
ANNONCE : Les Amis du Christ Roy de France publient Les Cahiers de Jean VAQUIÉ
Gilles F.J. de Gryse
Publié le 27 janvier 2017
L’événement du mois de février sera pour Les Amis du Christ Roy de France, la publication des onze Cahiers de Jean Vaquié !
Jean Vaquié — auteur catholique “traditionaliste”, de l’école antilibérale (syllabus de Pie IX, RISS de Mgr Jouin) et providentialiste tout comme le Marquis de la Franquerie — est l’un des penseurs contrerévolutionnaires les plus connu face à la réalité sournoise qui s’est introduite par effraction lente, dans la réalité humaine depuis les prétendues «Lumières».
Les ACRF, et L-H Remy, héritier du marquis de La Franquerie et de Jean Vaquié, qui combattent pour ce qu’on appelle, l’école providentialiste, ont publié de 1986 à 1991, Les Cahiers de Jean Vaquié que les Éditions A.C.R.F. rééditent aujourd’hui.
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Qui était Jean Vaquié ?
Lecture Française a publié en 2012 (vingtième anniversaire de son décès), une Biographie de l’auteur :
Œuvres de Jean Vaquié en relation avec la Gnose
1991 – Le concile des méchants m’a assiégé
« Concilium malignantium obsedit me » Ps XXI, 17. Nous voudrions montrer que le XXIe Concile œcuménique, couramment appelé Vatican II, est prédit, et même schématiquement décrit, dans le Psaume XXI de la Vulgate. Ce psaume contient cette singulière locution : « Concilium malignantium obsedit me », qui signifie : le Concile des méchants m’a assiégé. Le psaume et le concile sont ainsi placés sous le même symbole numérique, particularité qui éveille déjà l’idée d’une correspondance.
Le Psaume XXI est l’un des plus anciennement commenté parce qu’il contient, énoncées d’avance par le psalmiste, quelques-unes des « paroles de la Croix ». Mais, jusqu’à notre époque, l’expression « concilium malignantium » n’avait pas attiré particulièrement l’attention parce que le ‘Concile’ qu’elle désigne n’avait pas eu lieu. Les prophéties ne deviennent certaines qu’après leur réalisation.
Ce vénérable psaume fait donc l’objet d’une exégèse classique que non seulement il n’est pas question pour nous de contester, mais qui va nous servir de fondement pour proposer une amplification de son sens traditionnel.
1991 – Le brûlant problème de la tradition
Le mot de TRADITION est employé, par les uns et par les autres, dans des sens différents, de sorte qu’il est devenu tout-à-fait polyvalent, désignant indifféremment, le pour et le contre, le meilleur et le pire. Le public contemporain ne semble par avoir pris conscience de cette imprécision de vocabulaire qui contribue à entretenir la confusion des idées sur un chapitre particulièrement important.
Les catholiques restés fidèles, ceux que précisément on appelle traditionalistes, sont gravement desservis par l’obscurité d’un terme si capital dans l’exposé de la saine doctrine, car elle enlève de la clarté à certaines définitions de base, par exemple à celle-ci : « L’Église est gardienne de l’Écriture et de la Tradition qui sont les deux sources principales de la Révélation ». Il est certain que si l’on donne une définition confuse de la Tradition, on fait de l’Église la gardienne
d’une Révélation elle-même confuse.
Nous sommes en mesure de prouver qu’une véritable campagne d’intoxication est entreprise, à un très haut niveau par les ennemis de l’Église, pour aboutir finalement à accréditer une fausse tradition à la place de la vraie. Nous pensons qu’il serait dans l’intérêt des catholiques fidèles de préciser, une fois de plus, au milieu de la confusion qui s’épaissit, de quelle Tradition ils sont les héritiers et les défenseurs. C’est à ce travail de clarification que nous voudrions contribuer par la présente note.
1989 – La bataille préliminaire
Il devient de plus en plus évident que la lutte contre-révolutionnaire se déroule sur deux niveaux.
1 – Nous devons d’abord nous battre pour conserver les ultimes positions qui nous restent. Il faut de toute évidence et de toute nécessité, conserver nos chapelles, nos quelques monastères, nos écoles, nos publications, nos associations, et plus généralement nos espérances de salut et l’orthodoxie de nos doctrines. Nous sommes ainsi impliqués dans une série de combats conservatoires de petite amplitude auxquels nous ne saurions nous soustraire.
