un livre pour comprendre la crise, en particulier la crise religieuse.

À faire connaître aux jeunes et aux clercs qui croient encore que la secte conciliaire est catholique.

 

Mais n’est-il pas trop tard ?

 


 

LES TRAVERSES DU POUVOIR, (1)

Les révolutions et les réseaux secrets depuis 1776

 

JEAN-JULES VAN ROOYEN

CHAPITRE 10

 

Le salut vient-il des Juifs ? * (2)

D’après Léon Bloy, (1846-1917)

 

 

Au cours des douze années pendant lesquelles j’ai travaillé à écrire « Les Traverses du Pouvoir », j’ai lu de nombreux livres et articles et même visionné des DVD. Je suis tombé d’une consternation dans l’autre. Rien de ce que vous croyez être vrai, n’est vrai. Les principaux épisodes de l’histoire, surtout les plus cruciaux, se révèlent être faux. Le passé est reconstruit et adapté aux besoins du présent et de l’avenir. Les communistes ne sont pas les seuls à avoir utilisé cette tactique ; l’occident en a fait de même. Si les faits ne concordent pas avec l’idéologie, on adapte les faits. Ceci est l’œuvre du très influent lobby maçonnique international, avec la collaboration du lobby juif libéral qui se cache derrière lui, depuis longtemps et surtout avant et après la Seconde Guerre Mondiale. Ils possèdent les médias, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis. À la fin du 19è siècle, la puissante famille juive libérale Rothschild a acheté l’agence de presse Reuters afin de diriger l’opinion publique et les médias. Quelques années plus tard, elle a acheté les agences de presse Havas en France et Wolff en Allemagne. Ces agences de presse ont manipulé le public des deux côtés de la ligne de front durant la période qui a précédé la Première Guerre Mondiale de 1914. Le conflit fut encouragé, particulièrement en Allemagne. Cette famille a également prêté de l’argent à chacun des gouvernements pour financer la guerre.

 

Dans l’édition néerlandaise de ce livre, l’Église reste à l’écart. Mais dans l’édition française qui s’adresse en grande partie à un public catholique, l’Église est impliquée avec la question de Léon Bloy : « le salut vient-il des Juifs » ? Certains secrets ecclésiastiques d’avant et d’après le Concile de Vatican II, en 1962, illustrent les événements en Europe depuis la Révolution Française jusqu’à nos jours. Les mêmes forces des ténèbres qui ont eu besoin de deux siècles pour prendre possession du continent européen, ont cherché à gagner leur dernière bataille avec le Concile de Vatican II. L’Église était la dernière forteresse contre la domination de la Synagogue de Satan (Jean Ap 2 :9 et 3 : 9).

 

La demi-tentative de Benoît XVI de restaurer la liturgie tridentine, s’inscrit dans un contexte beaucoup plus large. Elle est la première étape sur le chemin de la victoire dans la lutte entre le bien et le mal, entre l’Église et le diable. La survie de l’Église détermine la survie de la civilisation. Son histoire est le fil rouge de l’histoire européenne. Si elle meurt, les racines vieilles de deux mille ans disparaissent. Au milieu du 19è siècle, Saint Jean Bosco (1815-1888) disait que, « la seule vraie bataille dans l’histoire est celle contre ou pour l’Église de Jésus-Christ ».

La lutte postconciliaire dans l’Église, entre modernistes et traditionalistes, est l’offensive finale d’une guerre qui met l’Europe à feu et à sang, déjà depuis deux siècles. Le rapport néerlandais «  Oostveen » concernant la situation des affaires ecclésiastiques aux Pays-Bas et la résistance des évêques au retour de la liturgie tridentine, sert de test. La question est de savoir qui donc avait un intérêt direct dans ce Concile révolutionnaire de 1962 ? Qui étaient ces personnes et qui se cachaient derrière elles ? Nous allons essayer, à la façon des Renseignements, c’est-à-dire en étudiant les faits, les événements et le contexte historique, de répondre aux questions, qui, quoi et pourquoi.

 

En 1962, juste avant le Concile, tous les Pères participant au Concile ont reçu un exemplaire du livre, en italien, de Maurice Pinay, 2000 ans de complot contre l’Église. Pinay dévoile la menace de la révolution pharisienne juive-libérale contre l’Église et la chrétienté (3), sur une période de deux mille ans. Vers 1962, le « pape » d’alors aurait également dû rendre public le troisième secret de Fatima, ce qui n’a pas été fait. En dépit de toute la désinformation, Sœur Lucie a emmené son secret dans la tombe, en 1959. Une deuxième « Sœur Lucie », son sosie, est apparue. C’est elle qui a été filmée aux côtés de Jean-Paul II. Elle est décédée en 2005. Sa cellule fut scellée et passée au peigne fin par des émissaires du cardinal Ratzinger. Le Père Joaquin Alonso, l’archiviste officiel de Fatima, a consacré 16 ans de sa vie à rédiger 24 tomes sur l’affaire. Il a reçu l’interdiction de publier ses travaux. Peu avant sa mort, il rédige tout de même un article dans lequel il écrit :

« Une révélation du secret aurait conforté un traditionalisme qui se serait cru assisté par les prophéties de Fatima et le progressisme aurait hurlé contre les apparitions qui, d’une manière si scandaleuse, sembleraient freiner la marche en avant de l’église conciliaire (4) ».

Compte tenu de l’obstination des autorités romaines, la tromperie avec cette fausse Sœur Lucie et les révélations du père Alonso, il y a probablement un lien entre un avertissement de Fatima, le désastreux Concile de 1962 et le livre de Maurice Pinay (5).

 

Pinay est le pseudonyme du prêtre jésuite qui fut le nègre et le porte-parole du cardinal Ottaviani (1890-1979) et d’un groupe de cardinaux. Ottaviani a été nommé cardinal par le Pape Pie XII, en 1953. À cette époque, il était le préfet du Saint-Office qui a été rebaptisée, au milieu des années soixante, en Congrégation pour la Doctrine de la Foi. En 1968, il a démissionné à cause de la révolution liturgique destructrice. Ensemble avec le cardinal Bacci (1885-1979), il a informé Paul VI des défaillances inacceptables du rite du Novus Ordo Missae (NOM). La nouvelle liturgie est une rupture qui ne peut, d’aucune manière, être « naturellement » issue de la liturgie tridentine. Les deux cardinaux ne voulurent plus collaborer. On peut lire leur « bref examen critique » sur Internet (Télécharger en PDF). Selon le théologien italien Luigi Villa, cette révolution a touché au dogme, à la morale, à la liturgie et à la discipline, (Paul VI bienheureux ?(6) Luigi Villa, théologien,). Déjà un demi-siècle plus tôt, le 3 juillet 1907, le Pape Saint Pie X a condamné le modernisme avec l’encyclique Lamentabili. Le modernisme réduit le surnaturel transcendant aux normes profanes et « adapte l’Église au monde ». Il remplace la transcendance par des utopies venant de la Révolution Française, tels que la démocratie, les droits de l’homme, les droits de la femme, l’égalité et la liberté religieuse. La collégialité, une « démocratie » dans l’Église, brise l’autorité hiérarchique et supplante la Vérité Révélée et la Tradition.

