienne par une entrée rappelant celle du camp d’Auschwitz sur laquelle on lisait « Jésus sauve* ». Tout le monde pouvait reconnaître dans le dessin un parallèle entre les bandes dessinées du journal et ce qui se passait en Allemagne au cours des années 30’. La campagne de haine anti-chrétienne actuelle en Amérique ressemble de plus en plus à celle que les nazis menèrent contre les Juifs à cette époque. Celui qui porte le drapeau de l’attaque contre le christianisme en Amérique est le magazine Newsweek par ses stéréotypes, ses allusions, ses exagérations, ses attitudes biaisées antichrétiennes présents dans presque tous ses articles. On se souvient que le numéro du 14 septembre 1996 portait sur sa couverture le titre Gay Under Fire et dans l’éditorial duquel il blâmait les « droits religieux », épithète malsonnante adoptée par les gauchistes pour dénigrer les chrétiens qui s’opposaient à la lutte des gays américains pour l’acceptation de leur mode de vie. Newsweek en profitait pour blâmer les chrétiens pour leur bigoterie contre les homosexuels maltraités dans leur lutte pour obtenir un traitement normal sous le prétexte de croyance découlant de la Bible.
En mars 1993, un autre article de Newsweek était paru où l’on comparait l’influence croissante des chrétiens de Colorado Springs à celle des musulmans de La Mecque et vilipendait les habitants de la ville pour avoir mené une “campagne de haine” contre les homos de la ville. Là encore, l’inférence était évidente. Dès que les chrétiens se réunissent pour manifester, c’est de la haine, de la bigoterie et même de la violence en puissance.
Actuellement, les médias imprimés, électroniques ou vidéos se réfèrent en permanence aux chrétiens comme étant haineux, violents, bigots, préjudiciables, homophobes, antigays, ayatollesques et se réfèrent à leur religion comme à une contagion droitesque. Ted Tumer qualifie les chrétiens en général et ceux qui manifestent pour les droits la vie de bozos ou d’idiots.
La presse aux ordres a déjà organisé son plan de bataille et classe les chrétiens en trois catégories : les chrétiens catholiques, les fondamentalistes, les pentecôtistes forcenés.
1/ Le “catholique” * est dépeint comme un neurotique, paranoïaque timide, obsédé par des pratiques superstitieuses qui ressemblent plus à de la sorcellerie qu’à une pratique religieuse. La version féminine est considérée comme timide, nerveuse contrairement à son mâle qui est agressif, belliqueux, émotionnel et perpétrateur de crimes horribles et organisateur de messes noires.
2/ Le chrétien fondamentaliste est le plus néfaste des chrétiens au moins sur les toiles d’écrans. Le stéréotype est celui d’un mâle blanc, raciste, bigot, chauvin, ignorant, hypocrite, mauvais ou correspondant à certaines combinaisons de ces traits particuliers. On ne manque pas, dans la musique rock, dans les films, la télé, de portraiturer le fondamentaliste comme le perpétrateur des plus horribles crimes maintenant extérieurement une allure et un comportement d’homme pieux plein de religiosité et de bonne conscience.
3/ Le chrétien pentecôtiste est toujours représenté comme un maniaque homicide et dérangé de la tête qui « parlant des langues* » ou explicitant ses rêves, commet tous les crimes imaginables y compris le meurtre, l’inceste, le viol et le démembrement de ses victimes.
On ne peut contester qu’actuellement en Amérique les musiciens de rock ou de rap, les comiques d’estrade ou de scène, les auteurs de scripts de films de cinéma ou de télé, les présentateurs de radio de tous poils, les journalistes, les écrivailleurs gauchistes ont accepté cette classification, la suivent étroitement (complot, vous avez dit complot ?) et persécutent toujours les chrétiens de ces trois groupes comme des dingues, des bigots, des hypocrites et des cultistes dangereux.