En effet, nous trouvons la mention de ces combats dans l’Écriture elle-même. Saint Jean l’Évangéliste, sous la dictée de « Celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles », c’est-à-dire sous la dictée de Notre-Seigneur, s’adresse à l’ange de l’église de Sardes en disant : « Esto vigilens et confirma cetera quæ moritura erant », ce qui signifie : « Sois vigilant et maintiens les restes qui allaient périr » (Apoc. III, 2). L’Église de Sardes, nous le savons, correspond à notre temps. C’est donc à nous que s’adresse cette admonestation « maintiens les restes ». Le ciel attend de nous cette sauvegarde des restes. Elle formule notre mission. Elle constitue notre combat contrerévolutionnaire quotidien. Telle est la bataille inférieure. C’est une bataille défensive, une bataille de maintenance.
2 – Mais au-dessus de ces innombrables engagements conservatoires, une bataille, plus importante encore, a commencé dont l’objectif est la mutation du pouvoir.
« Je régnerai malgré mes ennemis ». Qui d’entre nous aurait oublié cette promesse laconique mais formelle, que Notre-Seigneur a faite à sainte Marguerite-Marie en 1689 ? À elle seule, elle pourrait nous suffire. Mais elle a été renouvelée, au cours des XIXe et XXe siècles, à un grand nombre de mystiques, en particulier à madame Royer. Et quand on songe que le serment résulte de la répétition de la promesse, on peut affirmer que le règne du Sacré-Cœur nous a été promis avec serment. Nous pouvons donc être assurés qu’aujourd’hui Notre-Seigneur opère mystérieusement selon Sa manière habituelle, en vue d’extirper le pouvoir de la Bête et d’instaurer Son règne propre. Ce mystérieux combat, dont Il est l’agent essentiel, constitue la bataille supérieure, celle de l’objectif principal.
Ces deux batailles répondent l’une et l’autre à la volonté divine. On comprend que nous ne puissions les éluder ni l’une ni l’autre.
Elles sont entremêlées parce qu’elles sont soutenues l’une et l’autre par les mêmes combattants lesquels ont ainsi deux luttes différentes à mener. Il est de la première importance de distinguer ces deux luttes puisqu’elles n’ont pas le même objectif et que par conséquent elles ne sont pas susceptibles de la même stratégie. En particulier la part qui revient à Dieu et celle qui revient aux hommes diffèrent grandement entre l’une et l’autre bataille.
1987 – Les principes de la vrai et de la fausse mystique
Il ne fait pas de doute que l’homme est naturellement constitué en vue d’un commerce personnel avec Dieu. C’est ce commerce intérieur que l’on appelle mystique parce qu’il est caché. La vie intérieure, selon l’expression de saint François de Sales, est un « devis » ; nous commençons à deviser avec Dieu dès que nous lui adressons la moindre prière. Nous sommes doués d’un mysticisme naturel et plus généralement d’une religiosité naturelle que les théologiens ne contestent pas. Ils lui donnent même le nom de « vertu naturelle de religion » quand elle est exercée dans des conditions héroïques même par des païens.
Cette religiosité naturelle comporte des facultés mystiques, également naturelles par conséquent, et destinées à rendre facile la contemplation du vrai Dieu dès lors que l’homme en aura reçu la Révélation. On peut dire, sans exagération, que l’homme est naturellement fait pour l’extase. La station debout, qui est l’apanage de cet « animal religieux », ne serait-elle pas le début de la lévitation ? Ces facultés religieuses spontanées font ressembler l’homme, tout à tour, à une corolle de fleur, à un tabernacle et à un pressoir. Reprenons séparément ces trois comparaisons qui nous aideront à comprendre les mécanismes compliqués de la vrai comme de la fausse mystique.
L’âme religieuse, quelle que soit sa religion, se comporte comme une corolle qui s’épanouit en vue de se laisser pénétrer par les rayons du soleil, lesquels,
tombant d’en haut, y opèrent la transformation des sucs végétaux. Dans cette comparaison le soleil représente Dieu qui pénètre et transforme l’âme de Sa lumière et de Sa chaleur. Mais si le soleil est caché et qu’un gros insecte survienne,trouvant la corolle épanouie, il y pondra un germe mortel.
1990 – L’illumination initiatique
On désigne généralement sous le nom de CONTRE ÉGLISE l’ensemble très complexe qui comprend, à côté de la franc-maçonnerie proprement dite, toutes les sociétés de pensée et les congrégations Initiatiques qui ne lui sont pas rattachées directement mais qui s’inspirent du même gnosticisme.