 

Nonobstant le Serment de l’intronisation Pontificale dans lequel le Pape doit jurer fidélité à la Tradition et à l’héritage spirituel de tous ses prédécesseurs, Paul VI a radicalement rompu avec l’Église catholique de toujours. Une source rapporte même qu’il n’aurait pas prononcé ce Serment. Bien que Paul VI ait vu les dégâts qu’il avait causé lui-même au cours de son pontificat et avait constaté « les fumées de Satan » au sein de l’Église, il n’a pris aucune mesure contre les fruits pourris de l’arbre qu’il avait planté lui-même. Au contraire, en 1967, il a interdit le Serment Antimoderniste pour les prêtres. Il a également changé les formules et les prières des rites d’ordination des prêtres et de consécration des évêques. Il ne faut pas voir ces observations comme une attaque contre la Papauté. Ce n’est rien d’autre que la reconnaissance des actes d’un USURPATEUR, d’un fonctionnaire occupant le Siège de Pierre. Il semble que, de son vivant, Paul VI était déjà un personnage controversé. Quand il était cardinal de Milan, il était connu comme « l’homme des utopies ». Selon le théologien Luigi Villa, il n’a jamais caché ses idées révolutionnaires, ni ses plans de réforme radicale (Paul VI bienheureux ? Dr Luigi Villa). Tout comme son successeur, le polonais Wojtyła, il avait une mère juive (Alghizi) (7). Quand Montini était cardinal, il fut banni à vie du Vatican par le Pape Pie XII (8), en raison de son rôle douteux dans les relations du Vatican avec les régimes communistes de l’Europe de l’Est. Mais dès que Roncalli fut élu sous le nom Jean XXIII, il le rappela à Rome.

Au tout début du Concile, le 11 octobre 1962, Jean XXIII a déclaré qu’ : « Il faut approfondir la doctrine chrétienne et l’adapter aux exigences des temps modernes ». Cette déclaration était le fruit commun du Pape et du cardinal Montini. Que signifiait exactement cela ? Ils avaient tous les deux des idées modernistes et étaient très proches. Il paraît que le nom Jean avait été choisi pour indiquer que Roncalli serait celui qui préparait le chemin pour son successeur, le cardinal Montini. Tous deux avaient le soutien de francs-maçons, de marxistes et de philosémites dans les rangs ecclésiastiques au plus haut niveau, comme Tisserant, Karol Wojtyla, Alfrink, Bea, Liénart, König, Lercaro, Spellman, Suenens, Casaroli, Villot, Daniélou, Baum, Osterreicher et d’autres. Ce groupe de cardinaux progressistes avait pris le pouvoir en main (9). Cinq d’entre eux étaient membres de la tristement célèbre loge P2 (10). Avec l’aide des théologiens Congar, de Lubac, Rahner et Ratzinger, ils ont pu saisir leur chance lors du Concile. Roncalli et son successeur Montini étaient tous les deux des francs-maçons notoires. À la mort de Roncalli (Jean XXIII), Montini (Paul VI) a même pris sa place comme Ami-Fondateur du « Temple de la Compréhension », un organe maçonnique théosophique, lié à l’ONU (11).

 

La Déclaration Nostra Ætate est sans aucun doute le document crucial du Concile, le noyau dur et l’amorce du Concile. Ce document formule l’« aggiornamento », l’ouverture de l’Église sur le monde. Ceci s’inscrit tout à fait dans la vision maçonnique de la mondialisation, de la pensée d’un monde unifié. Avec le recul du temps, on comprend que l’aggiornamento a été la brèche dans les remparts de la forteresse ecclésiastique. En tant que franc-maçon, Jean XXIII obéissait à une puissance hostile à l’Église, une puissance dirigée par les leaders de la juiverie cosmopolite, libérale, pharisienne, les Ashkénazes, les faux Juifs dont parle Saint Jean dans l’Apocalypse (2 : 9, 3 : 9). Ces pseudo-Juifs, à ne pas confondre avec les juifs orthodoxes de la Torah et de la Loi de Moïse, voulaient forcer une ouverture de l’Église, une adaptation au monde qui, depuis la Révolution Française, est dominé par eux grâce au pouvoir de l’argent.

 

Mais face à toutes ces accusations, il existe des indices permettant de croire que, sur son lit de mort, Jean XXIII aurait regretté ce qu’il avait fait et aurait voulu arrêter le Concile. Paul VI avait un sosie, je l’ai vu de mes propres yeux pendant un pèlerinage militaire, en 1975. Les deux « papes » ont mis en route une révolution dont ils ont perdu le contrôle par la suite. Il existe de sérieux indices à ce sujet. La présence d’un sosie laisse supposer que le vrai Paul VI était prisonnier au Vatican. Compte tenu des faits connus, il est indéniable qu’il a été question d’un complot lors du Concile.

Face à cela, il y avait le Cardinal Ottaviani, d’orientation traditionnelle et qui n’était pas le premier venu. En 1962, juste avant le début du Concile, il a voulu avertir ses confrères, avec le livre « 2000 ans de complot contre l’Église », du danger du modernisme qui avait pénétré jusque dans les plus hautes sphères de l’Église. Il avait prévu ce qui allait se passer pendant le Concile et aussi dans la société, dans les années 1960. Le préfet du Saint-Office connaissait sans doute aussi le troisième secret de Fatima. Le cardinal et ses partisans voulaient prévenir de deux menaces concrètes : (a) celle des marxistes et des communistes et (b) la menace venant des francs-maçons. Sans ambages, les cardinaux ont clairement indiqué que les deux révolutions étaient les fruits du judaïsme libéral talmudique. À cette époque, le politiquement correct n’avait pas encore conditionné l’opinion publique, ni l’Église ou les médias. La plupart des catholiques connaissaient l’histoire et ne se faisaient aucune illusion sur les ennemis de l’Église et sur la corruption du monde.

L’édition française (1967) de Maurice Pinay, (lire cardinal Ottaviani), est à couper le souffle. Lorsque j’étais encore enfant, je me suis souvent demandé, « que sont devenus les pharisiens après la crucifixion du Christ et la destruction de Jérusalem et du Temple en l’an 70 de notre ère ? ». Toutes ces années, la réponse s’est fait attendre. Mais Pinay raconte toute l’histoire des Juifs qui, comme le dit Saint Paul, « ont tué le Christ et les prophètes » et « qui sont ennemis de tous les hommes ». (I Thes. 2:13-16) (12). Ils n’ont jamais disparu et n’ont jamais été absorbés par deux mille ans d’histoire. Ils n’ont jamais abandonné non plus leur combat opiniâtre contre le Christ, les Apôtres, l’Église et les chrétiens mais par contre, ils ont changé de méthode. En se rendant invisible et en infiltrant l’Église selon la tactique du loup déguisé en agneau (Mt, 7 : 15), « la Synagogue de Satan », selon les termes même de saint Jean dans l’Apocalypse (2 : 9 et 3 : 9), a tenté de détruire l’Église et la civilisation judéo-chrétienne à travers les siècles. Mais qui sont-ils ces ennemis et d’où viennent-ils?

Dans les premiers siècles de notre ère, ces Juifs ont réussi à convertir beaucoup de gens et de peuples en Afrique du Nord, Espagne, Italie et dans les pays arabes jusqu’au Yémen et l’Inde. Leur zèle ne connaissait pas de limites (Die Erfindung des Jüdischen Volkes, Shlomo Sand) (L’Invention des peuples juifs). Une fois que les Khazars du peuple turco-russe eurent fait le pas d’adhérer au judaïsme talmudique pharisaïque au 8è siècle, ils (ceux qui se disent juifs, mais ne le sont pas, selon Jean, Ap. 2 :9, 9 :9), se sont multipliés largement en Europe. Depuis l’époque des persécutions chrétiennes par les empereurs romains qui avaient des conseillers pharisiens, ils présentèrent un danger mortel pour l’Église naissante et les jeunes nations européennes, durant des siècles. Et cela n’a pas changé depuis lors. Il faut placer dans ce cadre les influences marxistes et maçonniques au cours du Concile Vatican II. Pinay (lire les cardinaux) souligne sans hésitation, en 1962, à l’aide de nombreux faits historiques repartis sur deux mille ans d’histoire, la menace révolutionnaire constante contre l’Église, contre les nations chrétiennes d’Europe et contre la civilisation. Grâce au Concile, cet objectif semble maintenant être à portée de main.