En plus, tout ce joli monde du spectacle s’en prend maintenant aux ministres du culte, aux “prêtres”, aux nonnes, aux laïcs de l’entourage des “Églises” comme des criminels horribles, amateurs de drogues et de sexe, pratiquant la pédophilie, démembrant leurs victimes tout en récitant la Bible et en priant Dieu. La totalité des fabricants de films d’Hollywood tend à présenter le chrétien comme un rigolo, facile à haïr, contre lequel on se sent de suite mal à l’aise. Tout cela semble des généralités un peu trop vagues mais on peut également se faire une opinion en passant à l’examen des faits.
The Runner Stumbles. (1979) avec Dick Van Dyke, un jeune “prêtre” qui tombe amoureux d’une jeune fille et qui se retrouve aux assises. (Affaire du “curé” d’Uruffe ?)
Monsignore. (1982) Histoire d’un “cardinal” débauché qui réussit à séduire une nonne et se retrouve également devant une cour d’assises. Mais le “cardinal” est puissant : il tient la banque et sert de liaison avec la mafia et le “pape” est au courant et ne dit rien. (Affaire du “cardinal” Marcinkus qui a donné lieu à un livre : Monsignore).
Agnès de Dieu. (1985) Jane Fonda est une jeune nonne qui donne naissance à un enfant illégitime dans un couvent. Elle le tue et jette son corps dans les toilettes. Le film est bardé de sous-entendus et d’attaques anti-catholiques, pro-féministes, pro-avortement et tente de démontrer l’inanité de la position “catholique” sur les vœux religieux et leurs conséquences.
The Penitent. (1988) Paul Julia tient le rôle d’un fermier de l’État du Nouveau-Mexique qui rejoint un culte “catholique” primitif et brutal qui sacrifie une victime humaine en la crucifiant avec le maximum de sang, de coups douloureux et bruyants et de visions quasi religieuses. Comme le dit l’article sur le film paru dans Medved : « La désacralisation de la crucifixion, la messe, le culte, le prêche et le baptême sont les thèmes préférés des entreprises hollywoodiennes ».
Crimes of Passion. (1984) Anthony Perkins tint le rôle d’un « évangéliste doux, vénérant la Bible qui fréquente les cinémas classés X et qui tombe amoureux d’une cleptomane qu’il finit par tuer au cours d’un meurtre sexuel grotesque afin de sauver son âme ».
The Handmaid’s Tale. (1990) Robert Duval et Faye Dunaway tentent de persuader les spectateurs de ce que deviendrait l’Amérique si les fondamentalistes chrétiens arrivaient au pouvoir en Amérique… Ces zélotes religieux sont nettement moins sympathiques que les nazis… leur gouvernement théocratique décide d’instaurer des politiques génocidaires contre les minorités ethniques, interdit les livres qui ne diffusent pas le message biblique… rassemble des foules pour assister aux pendaisons ou aux tortures et utilise la force brutale pour faire appliquer toutes les lois de la Bible, même les plus obsolètes. Les évangélistes mauvais qui gouvernent le pays ne sont même pas sincères dans leur fanatisme qui fréquentent les maisons de passe qu’ils dirigent secrètement.
The Rapture. (1991) Une fille un peu dérangée habituée aux rencontres sexuelles de groupe devient soudain chrétienne. Sa foi ardente et nouvelle la mène dans le désert avec sa fille de six ans afin d’être ravie comme il est dit dans le Livre. Le ravissement ne venant pas, elle sacrifie sa fille en invoquant le Seigneur Dieu.
At Play in the Fields of the Lord. (1991) Comme le dit Medved « aucune foi n’est épargnée ». En plus des missionnaires protestants psychopathes, introvertis, agités, exécrables et étroits d’esprit, les personnages représentent un “prêtre” “catholique” cynique qui sent le dingue et un mercenaire juif alcoolique, amateur de filles de joie tatoué jusqu’aux yeux qui étale orgueilleusement ses propres souvenirs de sa bar mitzwah.
Guilty as charged. (1992) Rod Steiger joue le rôle d’un tueur maniaque qui est en même temps un fanatique chrétien… Il emprisonne de pauvres âmes dans son donjon personnel et les exécute un par un sur une chaise électrique de sa fabrication décorée de motifs religieux… Pendant que ses victimes cuisent doucement Steiger clame de tous ses poumons : « Nous louons le Seigneur du ministère de l’Eau et de l’Électricité ! Le Saint-Esprit est l’électricité et cette chaise est l’instrument divin de justice et de salut ! ».