Or, cette dénomination employée depuis une centaine d’années par les traditionalistes, n’est pas acceptée par les associations qu’elle entend désigner, en particulier par la maçonnerie, qui est la plus importante, et qui se désigne elle même non pas comme la contre église, mais comme la SUPER ÉGLISE. Elle justifie cette prétention en faisant remarquer qu’elle enseigne une gnose où voisinent des notions païennes immémoriales et des notions chrétiennes. Elle estime détenir, d’une manière ésotérique (c’est-à-dire cachée aux profanes) le fond commun de toutes les religions exotériques (c’est-à-dire publiques) y compris la religion catholique, laquelle est ainsi à la maçonnerie ce que la partie est au tout.
Il n’est évidemment pas question pour la religion de Notre-Seigneur, de souscrire à une telle prétention et d’accepter un tel magistère occulte. Il n’est pas exact, en effet, que l’Église dérive du fond commun des religions. Au contraire, elle a été fondée précisément pour se distinguer de ce fond commun, pour le fuir, le combattre et en triompher à la fin. Elle conserve le dépôt de la seule Révélation Divine authentique, rigoureusement contrôlée, d’âge en âge, par des instances elles-mêmes d’institution divine.
1990 – Quelques définitions concernant le symbolisme chrétien
Il ne fait pas de doute que Dieu met de L’HARMONIE ENTRE LES DIVERSES PARTIES DE SES ŒUVRES. Et cette harmonie, Il la met à la fois dans l’espace et dans le temps.
1990 – À propos de la Contre-Église
Pour faire avancer les connaissances relatives à la « Contre Église », nous sommes confrontés à des problèmes qui ne sont pas nouveaux quant au fond, mais qui revêtent aujourd’hui des formes nouvelles.
La génération précédente — celle de Mgr Jouin et de Léon de Poncins — les a déjà rencontrés. Mais elle était préoccupée par les modalités actuelles de ces problèmes. Elle parait au plus pressé et visait surtout ce qu’on appelait alors les « menées anti-nationales ». Elle a donc négligé, par nécessité, l’infrastructure religieuse de ces menées. Nous en aurions fait autant.
Or, l’ennemi ayant progressé, c’est aujourd’hui à des « menées anti-religieuses » que nous avons surtout à faire face. Il faut donc approfondir notre champ d’investigation (nous dirions volontiers notre champ opératoire) et utiliser, par conséquent, des méthodes plus. pénétrantes.
Faisons le rapide inventaire des zones de pénétration que nous désirons explorer et des critères que nous pensons y appliquer.
1989 – Le mythe de la bonne gnose
L’esprit gnostique est tellement éloigné de l’esprit de foi qu’il n’est pas dangereux quand il se présente tel qu’il est. Par exemple, aucun catholique traditionnel n’aurait l’idée d’emboîter le pas à la gnose de la Franc-Maçonnerie. Malheureusement il existe toute une frange de néo-gnostiques, qui se présentent le plus souvent comme de fervents catholiques et qui font des efforts prodigieux afin d’acquérir droit de cité dans l’intelligentsia du traditionalisme. Pour servir de vecteur à la pénétration de leurs doctrines, ils ont inventé le mythe de la Bonne Gnose.
Et ils suggèrent d’utiliser désormais, dans le langage ecclésiastique courant, le mot de gnose pour désigner la Science de Dieu. Ce serait, disent-ils redonner à cette science son véritable nom. Ce serait même, ajoutent-ils, combler une lacune dans la terminologie de l’Église latine. Car l’absence de ce mot empêche l’Église de cultiver les trésors qui sont en elle et qu’elle ne connaît plus.
1989 – Gnose chrétienne et gnose anti-chrétienne
Le Professeur Borella a écrit, dans l’ouvrage « Vu de Haut », publié par les Éditions Fideliter, un chapitre intitulé « Gnose chrétienne et Gnose anti-chrétienne ». Le Christianisme, dit-il, « est une religion gnostique ». Et il ne cache pas son intention d’acclimater, s’il le peut, le mot de gnose dans le vocabulaire de la théologie catholique dans lequel le professeur Borella reconnaît lui-même, ce mot n’a jamais figuré.
1989 – Le mythe du Graal
Voici quelques années les Éditions Fideliter, de la Fraternité Saint Pie X, ont publié un ouvrage curieux intitulé la « Quête de Raphael » sorte de conte de fée pour grands enfants sur le thème de l’Eucharistie.