 

La plus grande crainte de l’Église au cours des siècles a toujours été avant tout les faux convertis, les tièdes parmi le clergé et les laïcs qui, secrètement, adhéraient au TALMUD. Ces soi-disant convertis, appelés marranes, ont infiltré l’Église en pénétrant jusqu’aux rangs les plus élevés pour la détruire ainsi de l’intérieur. Saint Paul nous a mis en garde dans de nombreux écrits (Actes ch. 20-28). La tâche de l’Inquisition papale et plus tard celle du Saint-Office, était d’empêcher cela. Leur rôle était aussi de protéger les nations contre les pratiques abusives des Juifs talmudiques. Les fameux hérétiques Arius, Nestorius, Jan Hus (de la secte Hussite, 15e siècle), Zwingli et Calvin étaient des Juifs talmudiques. Les hérésies des Cathares et des Albigeois viennent aussi du judaïsme talmudique de leur époque. Luther était soutenu par la noblesse et la riche bourgeoisie juive d’Allemagne. Il était un disciple du Juif « converti » Nicolas de Lyra (1270-1349), moine franciscain et théologien. Ce marrane de langue hébraïque était influencé par le rabbin Shlomo Itzhaki Rachi (1040-1105). De Lyra a profondément influencé Luther, d’où le dicton : « Si Lyra non lyrasset, Lutherus non saltasset », (Si Lyre n’avait pas joué de la lyre, Luther n’aurait pas dansé). Mais Luther a vu trop tard que le judaïsme révolutionnaire et impérialiste était aussi une menace pour sa nouvelle église séparée. Les nombreux Conciles de Toledo, Lyon, Meaux, Latran (Rome) et ailleurs ont produit une mine d’informations historiques. Chaque fois, Rome a essayé de trouver une solution à la question juive. Le fameux 4è Concile du Latran (1215), avait comme objectif de « renforcer la défense de l’Église dans la lutte contre la Synagogue et ses erreurs (13) ». Les principaux monarques des grands pays d’Europe de l’époque ont participé à ce Concile.

 

À cette époque, la foi catholique formait la base des sociétés en Europe. Cette croyance était la garantie de la cohésion sociale. Le caractère chrétien des nations et les différences entre les régions européennes ont été formés et fixés à ce moment. C’est l’héritage d’une Église qui défendait, tel un berger courageux, les intérêts des nations, des peuples et du patrimoine catholique. À l’époque, une attaque contre la foi, était synonyme de dislocation sociale. La crainte des marranes était très grande. Dans le Code de Droit Canon, il était constamment rappelé qu’aucun juif converti ne pouvait être admis à des postes de responsabilité dans l’Église ou dans l’administration publique ou civile. On vérifiait sur plusieurs générations si quelqu’un était marrane ou pas. Mais à partir de la Révolution Française, au 18è siècle, ce ne fut plus en usage. L’égalitarisme révolutionnaire a mis un terme à l’instinct de préservation de la société. La voie était ouverte à l’émancipation du Judaïsme impérialiste talmudique. Après deux guerres mondiales, il a réussi à jeter l’Église dans une profonde crise, due au Concile et à la destruction de l’intérieur, par le clergé conciliaire. Depuis lors, nous faisons une différence entre les papes d’avant ou « les papes » d’après le Concile. Que s’est-il donc passé en 1962 ?

 

L’Église semble avoir perdu sa force intérieure et n’est plus capable de rendre les fidèles attentifs à l’hostilité historique des pharisiens, incarnés aujourd’hui par le judaïsme libéral talmudique. Avec la réforme liturgique de Paul VI, après le Concile, plus de 23 Évangiles et Épîtres de l’ancien Missel tridentin, faisant référence aux pharisiens, ont disparu. Il y en a certainement beaucoup plus, mais dans le Missel des Dimanches du NOM le plus répandu, il ne reste que deux textes, par année A, B, C, y compris le récit censuré de la Passion. Des quatre Évangiles du Missel Tridentin relatant la Passion pendant la Semaine Sainte (des évangélistes, St. Mathieu, St. Marc, St. Luc et St. Jean), il ne reste dans le nouveau Missel, que les deux récits de la Passion très raccourcis du Dimanche des Rameaux et du Vendredi Saint. On ne retrouve plus les textes complets dans le missel du NOM. Il s’est passé quelque chose de semblable pour le merveilleux film très réaliste de Mel Gibson La Passion du Christ. Les organisations juives ont demandé la censure de la scène où le peuple juif appelle la malédiction sur lui (Mathieu 27 : 25). Dans son dernier livre, Het verval, Joden in een stuurloos Nederland, (La ruine, les juifs dans les Pays-Bas à la dérive), Manfred Gerstenfeld accuse la liturgie du Vendredi Saint d’être antisémite (page 173). On voit que les susceptibilités et les pressions sont énormes. Juste avant l’ouverture du Concile, le cardinal Bea a eu des contacts avec des organisations juives comme le B’nai B’rith à New York et la franc-maçonnerie internationale. Par le biais du Concile, celles-ci voulaient obtenir la reconnaissance ecclésiastique de la liberté religieuse par rapport à Dieu. Toutes les religions sont égales et se valent. Bea a rempli sa mission en grande partie et après le Concile, la B’nai B’rith lui a remis la Médaille d’Or du Mérite (14). En outre, il fallait transférer à toute l’humanité la culpabilité historique des Juifs dans la mort du Christ. Ceci est en contradiction flagrante avec les Évangiles. Mais sur ce point aussi, le cardinal Bea a partiellement réussi (Nostra Ætate). Dans la période traumatisée d’après-guerre, les organisations juives avaient une influence décisive. Le cardinal Bea (Béhar) avait des origines juives. Mgr. Willebrands qui était son assistant néerlandais à l’époque, avait des contacts avec le KGB à Moscou. Il fallait éviter que le Concile condamne le communisme. Willebrands et Bea sont des francs-maçons notoires. Il y a donc dû y avoir un complot judéo-maçonnique-marxiste durant le Concile, afin de tuer dans l’œuf toute résistance à l’impérialisme talmudique, aussi dans la doctrine de l’Église. Les réformes liturgiques radicales de la période postconciliaire découlent de cela. Le rôle historique hostile des pharisiens et de leurs descendants, au sein du judaïsme talmudique libéral, devait disparaître de la vue et être effacé de la mémoire de l’Église. Pour le monde et pour l’Église, l’hostilité du Talmud allait devenir invisible.

 

Dans le Nouveau Missel du NOM, même les nombreuses lettres de Saint Paul ont été censurées et remplacées par des textes neutres ou philosémites de l’Ancien Testament, comme les protestants l’ont fait. Les milieux juifs considèrent Saint Paul comme un antisémite, l’apôtre éminent d’une institution religieuse antisémite. Sa critique sur les pharisiens, dans sa fameuse lettre aux Thessaloniciens (I Thes. 2: 13-16) a, elle aussi, disparu du nouveau missel. Sans doute la pression juive est-elle la cause non-formulée de la résistance qui a fait de ce sujet un tabou et a provoqué l’entêtement des évêques à refuser la liturgie tridentine. Ceux-ci veulent probablement éviter d’être soupçonnés d’antisémitisme, réécrire l’histoire de l’Église et oublier la transmission de la Tradition. La réforme liturgique de la Messe a vraisemblablement une double face. Les textes en ont été remaniés pour permettre de censurer les lectures bibliques en tenant compte de la question juive. Ces deux choses étaient liées entre elles. Dans la nouvelle messe, le caractère sacrificiel de la crucifixion et de la mort du Christ a été remplacé par un repas mémorial (15). Celui de la Dernière Cène devait prendre la place du sacrifice de Golgotha, de la culpabilité ultime et du reproche historique aux Juifs. Avec la création d’une liturgie entièrement nouvelle, on pouvait adapter au goût des juifs, aussi bien les textes que la portée de la liturgie et donc aussi l’Église et la papauté. Luther aussi a cherché à détruire le Saint Sacrifice de la Messe, mais pour d’autres raisons (16).