Priest. (1995) Ce film de la société Walt Disney (vendue au Juif Eisner) met en scène un “prêtre” pédéraste, satisfait de son sort et vivant au vu de tout le monde avec son majordome, un “prêtre” alcoolique, un “évêque” pitoyable et une jeune gamine dont le père abuse régulièrement, tous emballés par la doctrine chrétienne qu’ils accommodent chacun à sa manière.
Il existe des centaines de ces films débiles qui n’ont d’autre but que de massacrer le christianisme et les chrétiens. La place manque pour les nommer tous et on ne peut pas savoir ceux qui seront sélectionnés pour être présentés en Europe. On peut citer également The Quick and the Dead (1995) dans lequel on démontre l’inanité de Dieu et de la foi d’un “prêtre” ; Allien 3 (1992) où on démontre que les chrétiens re-nés dans le monde à venir ne sont que des criminels violents et des violeurs potentiels ; Star Treck V : The Final Frontier où Dieu est représenté comme un être mauvais et toutes les religions comme ayant été fabriquées par l’homme, raisons pour lesquelles ces deux notions n’auront bientôt plus de signification, Johnny Mnemonics (1995) qui montre la nature maléfique d’un prédicateur qui a pris l’habitude de tuer les gens à coups de crucifix ; Cape Fear où Robert de Niro joue le rôle d’un “prêtre pentecôtiste”, au dos tatoué d’une immense croix, qui a la particularité d’être tueur et violeur. Accessoirement, ce chrétien pentecôtiste « tire sur la pipe » (fume l’opium), tente de séduire les petites filles, viole une femme et entreprend de la « consommer » (japonaisement ?), réussit des meurtres en série et finalement, meurt noyé dans une tombe pleine d’eau dans un délire polyglotesque.
On se rappelle le scandale qu’avait causé la projection partout en Europe du tristement célèbre The Last Temptation of Christ (La Dernière Tentation du Christ) produit par RCA en 1988 qui montrait un Christ homosexuel, amateur de plaisirs charnels et possédé du démon.
« Les chrétiens sont le seul groupe spécifique, écrit Don Feder, que l’on peut offenser impunément, la seule croyance qu’Hollywood peut insulter. Le clergé, depuis les prédicateurs évangélistes jusqu’aux moines catholiques, sont représentés systématiquement comme des hypocrites, des camelots, des sadiques et des débauchés. On tourne en ridicule tous les fondements chrétiens. »
Alors qu’Hollywood continue à dépeindre les chrétiens pratiquants et quelquefois les Juifs pieux comme des fous hypocrites, des fanatiques, des violeurs, des tueurs en masse, des cannibales, la télé ne traite pas mieux les croyants.
Les mêmes remarques sont valables pour toutes les séries des téléfilms présentées aux heures de grande écoute que ce soit dans les films, la musique rock ou rap. La chasse est ouverte, contre les chrétiens, en permanence.
Visions antichrétiennes
Des diatribes antichrétiennes et des stéréotypes laborieusement ciselés dans les officines du complot antichrétien se retrouvent en permanence et avec un ensemble étonnant à la télé, au cours des journaux télévisés, dans toutes les “musiques” modernes. On y ridiculise le Christ, les chrétiens, les “prêtres”, les pasteurs, la Bible, la crucifixion, quand on ne les brouille pas avec du sexe de bas étage ou avec des histoires gays tout en les assortissant de compléments sadiques. Madona a déclaré au magazine Spin « Les crucifix sont sexies parce qu’on y voit un homme nu dessus ».