Selon son titre et son contenu, ce livre reçut une préface du Professeur Borella où ce gnostique guénonien, bien connu de nos lecteurs, put développer le thème du Graal auprès d’un public traditionnel plutôt méfiant à l’égard de cette notion pseudo-mystique.
Il nous a paru intéressant de reproduire ci-dessous une étude rédigée par un membre de notre Société et parue une première fois dans la revue « Culture-Foi-Tradition ». Nos lecteurs pourront ainsi mieux apprécier à la fois le danger propre de ces notions ésotériques et l’habileté des gnostiques à s’avancer sous le couvert de propos apparemment chrétiens.
Réflexions sur les ennemis et la manœuvre
Avertissement. Il ne s’agit ici que de RÉFLEXIONS, c’est-à-dire de notes, souvent hâtives, les unes récentes, les autres anciennes, inspirées par les circonstances, mais toujours destinées aux militants de droite. Que l’on n’y cherche ni plan serré, ni démonstrations complètes. Il ne s’agit pas d’un traité. Le raisonnement général est homogène mais il n’est pas développé d’une manière professorale. Ce sont plutôt des affirmations que l’on admettra ou que l’on n’admettra pas. Nous les croyons cependant de nature à éclairer les amis qui luttent aujourd’hui dans une phase défavorable et contre un ennemi très supérieur en nombre et en moyens d’action.
Rudolf Steiner
Dans l’étude « Gnose et Gnosticisme en France au XXè siècle » parue dans le Bulletin de la Société Barruel n° 12 ont été évoquées quelques-unes des organisations qui militent depuis le début du siècle pour diffuser une pensée néognostique en Europe. Si les réseaux guénoniens ont agi pendant longtemps avec une discrétion à laquelle ils n’ont d’ailleurs pas totalement renoncé, loin de là, par contre d’autres ont exercé leurs activités à ciel ouvert, parfois même avec grand tapage. Il convient donc de garder l’œil sur ces multiples variétés subversives, et nous vous proposons une étude sur l’Anthroposophie et son fondateur Rudolf Steiner.
Le retour offensif de la Gnose
La littérature ésotérique et orientaliste en est venue à tout inonder. Sans bruit, elle s’étale, s’infiltre et s’épanche partout. On a fini par ne plus y prendre garde et pourtant c’est un phénomène culturel aussi alarmant qu’incontestable. Il y a quelques années, ce type de publications était réservé à un petit nombre d’éditeurs spécialisés. Aujourd’hui, toutes les grandes maisons d’éditions possèdent leurs collections gnostiques, hindouistes, rosicruciennes ou souffistes.
La masse des ouvrages mis ainsi à la disposition du public est absolument énorme. On est bien obligé de constater qu’elle manifeste un véritable mouvement de pensée. Car elle suppose d’abord des lecteurs en quantité croissante et aussi toute une intelligentsia rédactionnelle qui est, pour partie tout au moins, d’un très haut niveau, et par conséquent très séduisante.
À ce mouvement de pensée, on peut, sans rien exagérer, donner le nom de « nouvelle gnose » tant il rappelle l’effervescence syncrétique qui troubla les trois premiers siècles du Christianisme et qui est restée dans l’Histoire sous le nom de « Gnose », mot grec qui signifie à la fois « science » et « connaissance ».
Avant de recenser et d’analyser les principaux thèmes de la gnose moderne, il est nécessaire de raviver nos souvenirs de l’ancienne, c’est-à-dire de la gnose historique qui a failli compromettre l’édification du splendide et redoutable édifice du dogme chrétien : splendide pour ceux qui y séjournent en paix, et redoutable, du fait de sa solidité, pour ceux qui s’y attaquent.
Occultisme et foi catholique, les principaux thèmes gnostiques
Les sciences occultes sont à la mode. Leur littérature est présente dans beaucoup de librairies : leurs symboles couvrent les jaquettes des disques de rock, eux-mêmes diffusés par centaines de milliers d’exemplaires ; ils s’érigent aux yeux de tous sous forme de monuments spectaculaires comme cette fameuse pyramide aux six cent soixante six facettes de verre récemment construite dans la cour du Louvre à Paris. Or l’occultisme est sous-tendu par une doctrine (ou plutôt une idéologie) multiforme, plus ou moins secrète et donc difficile à connaître : la gnose, doctrine qui parvient à s’infiltrer même en milieu catholique. L’étude de Jean Vaquié analyse l’un après l’autre les principaux thèmes gnostiques ; elle constitue par là-même une sorte de connaissance élémentaire de la gnose.
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