 

Avec l’introduction du NOM, Paul VI a tenu compte de Nostra Ætate. Dans ce document conciliaire, toute forme de résistance morale contre le judaïsme talmudique, pourtant historiquement hostile, est rejetée unilatéralement sous l’appellation d’antisémitisme. En outre, le Judaïsme n’est plus tenu pour responsable du drame de Golgotha et les autres religions sont reconnues comme équivalentes, avec un « rayon de vérité ». Mais ces déclarations sont contraires aux textes de l’Écriture Sainte et à la mission de l’Église de propager la Royauté du Christ dans le monde. Elles sont en contradiction avec deux mille ans de pensée et d’action de l’Église et avec l’enseignement des papes et des Conciles précédents. Le Pape Pie XI (1846-1878) craignait que cette vague progressiste envahisse l’Église et la société : « peu à peu, on assimila la religion du Christ aux fausses religions et, sans la moindre honte, on la plaça au même niveau » (Encyclique Quas Primas). Auparavant déjà, le Pape Pie VII (1800-1823) avait écrit : « Du fait qu’est proclamée la liberté de toutes les formes de culte, la vérité est confondue avec l’erreur, et la sainte et immaculée Épouse du Christ, hors de laquelle il ne peut y avoir de salut, est placée au même niveau que les sectes hérétiques, voire que la perfidie juive ». (Enc. Post tam diuturnas). D’autres Papes comme Léon XIII (Enc. Tametsi, 1900) et Pie XI (Enc. Quas Primas, 1925, Quadragesimo Anno, 1931) ont mis en garde de la même façon (cité par Denis Fahey C.S.SP, La Royauté du Christ et le naturalisme organisé, p. 137, 147 (17)). Malgré ces avertissements, la capitulation de 1962 a pu se faire sous la pression de la plus haute hiérarchie judéo-maçonnique et par la lâcheté de la majorité des évêques présents au Concile. Le dernier obstacle, la résistance de l’Église de Rome contre les Juifs, fut neutralisé de l’intérieur. La période qui a suivi a eu un impact énorme. La résistance ecclésiastique a été réduite à néant. Paralysée face à un impérialisme talmudique séculaire, la mission de l’Église fut affaiblie. L’abolition de l’ordre des Jésuites par le Pape Clément XIV, en 1773, faite sous la pression de la franc-maçonnerie européenne de l’époque était, en termes d’énormité, du même ordre de grandeur. Déjà à partir de 1764, lorsque les Jésuites furent chassés de France, la voie était libre pour la Révolution Française de 1789. Deux siècles plus tard et après le Concile révolutionnaire, la révolution culturelle de 1968 a éclaté. Le principe révolutionnaire de l’égalité qui est profitable au pouvoir des Juifs talmudiques, le libéralisme et le relativisme destructeurs ont été élevés au rang de normes sociétales. L’édifice entier de la pensée, de la Royauté du Christ et de Ses valeurs, la tradition, les coutumes et la culture a été réduit en cendres comme par un incendie.

 

De grands saints et docteurs de l’Église ont laissé leurs traces dans l’Église naissante et dans la lutte contre le Judaïsme. Parmi les plus connus on peut citer les saints suivants : Athanase, Irénée, Jean Chrysostome, Ambroise, Isidore, Augustin, Thomas d’Aquin et bien d’autres. (Cyril, Jérôme, Felix Bernard, Louis, Norbert, Jean de Capistran, Duns Scotius, Pie V). Avec persévérance et courage ils ont défendu Notre Mère l’Église et les nations européennes, souvent à contre-courant. Le Pape Pie IX a stigmatisé le Judaïsme talmudique libéral comme « Synagogue de Satan » (cf. l’Évangile de St. Jean), pour plusieurs raisons, dans son encyclique Etsi multa luctuosa (1873) (18). Mais l’église postconciliaire semble renier et ignorer ces grands saints.

La fermeté de Saint PIE X (1903-1914) qui proclamait la Royauté du Christ comme objectif et fondement de la société, semble être une relique du passé. Il a dit : « Pas de vraie civilisation sans civilisation morale, et pas de vraie civilisation morale sans la vraie religion (19) ». Avec la réunion d’Assise (1986) et Jean-Paul II qui a embrassé le Coran et a demandé sa bénédiction au grand-rabbin de Paris, l’Église semble pétrifiée. Elle semble avoir enterré son histoire héroïque et s’est résignée au compromis œcuménique, fruit de l’égalitarisme révolutionnaire maçonnique, prélude du déclin et finalement de l’autodestruction. Il semble qu’elle ait abandonné la lutte pour sa survie et se soit accommodée de son auto démolition, causée par des « papes » controversés, dans une époque troublée. Elle semble avoir accepté le modernisme omniprésent qui détruit tout surnaturel venant de Dieu et qui donne un statut divin à l’homme. Il semble qu’elle ait oublié son rôle traditionnel de gardienne des nations. Repliée sur elle-même, elle n’est plus en mesure de défendre les nations. Elle est impuissante face à l’économie monétaire agressive des « mammonites » et des banquiers, au matérialisme absolu et au tsunami des perversions culturelles, morales et violentes d’Hollywood, un bastion juif libéral. Selon l’écrivain Adam Israël Shamir, converti et résidant en Israël, ce sont, point par point, des caractéristiques du Judaïsme talmudique libéral (20) qui, avec un impérialisme sans gêne, a réussi à conquérir le monde en l’espace de deux siècles.

 

À partir de la Révolution Française (1789), la Synagogue de Satan a réussi à assujettir l’Europe et le monde, par des révolutions et des guerres, des immigrations de masse, et même par la crise bancaire en 2008, ainsi que la prétendue crise climatique en 2009, à partir de sa base opérationnelle britannique et plus tard américaine. La lutte contre le «terrorisme» vise à déclencher une guerre contre le monde islamique, dans l’intérêt d’Israël. Chaque fois, la Synagogue a suivi le même schéma de « diviser pour mieux régner » en montant les nations européennes les unes contre les autres pour créer la haine ou en dressant les peuples les uns contre les autres avec de faux arguments, comme durant la Guerre Froide avec l’Union Soviétique (1945-1989). Avec le printemps arabe, c’est le tour de l’Iran et des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. La religion de l’Holocauste a renforcé son influence et depuis lors, la façon de penser des Européens et des Américains a pu être conditionnée, afin de neutraliser toute forme de critique et d’opposition. C’est aussi ce qui est arrivé à l’Église.

 

Pinay attire l’attention sur 2000 ans d’histoire de l’Église qui a connu des périodes florissantes, durant lesquelles le Pape et les évêques, de concert avec l’autorité civile, ont pu freiner l’impérialisme talmudique. Ils ont protégé les nations chrétiennes contre les pratiques de l’usure avec des taux d’intérêt hebdomadaire excessifs, contre l’extorsion et la perception des impôts, le commerce des esclaves, les activités commerciales monopolistes, la trahison et la collusion avec des nations hostiles. Le déclin de l’Église coïncidait toujours avec des périodes où l’Église était tolérante et manquait de fermeté, comme par exemple à l’époque des marranes Arius et Nestorius (4è et 5è siècle), de l’invasion de l’Islam en Espagne (711), due à la trahison des juifs talmudiques, ou encore de la prise du pouvoir des Bolcheviks juifs en Russie (1917). Notre époque postconciliaire est caractérisée aussi par le philosémitisme, le relativisme et les abus liturgiques qui sont la cause de la décadence de l’Église et de l’apostasie en Europe. En revanche, il semble que les monastères authentiques et les fraternités traditionnelles, en France, en Belgique et aux Pays-Bas, connaissent un renouveau et exercent une grande attraction sur les jeunes. Benoît XVI a replacé la prière pour la conversion des Juifs dans la liturgie de Vendredi Saint, parce que c’est la seule solution.

 

On pouvait aussi trouver, au milieu des fidèles, des Marranes, des faux convertis. À un moment donné, au Moyen Âge, les Juifs talmudiques avaient réussi, avec leurs pratiques d’usure, à devenir propriétaires de la moitié de Paris et ses environs. À cette époque, ils réduisirent plus d’une famille française à la mendicité jusqu’à ce que les autorités interviennent et y mettent fin. Le roi Philippe-Auguste les a dépossédés et expulsés, en 1182. Cette acceptation initiale par la population locale, puis les abus suivis de réactions, telles que des révoltes, la dépossession et l’exil, c’est ce qu’on voit revenir chaque fois dans l’histoire de tous les pays, régions ou grandes villes ; aux Pays-Bas ce fut le cas en 1444, principalement à Amsterdam. En 1290, tous les Juifs furent expulsés d’Angleterre, jusqu’à ce qu’ils puissent revenir en 1649, sous le dictateur Cromwell. Un demi-siècle plus tard, l’Angleterre qui était devenue protestante, deviendra la base opérationnelle des Juifs, avec la City de Londres comme bastion financier juif.