Robert et Linda Lichter, patron de Mednev, Center for Media and Public Affairs, conduisirent une étude sur 104 des écrivains de télévision les plus connus et des producteurs et personnels de direction qui confirma leurs dispositions libérales et antireligieuses. Qu’on en juge :
— 93 % déclarèrent qu’ils n’assistaient que rarement, voire pas du tout, à des services religieux ;
— 73 % se déclarent gauchistes ou de centre gauche politiquement ;
— 14 % se déclarent du centre ou de la droite politique ;
— 97 % étaient pour l’avortement de convenance ;
— 80 % ne voient rien de mal dans les pratiques homosexuelles ;
— 5 % pensent que « l’homosexualité est un mal » (la Bible dit qu’elle est une abomination devant Dieu)
…mais 49 % pensent que ce n’est pas forcément un mal ;
— 17 % pensent que les liaisons extramaritales sont un mal.
Et voilà un aperçu de la mentalité de ceux qui fabriquent des films qui sont vus dans le monde entier ! et qui lessivent 7 heures par jour (7 heures par jour !) les cerveaux des Américains et 4 heures ceux des Européens. Et pendant ce temps-là, aux heures de grande écoute, la télé continue à dépeindre les chrétiens comme étant des mécréants, des puritains tristes, des antiféministes sexuellement insatisfaits et des fanatiques dangereux.
On pourrait dire : «Bon, ne regardez pas ces films, ne regardez pas la télé, ou n’écoutez pas telle musique nocive après tout comme chantent les enfants : Sticks and stones can brake my bones, But words can never hurt me, mais cela n’est pas vrai : ce que font ces véhicules de la propagande antichrétienne c’est changer le mode de penser et de vivre de dizaines, voire de centaines de millions de gens sur ce qu’ils pensent des chrétiens et des valeurs chrétiennes qu’ils défendent.
Ils sont arrivés à faire accepter l’antichristianisme, rendre acceptable de le biaiser ou de le haïr. De plus, le cinéma américain et la pop et le rap ne s’adressent pas qu’aux Américains. Cette manœuvre touche des milliards d’individus dans le monde et réussit à créer un consensus global antichrétien dans le monde entier.
L’attaque des chrétiens dans le domaine légal
Depuis quarante ans au moins la gauche politique américaine a travaillé incessamment pour s’emparer de nos institutions légales en commençant par les lois sur l’école dans les années 50 et 60 et maintenant de tout le système légal et judiciaire à tous les niveaux.
Actuellement, tous les juges et la plupart des législateurs sont des hommes de loi et la plupart de ces hommes de loi ont été formés dans des facultés de droit qui sont libérales, séculières et humanistes, qui traduisent la Constitution en des termes propres à l’humanisme séculier, favorisent la création d’un gouvernement puissant, centralisé, évolutif et freudien, ennemi de la philosophie de la vie et même du christianisme.
C’est la raison pour laquelle, au cours des 30 dernières années, le système légal, dans sa philosophie générale, s’est déplacé, contre les chrétiens et la vision chrétienne des valeurs bibliques par la suppression de la prière à l’école et dans de nombreuses manifestations chrétiennes de la vie publique, la légalisation du meurtre des enfants à naître (en Amérique 40 millions depuis 1973), l’expansion de la définition de l’abus sur les enfants y compris la fessée ordonnée par la Bible, la création de droits spéciaux et la protection des entreprises des homosexuels, l’expansion de la définition du harcèlement sexuel, le sapement de l’autorité parentale, la légalisation favorable du porno, l’apprentissage, à l’école, des modes de vie alternatifs sans compter les entreprises en cours de réalisation.
De nouvelles initiatives légales sont en effet à l’étude dans les cercles pensants de la gauche caviar qui finiront un jour par mettre les chrétiens et les traditionalistes en position d’opposition avec les directives gouvernementales. Elles comprennent actuellement de nouvelles mesures toutes orientées à l’opposé des habitudes ou modes de vie chrétiens :
1/ l’euthanasie,
2/ le mariage homo,
3/ l’augmentation des pouvoirs gouvernementaux notamment la mainmise du gouvernement sur l’éducation totale des enfants et sur les orientations de carrière comme décrites par Hillary Clinton dans son livre It Takes a Village,
4/ le suivi électronique et informatique des enfants de la naissance à la mort,
5/ une nouvelle série de lois contre les crimes de haine interdisant notamment la critique de l’homosexualité ou de l’avortement,
6/ l’imposition de quotas d’homosexuels dans toutes les entreprises publiques et privées,
7/ une nouvelle législation antiterroriste dirigée contre les droits des citoyens à défendre leur vie et leur famille,
8/ une série de dispositions empêchant de critiquer le gouvernement, de prier en public, de se réunir pour manifester et quelques autres interdictions encore à l’étude.
De nombreux chrétiens pratiquants auront des problèmes à survivre au sein de cette réglementation dans la plupart de leurs initiatives habituelles conformément à la législation actuelle et à venir. C’est pour cela que le système américain et le mode de vie chrétien ou traditionnel sont actuellement sur deux voies convergentes grosses de collisions futures. Plus les chrétiens s’opposeront aux mesures anti-bibliques et inconstitutionnelles prises par le gouvernement, plus ils seront isolés, vilipendés, marginalisés, ostracisés et, à la fois, désignés à la persécution par la structure libérale en place et le nouveau consensus antichrétien. Ce schéma est très exactement celui qui fut adopté par les nazis contre les Juifs allemands dans les années 30’.
La véritable tragédie est que les libéraux furent en mesure, grâce à la faible opposition des conservateurs et des chrétiens, de coopter le système judiciaire dans leur effort pour supprimer les idées religieuses. Depuis 1988 au moins, la plupart des juges se sont révélés comme les saints patrons de l’industrie américaine de l’avortement par leurs décisions restreignant les manifestations et protestations des groupes provie, les droits à manifester, à s’exprimer et à minimiser des activités religieuses à l’extérieur. On assista alors à une véritable mobilisation de la justice contre les chrétiens qui furent traînés devant les juges, condamnés à payer de lourdes amendes, eurent leurs biens saisis, furent emprisonnés pour n’avoir pas obéi aux juges et s’être agenouillés, avoir prié et chanté des hymnes religieux, distribué des bibles ou des tracts religieux. Cette période a vu la négation la plus odieuse de nos droits humains civils depuis la guerre civile des précédentes générations.
L’attaque légale contre la liberté d’expression
Ce furent les juges qui, au cours des dernières décennies, s’attaquèrent aux valeurs chrétiennes par leurs jugements, ordonnances, interdictions et injonctions afin d’empêcher les chrétiens d’exercer leur liberté d’expression garantie par la Constitution : prier, posséder et montrer des bibles, mentionner Dieu en public ou exposer des croix à l’extérieur des lieux de culte ou même prier dans une salle d’audience qui valut à un malheureux chrétien 30 jours de prison administrés par un juge de New York.
Au cours du procès fait à des démonstrateurs provie arrêtés à Buffalo, NY, le juge Sherwood L. Bestry ordonna aux manifestants en prière d’évacuer la salle d’audience et les abords du palais de justice sous peine de trente jours d’emprisonnement. Le juge pensa que ces démonstrations de prières publiques étaient « dégoûtantes et qu’il ne tolérerait aucune manifestation religieuse y compris l’habit de clergyman ni dans la salle d’audience ni aux environs immédiats ».
Comme le souligne Paul Schenck dans son livre excellent The Extermination of Christianity : « Le juge Bestry et l’interdiction qu’il a prononcée contre la prière est un exemple de la même nature et de la même évasion légale qui se manifeste partout dans l’action de la justice sous forme de limitations de libertés, de décisions ou d’ordres qui sont intervenus contre cette manifestation des libertés américaines considérées, il fut un temps, comme sacro-saintes. En fait, utilisant leur énorme pouvoir, les juges “politiquement corrects” ont notablement restreint les droits des chrétiens et autres groupes religieux.
Dans le pays on note une tendance croissante de la part des organismes, groupes ou industries sécularisés de s’en remettre à la justice pour restreindre au maximum l’expression religieuse en public. Par exemple, un juge fédéral de Houston, Texas, statue en faveur d’un groupe pro-avortement en émettant un jugement interdisant les prêches, les chants, les témoignages, les distributions de bibles et de tracts en public et autour de la clinique d’avortement. De pareils jugements furent également prononcés à Atlanta, Georgie ; Wichita, Kansas ; Buffalo, État de New York.