 

Le Stadhouder (Gouverneur Général), Guillaume III d’Orange était entouré de Juifs d’Amsterdam, lorsqu’il renversa son beau-père catholique, Jacques II et qu’il prit le pouvoir, à Londres, en 1688. Ce dernier a réussi à s’enfuir en France. Guillaume III (William III) a été soudoyé moyennant deux millions de livres sterling et il fut amené à Londres par les banquiers juifs qui voulaient se débarrasser du roi catholique Jacques II (James II). Six ans plus tard et avec le consentement du roi protestant Guillaume (William), ils ont fondé la Banque d’Angleterre à Londres et ont fait de la City une zone franche pour banquiers, un État dans l’État (21). Jusqu’à ce jour, la City est un état dans l’État, intouchable et la Banque d’Angleterre qui est une banque privée, prête de l’argent à la couronne, depuis 1694. Depuis lors, les banquiers juifs gouvernent, en réalité, le pays et l’Empire britannique et 150 ans plus tard, ils gouvernent aussi l’Europe, les États-Unis et le monde occidental tout entier ! Ces deux millions donnés à Guillaume, ont constitué la base de l’immense fortune de la famille d’Orange.

 

En 1797, le jésuite et historien français, l’abbé Barruel, a dévoilé le caractère maçonnique de la Révolution Française de 1789, qui est en fait une guerre de religion contre l’Église. Lorsque le duc d’Orléans eut dépensé tout son argent, les banquiers juifs-libéraux de Londres et quelques filiales à Amsterdam, Berlin et New York, envoyèrent de l’argent pour le financement de la Révolution. Au bout du compte, la révolution fut couronnée de succès grâce à ce financement. Environ 4.000 religieux catholiques et 3.000 membres de la noblesse tombèrent sous la guillotine ou furent noyés sur des pontons. 40.000 prêtres et évêques se sont enfuis à l’étranger. Selon les estimations, en comptant aussi les guerres napoléoniennes, la révolution a fait trois à quatre millions de victimes sur une population de 28 millions, principalement de jeunes hommes.

 

Au 19è siècle, ces mêmes familles de banquiers sont de nouveau très actives et financent les révolutions et les guerres en Europe continentale. En 1913, ces banquiers se sont emparés du pouvoir aux États-Unis, avec la création de la Banque Fédérale Privée (FED), comme ils l’avaient fait à Londres, en 1694.

 

Le célèbre écrivain russe Soljenitsyne signale aussi leur soif du pouvoir et de domination sociale dans la Russie tsariste. En dépit de l’attitude pro-juive des Tsars, cela a provoqué, à plusieurs reprises, les fameux pogroms.

 

Jusqu’à la sortie du livre de Soljenitsyne Deux Siècles Ensemble (2002), traitant de l’histoire juive libérale de la Révolution Russe (1917), très peu de personnes étaient au courant de l’impérialisme du Talmud à travers les siècles. Depuis la Révolution Française, les Juifs se sont tenus à l’écart, afin d’œuvrer dans l’ombre. La lutte contre l’Église et contre la civilisation judéo-chrétienne a été menée dans les coulisses, cachée derrière le masque maçonnique, ou plus tard, derrière les masques marxiste, communiste ou socialiste. Rares sont les écrivains, comme par exemple la française Hélène Carrère d’Encausse, qui ont clairement indiqué, à la fin des années 1990, que les Juifs furent les instigateurs de l’Union Soviétique. Mais Soljenitsyne dénonce devant un vaste public international le bastion ashkénaze de Lénine, Trotsky, Staline, Beria, Mikoyan, Khrouchtchev, Kossyguine et d’autres comme Fidel Castro, à Cuba. Depuis le début du 20è siècle, ces révolutionnaires ont été financés par leurs congénères, les banquiers juifs-libéraux des États-Unis et du Royaume-Uni. Castro a obtenu de surcroit l’appui de sympathisants du Vatican, de sorte que l’église cubaine n’a rien entrepris durant le coup d’État, en 1959, tandis que plusieurs dizaines de millions de Russes et d’Européens de l’Est ont laissé leur vie à la révolution. L’église orthodoxe russe a perdu environ 100.000 membres de son clergé, à cause de la terreur.

 

Les atroces révolutions française et russe ont eu des conséquences énormes. Après Rousseau (1712-1778), le jésuite défroqué Adam Weishaupt (1748-1830), Marx et Engels (milieu du 19è siècle) ont inventé les premières utopies, capables de séduire le monde et qui viennent toutes des Ashkenazes. Inspiré du Talmud, le marxisme a ouvert la voie à l’impérialisme talmudique séculaire qui asservit le monde. Tous les coups sont permis et ils ne reculent devant rien. Durant des siècles, le « peuple élu », le peuple des prêtres, a cru avoir tous les droits, parce que, selon lui, le monde lui appartient.

 

Le Talmud est le moteur de l’histoire depuis des siècles et la guerre d’extermination contre la civilisation judéo-chrétienne est de toutes les époques. Comme je l’ai déjà dit auparavant, il ne faut surtout pas confondre le Talmud avec la Torah, les cinq premiers livres de l’Ancien Testament. Le Talmud est un ouvrage écrit par les rabbins pharisiens, aux 3è et 4è siècles. Ils ont repris dans des écrits païens, des connaissances et des traditions de l’ancienne Égypte et de Babylone. Ce paganisme (1300 avant JC.) et le Veau d’Or, étaient déjà le grand souci de Moïse et des prophètes, dont beaucoup ont été assassinés. La rébellion des infidèles contre Dieu, a déjà commencé avec le fondateur de la civilisation judéo-chrétienne, au moment où il a reçu les Dix Commandements sur les tablettes de pierre. Après la mort de Moïse et l’établissement du peuple juif en Terre Promise, le roi Roboam (900 avant JC) a remplacé les prêtres de la loi mosaïque par des prêtres païens qui, à partir de ce moment, domineront la communauté juive avec de nombreuses sectes. 1000 ans plus tard, la crucifixion de Notre Seigneur Jésus-Christ a eu lieu, suivie des persécutions sanglantes des premiers chrétiens sous les rois juifs et sous les empereurs romains jusqu’à la conversion de l’empereur Constantin (313). Puis vint un moment d’épanouissement de la chrétienté, au Moyen Âge. Mais le judaïsme resta cependant très vivant dans la clandestinité, dans l’attente de la venue du Messie, le dictateur mondial qui soumettra toutes les nations. C’est de cette idée que dérive le sionisme. Avec la Réforme, l’Église fut affaiblie et le Judaïsme put agir plus ouvertement dans les pays protestants d’Europe du Nord. Mais à partir de la Révolution Française de 1789 et la reconnaissance de droits civils égaux pour les Juifs, en 1791, la voie était ouverte au principe révolutionnaire de l’égalité. Cela était profitable à l’émancipation des juifs et dès lors, la progression des Juifs talmudiques dans le monde, était inéluctable. Ce fut une découverte terrible, un choc, d’apprendre que les révolutions et les guerres de 1789 (France), 1859 (Italie), 1914 (Première Guerre Mondiale), 1917 (Russie), 1919 (Allemagne), 1919 (Versailles), 1929 ( première crise bancaire), 1936 (Espagne), 1933 (Allemagne), 1939-1945 (Deuxième Guerre Mondiale), 1945 (Yalta), et la deuxième crise bancaire en 2008, ont été manigancées, organisées et financées par des francs-maçons et des banquiers ashkénazes de la City et de Wall Street.

 

La guerre civile italienne menée par Garibaldi, en 1860, devait sonner le glas de la Papauté. Il reçut de l’argent de Londres et le soutien de la Royal Navy britannique en Méditerranée. Cette guerre a coûté 40.000 morts, 11.000 blessés graves et 14.000 personnes furent emprisonnées. Environ 100 prêtres y ont laissé leur vie, 66 évêques et 9 cardinaux ont été emprisonnés. Le sud de l’Italie, très prospère à l’époque, fut déstructuré pendant longtemps. Entre 1876 et 1914, 14 millions Italiens du Sud ont émigré, entre autres, vers les Etats-Unis.

 

La guerre civile espagnole de 1936, fut plus sanglante encore que celle d’Italie. Le Grand Orient espagnol en fut l’instigateur, avec l’appui de la loge française. Le chef du gouvernement de gauche du Front Populaire en France, Léon Blum, d’origine juive, marxiste et franc-maçon, a joué un rôle actif. Un premier gouvernement maçonnique républicain à Madrid, a précédé la guerre civile. Au printemps 1931, on pouvait lire dans le bulletin du Grand Orient que « la nouvelle république est une parfaite illustration de notre doctrine et de nos principes. Il est impossible de réaliser une meilleure révolution maçonnique politique que la révolution espagnole ». À l’été 1931, le journal La Cadena de Union a écrit : « maintenant nous devons extirper les deux racines du Moyen-Âge, celle de la monarchie et celle du Vatican ». Le journal a également prôné la séparation de l’Église et de l’État, l’enseignement laïc, la liberté de conscience — même devant Dieu —, la destruction du pouvoir ecclésiastique et de son influence et enfin, la transformation des églises en temples maçonniques ou en théâtres. La guerre civile était soutenue et contrôlée par Staline, à partir de Moscou. Le soutien américain pour les républicains anarchistes, communistes et francs-maçons, passait aussi par Moscou. Les Républicains ont également reçu le soutien des Brigades Rouges Internationales avec 32.000 bénévoles, dont 8.000 juifs d’Europe et d’Amérique du Nord ; c’était le plus gros contingent. Il y avait même un bataillon juif, la Compagnie Botwin, qui utilisait sa propre langue véhiculaire, le Yiddish. La plupart des commissaires politiques, attachés à des commandants républicains locaux, étaient juifs. Sur une population de 20 millions, la guerre civile a fait au total 665.000 victimes, dont 85.000 tuées par les républicains et 40.000 par les nationalistes ; 220.000 personnes sont mortes de faim et de maladie et 320.000 soldats ont péri. L’église espagnole a déploré l’assassinat de 17 évêques et de 8000 prêtres et religieux. Le 28 octobre 2007, 498 d’entre eux ont été canonisés à Rome. Au total, l’Espagne a perdu un million de personnes, soit parce qu’elles ont été tuées ou qu’elles se sont enfuies à l’étranger.

 

En 1919, la Première Guerre Mondiale s’est définitivement terminée avec le Traité de Versailles. C’était un tête-à-tête entre maçons. Autour de la table des négociations, il n’y avait que des francs-maçons, des membres de la Round Table ou de la Pilgrims Society. L’Allemagne avait perdu la guerre, parce que les banquiers de Berlin avaient fermé le robinet des crédits et aussi à cause des rebellions communistes, des grèves et des sabotages en Allemagne. La disparition des trois empires chrétiens, la Russie, l’Allemagne et l’Autriche, fut la victoire du complot maçonnique anglo-américain. Les objectifs de la guerre étaient atteints avec la disparition de la prééminence européenne dans le monde. De plus, Bernard Baruch, banquier américain et chef de la délégation sioniste composée de 117 personnes à Versailles, a reçu la promesse de l’Angleterre d’attribuer la Palestine aux sionistes. L’accord avait été conclu entre Baruch, le banquier Rothschild et le ministre britannique des Affaires Étrangères, Arthur Balfour. Ils étaient tous les trois d’origine juive-libérale. Depuis lors, la civilisation européenne ne s’est pas rétablie. L’Allemagne a compris qu’elle avait perdu la guerre non pas militairement, mais financièrement et diplomatiquement. L’Europe allait devenir désormais le terrain de jeu de puissances non-européennes. En 1988, lors du Congrès maçonnique de Turin, le franc-maçon et historien Aldo Mola a déclaré que la franc-maçonnerie internationale a voulu la Grande Guerre afin de détruire l’empire des Habsbourg. Le 13 mai 1917, le jour des apparitions à Fatima, le Grand Maître du Grand Orient du Portugal, Magalhaes Lima, a déclaré : « La victoire des alliés sera le triomphe des principes maçonniques ». En 1920, l’écrivain britannique Dillon a déclaré : « À partir de maintenant, le monde sera gouverné par les nations anglo-américaines qui, à leur tour, sont dominées par les Juifs ». Pour le maréchal Foch (1918), commandant français catholique, ce Traité n’était rien d’autre qu’une trêve de vingt ans. Philip Snowden, devenu ministre plus tard, a condamné le Traité de Versailles comme la déclaration de la prochaine guerre. Il a dit : « Le Traité dévoile les vrais buts des alliés ». C’était une deuxième guerre avec l’Allemagne.

Après le soutien financier, industriel et militaire anglo-américain aux Bolcheviks et la reconstruction de l’Union Soviétique à partir de 1917, ces mêmes banquiers et industriels anglo-américains ont œuvré à déstabiliser l’Allemagne en provoquant l’hyperinflation, au début des années 1920. Dans les années 1930, ils ont soutenu la montée d’Hitler et la ré-industrialisation de l’Allemagne à l’aide d’énormes cartels, avec la participation de nombreuses industries américaines comme Ford et General Motors et des banques Morgan, Rockefeller Chase et d’autres. L’édification de l’armée d’Hitler a eu lieu avec l’aide de l’Union Soviétique stalinienne. L’armée allemande avait même le droit de faire des exercices sur le territoire soviétique. Le gouvernement britannique a également soutenu Hitler avec des moteurs d’avions Rolls Royce et le transfert de l’or tchèque en 1939, ce qui a permis à Hitler de payer les livraisons de pétrole à Shell et aux grandes compagnies pétrolières anglo-américaines.

 

Après la chute du Troisième Reich, deux ashkénazes, Roosevelt et Staline, se sont partagé l’Europe judéo-chrétienne, le 4 février 1945, à Yalta. Ils ont coupé le continent en deux parties, l’Est et l’Ouest, afin de pouvoir le dominer ensemble. Mais tous les obstacles pour la suprématie talmudique universelle n’avaient pas été éliminés. L’Église du Christ était le dernier obstacle. Lors du Concile en 1962, la dernière bataille fut livrée. Des Marxistes, des philosémites et des maçons ont essayé de neutraliser l’Église du Christ de l’intérieur. Depuis, l’ennemi n’est plus dehors, mais c’est le clergé dans sa grande majorité, qui œuvre à l’autodestruction. Humainement parlant, ni l’Église ni le christianisme n’ont une chance de survie. La suprématie cosmopolite juive libérale semble invincible. Seul un véritable et authentique Pape catholique pourrait trouver un moyen de s’en sortir, face à une élite d’argent juive et maçonnique, apparemment intouchable, en s’inspirant des paroles de Saint Paul dans Éphésiens 6 :10-17 :

« Frères, rendez-vous puissants dans le Seigneur et dans la vigueur de sa force. Revêtez l’armure de Dieu afin de pouvoir tenir contre les manœuvres du Diable. Car notre lutte n’est pas contre la chair et le sang, mais contre les Principautés, contre les Pouvoirs, contre les Souverains de ce monde de ténèbres et contre les Esprits pervers qui sont dans les espaces célestes… ».

 

Mais la solution se fera attendre tant que le ciel laissera Rome dans la confusion et ne viendra pas à la rescousse de l’Église par la conversion de tous les Juifs.

 

 

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Tous les livres mentionnés dans cet article peuvent être fournis par les Éditions A.C.R.F.