Et c’est ainsi que, dans l’Amérique d’aujourd’hui et le monde de demain, les cours de « justice » en sont venues à nier aux chrétiens leurs droits fondamentaux constitutionnels quand ils interdisaient la possession ou la distribution de bibles et de tracts religieux, les témoignages et les prières publiques, et prononcent de lourdes amendes pour la violation de leurs directives. Et ces violations des droits constitutionnels américains s’accroissent d’année en année sans que les Américains semblent même vouloir en prendre conscience. Ils ne veulent même pas voir qu’aucun des autres groupes, pourtant plus menaçants pour la santé de la société, qui fourmillent en Amérique : les homos, les féministes excités, les Afro-Américains haineux, les Hispaniques révolutionnaires et sécessionnistes, les musulmans imperméables au mode de vie occidental, les Juifs athées, les sorciers, les satanistes et bien d’autres, n’est contrôlé et combattu de cette manière. Seuls les chrétiens ont à craindre de leur justice.
L’action antichrétienne et antinationaliste de l’ACLU American Civil Liberties Union

Les plus grands ennemis de la vraie Liberté Religieuse sont l’American Civil Liberties Union (ACLU) et Américains Unis pour la séparation de l’Église et de l’État (AU).
L’ACLU a été fondée en 1920 pour être le bras armé de la gauche politique en Amérique et, à partir de cette date, a mené une action de harcèlement contre les chrétiens et leurs valeurs, leurs symboles et leurs pratiques. On ne s’est pas souvenu à l’époque que l’ACLU avait été fondée à l’origine comme un BCO, Bureau of Conscience Objectors fondé, lui, en 1918 par Roger Baldwin condamné à la prison pour sédition. On peut noter que dans ses déclarations premières l’ACLU prétendait défendre les libertés américaines d’expression, de presse, d’association, mais on vit bien qu’en fait l’ACLU ne faisait que protéger les gauchistes de leurs coupables entreprises.
De nombreux membres de l’ACLU, en plus de Baldwin, y compris William Foster, Elisabeth G. Flynn, Louis Budenz et quelques autres étaient également des membres éminents du PCA, Parti Communiste Américain. Actuellement, l’ACLU compte plus de 250.000 adhérents et entretient 70 hommes de lois plus 5000 attorneys* menant de front plus de 6000 affaires en justice et disposant d’un budget de 14 millions de dollars. Actuellement, le programme de l’ACLU comprend la définition, le soutien et la mise en œuvre de mesures susceptibles de mettre fin à l’activité chrétienne en Amérique et notamment tente d’introduire les restrictions suivantes :
— interdire les chants religieux dans la rue et notamment ceux de Noël ;
— supprimer le statut d’association sans but lucratif des “Églises” chrétiennes ;
— interdire définitivement toutes les prières dans les écoles et dans tous les lieux publics ;
— supprimer tous les postes d’aumôniers militaires ;
— interdire l’aide fédérale et d’État aux communautés et écoles religieuses chrétiennes ;
— éliminer tout signe extérieur de chrétienté y compris les croix de toute zone publique ;
— supprimer l’interdiction de travailler le dimanche ;
— interdire la lecture de la Bible dans les écoles même en dehors des heures de cours ;
— supprimer la devise «In God We Trust» inscrite sur les pièces de monnaies américaines ;
— interdire l’accès des chrétiens aux divisions scientifiques des universités d’État ;
— interdire l’affichage des Dix Commandements dans les salles de classe ;
— interdire toute aide fédérale ou d’État aux écoles privées ;
— supprimer le nom de Dieu dans les déclarations officielles de prises de pouvoir*.
Tiré de McAlvany Intelligence Advisor, janvier 2001.