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Édition française augmentée d’un chapitre par l’auteur. Traduit du néerlandais au français en 2013 par Christofora CHRISTIAANSE avec l’aide de Christiane van ROOYEN-BOUDART. Après une carrière militaire et familier de Renseignements aux Plans de l’État Major du ministère de la Défense à La Haye, Jean-Jules van Rooyen a fait des recherches pendant 12 ans, sur le monde caché. Derrière le monde artificiel des media et de la politique, il a découvert le grand mensonge, la soif du pouvoir et un monde totalitaire et sans borne ; le terrain de jeu des réseaux secrets qui ont programmé la perte des états européens. De 1990 à 1998, l’écrivain a travaillé comme chroniqueur au « Journal de La Haye ». En 2002, il a publié le livre Chrétien-Démocrate « Un mot de trop ». Sans crainte d’exagération, on peut assurer qu’aucun autre livre au cours de ce siècle n’a été l’objet d’autant de commentaires dans la presse mondiale. Violemment défavorables furent ceux des communistes et de tous ceux que contrôlent les francs-maçons et les juifs, et extrêmement élogieux, ceux des rares revues catholiques indépendantes de ces forces sataniques, et qui eurent le droit d’exprimer librement leur point de vue. Chose vraiment inusitée en matière de publicité littéraire, un an après la diffusion de la première Edition italienne au Saint Concile, la presse des différentes nations du monde libre continue de parler de ce livre extraordinaire. Traduction de l’italien par le Père Louis Demornex.

Cette première ‘étude’ de recherche sur la figure historico-religieuse de Paul VI nous a amenés à une triste conclusion: la ‘religion’ prêchée part Paul VI ne coïncidait pas toujours avec la religion authentique enseignée de manière constante pendant 2000 ans par le Magistère continu, par tous les Saints et les Docteurs de l’Église. Tout en ne mettant pas en doute la sincérité de Paul VI, car Dieu seul ‘sonde les reins et les cœurs’, nous voulons toutefois rapporter ici les tristes conclusions de notre étude sur lui, persuadés que nous sommes qu’il a entraîné les fidèles vers une ‘nouvelle religion’ qui continue à porter l’étiquette de ‘catholique’. Pour la rédaction de ce dossier, vu la gravité de la ‘mise’, surtout lorsqu’il s’agit de prendre honnêtement le courage à deux mains pour dire la ‘vérité’ toute entière, malgré le risque de devenir impopulaires (Justement parce que d’habitude, veritas odium parit), l’auteur de cet écrit depuis plus de dix ans, a lu pas moins de 30.000 pages d’encycliques, de discours, de documents conciliaires, de journaux historiques, de commentaires et de revues de tout genre pour avoir une vue d’ensemble assez adéquate pour soupeser le pontificat d’un ‘Pape’ qui est déjà passé à l’histoire, et dont l’œuvre peut donc être éventuellement mise en discussion et en jugement.

   
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Don Villa, nous retrace avec une centaine de photos, la biographie de Karol Wojtyla pendant sa jeunesse. Il remonte à ses ancêtres, puis ses voyages internationaux, sa philosophie, sa théologie, ses relations avec les francs-maçons, avec les communistes, ses faits et dires, sa doctrine mariale, sa conception de la primauté de Pierre et enfin sa théologie du corps. N’ayons pas peur de la vérité, elle nous rendra libre; voyez, lisez et jugez. « Le naturalisme est davantage qu’une hérésie : c’est de l’antichristianisme à l’état pur. L’hérésie nie un ou plusieurs dogmes ; le naturalisme nie qu’il y ait le moindre dogme, voire qu’il puisse en exister un seul. L’hérésie altère plus ou moins ce que Dieu a révélé ; le naturalisme nie l’existence même d’une révélation. Il s’ensuit que le naturalisme a pour loi inévitable et pour passion obstinée de détrôner Notre Seigneur Jésus-Christ et de Le chasser du monde. Telle sera la tâche de l’Antéchrist, et telle est la suprême ambition de Satan. »

 

 

 

 

 

 

[1] Disponible aux Éditions Saint-Remi : (vous pouvez le commander aussi aux Éditions ACRF, 50 avenue des Caillols – 13012 Marseille)

http://saint-remi.fr/fr/judaisme-franc-maconnerie/1267-les-traverses-du-pouvoir-les-revolutions-et-les-reseaux-secrets-depuis-1776-978281622274.html
 

 

[2] * Conférence, Église St. Agnès à Amsterdam, le 19 mars 2011

 

[3] Disponible aux Éditions Saint-Remi : (vous pouvez le commander aussi aux Éditions ACRF, 50 avenue des Caillols – 13012 Marseille)

http://saint-remi.fr/fr/judaisme-franc-maconnerie/746-deux-mille-ans-de-complot-contre-l-Église-ie-iie-partie.html

 

[4] http://www.eschaton.ch/website/2013/la-renonciation-du-pape-a-la-lumière-de-fatima/

Nota CatholicaPedia : Ce blogue d’un fidèle de la FSSPX a déjà subi des attaques pour anti-sémitisme pour sa dénonciation du Talmud. Il était possible qu’il ferme un jour ou l’autre… c’est fait !!! l’article est inaccessible…

 

[5] Voir YouTube, “The secret of Fatima-Father Paul Kramer”, Crusader Luis in “The Third secret of Fatima, the imposture Sister Lucia and the end of the world”, vaticancatholic.com ; https://www.youtube.com/watch?v=ENWYRPkA7Ao ;

 

[6] Disponible aux Éditions Saint-Rémi : (vous pouvez le commander aussi aux Éditions ACRF, 50 avenue des Caillols – 13012 Marseille)

http://saint-remi.fr/fr/combat-de-la-foi/944-paul-vi-bienheureux-.html

 

[7] L’identité juive reste dominante. Ce fut apparemment aussi le cas pour le Pape Paul VI, qui s’est fait photographier, déguisé en rabbin. Louis Brandeis, juge bien connu de la Cour Suprême de Justice, en fait le commentaire suivant dans son livre de 1920, Péril judéo-maçonnique : « Admettons tous que nous, les Juifs, sommes une nationalité dont chaque Juif, quel que soit son pays, son statut social ou sa nuance religieuse, est nécessairement un membre ». Dans son livre Rome et Jérusalem, Moses Hess dit : « La religion juive est avant tout le patriotisme juif… les juifs forment une race liée par la fraternité, par une nation… » (Cité par Mgr Jouin, La Judéo-Maçonnerie et L’Église Catholique, III, page 144, disponible aux Éditions Saint-Remi).

 

[8] Le 23 mai 1958, le Pape Pie XII a souligné « l’origine de l’apostasie moderne, c’est-à-dire l’athéisme scientifique, le matérialisme dialectique, le rationalisme, l’Illuminisme, le laïcisme et la franc-maçonnerie qui est la mère de toutes ces erreurs spirituelles ». Le Cardinal Siri était le successeur désigné de Pie XII qui est décédé le 9 octobre 1958. Le conclave pour l’élection du Pape a été manipulé par les cardinaux francs-maçons. Les plus connus d’entre eux étaient Bea (juif), Alfrink (franc-maçon) et Tisserant. Le Cardinal Siri qui avait été élu le 26 octobre 1958, fut mis à l’écart à vie et isolé du monde extérieur sous menace de mort. (www.destroyfreemasonry.com). Avec Jean XXIII et Paul VI, les « papes » maçonniques ont dominé le Concile désastreux de 1962 et la période qui a suivi, jusqu’en 1978. Le troisième secret de Fatima de la vraie sœur Lucie, en était l’avertissement et décrivait l’apostasie massive qui allait suivre. (https://www.youtube.com/watch?v=J48gygydKUE&feature=relmfu).

Nota CatholicaPedia : « Fatima, l’Antéchris… » Le compte YouTube associé à cette vidéo a été clôturé, car nous avons reçu, à plusieurs reprises, des notifications de tiers pour atteinte aux droits d’auteur ! dixit YouTube

 

[9] 2000 ans de complot contre l’Église, Maurice Pinay, pages 58 et 471, note du traducteur et dans l’épilogue de l’éditeur.