Renvois (*)
— Profil des choses à venir : titre d’un roman d’anticipation de H. G. Wells ;
— Pat Robertson : célèbre télé-évangéliste devenu richissime suite à des entreprises douteuses : mines d’or en Afrique, accords financiers avec les communistes chinois, collaboration étroite avec les sionistes ; semble revenir à la vraie foi.
— FBI : Federal Bureau of Investigation. Dépend du ministère de la Justice. Le «et» est de trop dans le texte de Pat Robertson.
— “Églises” protestantes majeures aux États-Unis :
- Fondamentalisme. Cette “Église” s’est développée pour combattre la tendance réelle et extravagante des catholiques et de quelques “Églises” protestantes à s’égarer dans des interprétations historiques ou scientifiques et s’en tenir au seul sens littéral des textes (théorie du fixisme).
- Évangélisme. Les “Églises” protestantes se qualifient d’évangéliques pour ne pas être qualifiées de protestantes ou de luthériennes. Elles s’en tiennent au texte de la Bible et ont pour mission de propager l’Évangile. Là encore il s’agit d’une réaction contre le libéralisme et l’interprétation des textes et d’une volonté de revenir à l’orthodoxie.
- La nébuleuse des “Églises” périphériques a été le fruit du travail de certains théologiens comme Karl Barth, désirant rajeunir les textes, qui a donné lieu à de fameuses disputes entre fondamentalistes et libéraux.
- À la limite du protestantisme on rencontre également des mouvements illuministes inspirés comme les pentecôtistes pratiquant la guérison par la foi et la glossolalie.
- Méthodisme. L’“Église” méthodiste occupe une place à part dans le protestantisme et plus encore dans le monde chrétien. Le méthodisme fut introduit en Amérique la fin du XVIllè siècle. Il se distingue nettement du protestantisme dont il est issu : dans le but de propager la vie chrétienne il s’orienta vers l’évangélisation des foules, l’indifférence à l’égard des formes cultuelles et le “sacerdoce” universel, admettant clercs et laïcs. Pour conforter ses troupes dans le “sacerdoce”, le méthodisme confère à chacun la prédestination ou même l’entière sanctification. Il existe également un méthodisme “épiscopal” qui, grâce la présence d’“évêques”-inspecteurs-prédicants-itinérants tempère un peu le zèle des néophytes peu instruits.
— live : Il faut traduire « En direct du … » ;
— pilote de l’USAF : Ces derniers sont la bête noire des gauchistes américains. Nombre d’entre eux les combattent de toutes les manières possibles. D’où la nécessité des attaques ad hominem et de les salir en espérant les détruire bientôt.
— détruit : fondement de la doctrine nihiliste. Une des bases du marxisme, un fondement du communisme culturel. Rien à voir avec la doctrine chrétienne avant Vatican Il.
— moutonneux : néologisme, agissant comme un troupeau de moutons. Le troupeau c’est déjà les goyim. Tout se tient.
— away : il existe le même slogan contre la civilisation occidentale. Beau résultat obtenu par l’École de Francfort et le communisme culturel.
— Jésus Sauve : À la place de Arbeit macht frei. Natürlich !
— chrétiens “catholiques” : En Amérique, on tolère les “catholiques” bien qu’en principe la population devait être WASP, Blanche, Anglo-Saxonne et Protestante. Récemment, l’engouement des rédacteurs de bulletins conservateurs pour les papes de l’Église catholique jusqu’à Pie XII compris ne connut pas de bornes. Leurs encycliques étaient citées en permanence. Tout s’arrêta avec Vatican Il (d’Eux).
— langues. Comme il est dit dans Apo, XI, 10 : Il faut que tu prophétises à un grand nombre de nations, de peuples, d’hommes de diverses langues et de rois.
— attorney : espèce d’avoué ayant une juridiction attribuée.
— le serment de prise de pouvoir se termine par la sacro-sainte déclaration « So help me God » que l’ACLU tente de faire supprimer.
LA LETTRE DU PETIT COURRIER DE LA CHRÉTIENTÉ,
Huitième année, mars 2001
Commandes et abonnements : SCBI, B.P. 27 07, 75 325 Paris Cedex 07
Six mois 120 F. Chèque libellé à S. Thieulent
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Abrégé des Méditations du Père Du Pont, par le Père Frizon,
Vendredi d’après les cendres, IIIè Point
Le Fils de Dieu, après avoir fait à Ses disciples l’office de Maître, leur fait celui de Consolateur en les prémunissant contre les tribulations que la haine qu’on avait pour Lui devait leur attirer dans Son absence.
1° Il les assure du pouvoir de leurs prières auprès de Dieu, surtout quand elles seront faites en Son nom ;
2° Il les anime à souffrir les persécutions, en les leur représentant comme des suites de leur attachement à Sa personne et comme des marques de leur séparation du monde ;
3° Il leur promet Sa protection, l’amour de Son Père, la victoire des tentations et du monde, la brièveté de leurs maux et l’éternelle durée de la joie qui en sera la récompense.
Ce n’est pas aux seuls apôtres, c’est encore à nous en leur personne, que le Sauveur ouvre ces sources d’une solide consolation dans les souffrances. Nous n’avons qu’à nous adresser au Père céleste au nom de Son cher Fils, nous en obtiendrons infailliblement ou l’adoucissement de nos peines, ou le don de les supporter avec patience. Si le monde nous maltraite, ne nous en troublons pas ; il n’en a pas mieux usé envers le Sauveur, c’est la gloire des serviteurs de porter la livrée de leur Maître.
Qu’avons-nous d’ailleurs à redouter d’un si faible ennemi ? Soutenus, défendus, protégés par le Tout-Puissant, nous sommes très assurés de vaincre, et nous ne le sommes pas moins de triompher après la victoire.
Ô aimables persécutions dont la cause est si glorieuse, dont l’effet est de nous rendre semblables à Jésus persécuté, et dont les récompenses sont si magnifiques !
Ne permettez pas, Seigneur, qu’il me vienne jamais en pensée ni d’en rougir, ni de les porter avec impatience. Je m’en estime plus honoré, et je ne les changerais pas contre toutes les caresses du monde. Ne me les épargnez pas, ô mon Jésus; mais aussi souvenez-vous de Vos promesses ; couvrez-moi du bouclier de Votre sainte protection, combattez avec moi et pour moi.
Pour le prix de la victoire je ne Vous demande rien que d’être aimé de Votre Père et de Vous, ainsi que Vous me l’avez promis.
[1] Issu d’un schisme avec l’église Anglicane, le méthodisme est un courant du protestantisme regroupant de nombreuses églises d’orientations diverses, mais trouvant leur inspiration dans la prédication de John Wesley au XVIIIe siècle. Aujourd’hui, 80 millions de personnes se revendiquent méthodistes. Historiquement, le méthodisme est l’initiateur et le grand propagateur du « Réveil » qui va se propager à travers le monde, touchant des millions de personnes et revitalisant profondément le protestantisme. (Wikipedia)
ÉtiquetéAmérique, antichrétienne, antinationaliste, blasphématoire, camp Clinton, catholique, chasse aux chrétiens, chasteté, chrétien fondamentaliste, chrétienne méthodiste, Chris Korzen, Christianisme, Don Feder, Donald Trump, église Anglicane, Elisabeth G. Flynn, fidélité, Fred Rotondaro, haï, hétérosexualité, Hillary Diane Rodham, Hillary Rodham Clinton, idées progressistes, idées révolutionnaires, infiltrant, James Salt, Jennifer Palmieri, John Halpin, John Podesta, Lettre du Petit Courrier de la Chrétienté, Liberté Politique, Louis Budenz, massacre des chrétiens, méthodisme, Pat Oliphant, Pat Robertson, Paul Ryan, pentecôtiste, Père Du Pont, Père Frizon, Père Louis du Pont S.J., persécuté, persécution des chrétiens, persécution mondiale, persécutions, polémique, politiquement correcte, Printemps catholique, progressiste, protestantisme, révélation Wikileaks, Révolution, révolution idéologique, Roger Baldwin, Secte marrane Conciliaire, Ted Tumer, visions antichrétiennes, Wikileaks, William Foster