 

[10]La loge P.2, fondée au milieu des années 1960 par Licio Gelli, était une loge secrète et exclusive au sein de la franc-maçonnerie régulière. Elle avait des liens étroits avec la mafia et a été dissoute en 1981. Gelli a été condamné à 17 ans d’emprisonnement. La loge P 2 comptait 67 évêques et cardinaux, dont des prélats connus comme Bea, Baggio, Bugnini, Casaroli, Liénart, Suenens, Villot (The Vatican Exposed, money, murder and the mafia, Paul L. Williams, page 116.

 

[11] Epiphanius, Maçonnerie et sectes secrets, le côté caché de l’histoire, Courrier de Rome, 2005, page 620 et 494 ; voir aussi Internet.

 

[12] L’église postconciliaire pense savoir mieux que, entre autres, saint Paul (1 Thess 2 : 15-16.), saint Pierre (Actes 2 : 22-24, 3 : 12-15; 5 : 29-31), saint Mathieu (15 : 4-9, 23 : 23-39, 27 : 15-26), saint Jean (8 : 37 à 44, 7 : 19-22; 5 : 18) et saint Marc (7 : 6-9). Avec le document Nostra Ætate, ce fut la rupture avec les enseignements de ceux-ci. Le Missel du NOM de l’après-Concile, à la fin des années 1960, est censuré sur tous les textes hostiles aux Juifs. De ce fait, le moteur révolutionnaire des forces du Mal contre l’Église et la société est tombé dans les oubliettes (voir dans ce livre, les révolutions française, russe, italienne et espagnole, les guerres des 19 et 20è siècles, la guerre froide, le marxisme, communisme, socialisme, féminisme, libéralisme et enfin, la crise bancaire actuelle. Nostra Ætate a ouvert une brèche dans la résistance de la civilisation, par laquelle les forces du Mal d’un monde corrompu ont permis de miner le Christianisme et l’Église. En tant que facteur social, ils comptent encore à peine et la prise de conscience du danger mortel a disparu. Les Pharisiens, précurseurs des Juifs libéraux talmudiques d’aujourd’hui, se sont évaporés dans l’église conciliaire. Lorsque Jésus s’adresse aux Pharisiens dans l’Évangile, il est dit par exemple : « Il se tourna vers la foule », ou … « à ses disciples » (voir par exemple le 2è dimanche après Pâques, Jean. 10:11-16) dans le missel NOM. Les textes condamnant sévèrement les Pharisiens ont complètement disparus (voir par exemple : le mardi de la 1è semaine du temps de carême, Mt 21, 10-17 ; le 26 décembre, saint Étienne, Mt 23. 34-39 ; le 18 juin, saint Marc ; saint Luc 11, 47-51 ; le 9è dimanche après la Pentecôte, I Cor 10: 6-13, Luc 19: 41-47, le dimanche de la Passion, Jean 8: 46-59…) Ce dernier se termine par « …Jésus leur répondit : (aux scribes pharisiens) « En vérité, en vérité, Je vous le dis, avant qu’Abraham fût, Je suis. Puis ils prirent des pierres pour Le lapider, mais Jésus se retira et quitta le Temple ». Ce qui est également retiré du missel du NOM, c’est l’avertissement bien connu de Jésus pour les « faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, mais qui sont au-dedans des loups ravisseurs…. vous les reconnaîtrez à leurs fruits » et aussi : « tout bon arbre produit de bons fruits, mais un mauvais arbre produit de mauvais fruits et donc vous les reconnaîtrez à leurs fruits » (7è dimanche après la Pentecôte, Mt. 7:15-21). Ce texte semble s’appliquer à l’église conciliaire qui remet en cause l’essentiel de l’Écriture Sainte qui est intemporelle. Elle annonce le début d’une nouvelle ère, avec une nouvelle église, en abolissant, entre autres, dans la liturgie (l’endroit où le fidèle rencontre Dieu), le latin, le chant grégorien et le caractère de la Messe comme sacrifice, en le présentant comme un repas, en introduisant la langue vernaculaire et la sélection de textes bibliques sélectionnés et politiquement corrects. Luther a fait de même et a créé une nouvelle église dans une nouvelle époque, l’époque moderne axée sur l’homme. Le Luthéranisme a engendré les plus grands désastres. L’histoire nous apprend que, si l’Église abandonne complètement son passé et renie la transmission de la Tradition et qu’elle remplace le caractère sacrificiel eucharistique par un repas, qu’elle néglige sa mission de défendre la Royauté du Christ et qu’elle bouleverse la liturgie, des catastrophes se préparent pour l’Église et la société.

 

[13] Ibid., II, Maurice Pinay, page 280

 

[14] Sermons, Vol. III, page 50, Mgr. Marcel Lefebvre, éd. Saint-Remi.

 

[15] En plus de la disparition du caractère sacrificiel de la Sainte Messe, le prêtre qui célèbre la messe devait se tourner vers le peuple ; il ne fallait plus se tourner vers Dieu, mais vers les hommes. Les textes du canon ont été remplacés par des textes modernistes et les anges et les saints ont disparu des prières, ainsi que les formules de prières trinitaires et les moments de silence pour le recueillement. Les chasubles et les ornements traditionnels ont disparu et le célébrant eut la liberté de mettre en valeur sa créativité individuelle devant les fidèles.

 

[16] Selon le chercheur et théologien Don Luigi Villa, Luther nourrissait une grande haine pour la Sainte Messe : « Je suis convaincu que, si la Messe est abolie, nous aurons en même temps frappé la Papauté. …Je déclare que les maisons closes, le meurtre, le vol, et l’adultère, sont moins mauvais que cette Messe abominable des Papes ». Don Villa cite aussi Rudtfeldt, le serviteur de Luther, qui a déclaré, « avoir trouvé son patron pendu à son lit, littéralement étranglé » (Karol Wojtyla, Bienheureux ?… Jamais ! !, page 127, disponible aux Éditions Saint-Rémi : (vous pouvez le commander aussi aux Éditions ACRF, 50 avenue des Caillols – 13012 Marseille)

http://saint-remi.fr/fr/combat-de-la-foi/1053-karol-wojtyla-bienheureux-jamais-.html).

L’historien français Ivan Gobry rapporte aussi ce suicide par pendaison, le 18 février 1546, dans son livre, Martin Luther. Dans son analyse détaillée de la fin de vie de Luther, le Dr. Majunke cite Rudtfeldt, son valet qui, de nombreuses années après la mort, voulait briser le silence et disait avoir trouvé en premier Luther très tôt dans la matinée, « pendu à son lit et pitoyablement étranglé ». D’autres témoins qui ont vu Luther mort, ont déclaré que la tête de Luther avait les caractéristiques d’un étranglé avec une « tête noirâtre et la langue tirée ». (La fin de Luther, page 47, 31, éd. Walzer, Paris, 1893)

 

[17] Disponible aux Éditions Saint-Rémi : (vous pouvez le commander aussi aux Éditions ACRF, 50 avenue des Caillols – 13012 Marseille)

http://saint-remi.fr/fr/politique/1149-la-royaut-du-christ-et-le-naturalisme-organis.html

 

[18] Le pape Pie IX s’est basé, entre autres, sur certaines règles extrêmement hostiles du Talmud envers Jésus-Christ et la Vierge Marie :

« Tous les chrétiens doivent être tués sans en excepter les meilleurs ». (Zohar I, 219 b);

« Le meilleur parmi les Goïms mérite d’être mis à mort » (Abhodah Zarah 26 bTosephoth);

« Effacez la vie du chrétien et tuez-le. C’est agréable à la Majesté Divine comme celui qui offre un don d’encens ».

Le Christ aussi est insulté d’une manière abominable.

« Fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère » (Kallah, 1b 18b.) ;

« Mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente » (Zohar III, 282) ;

« Le fils de Pandira, un soldat romain » (Abhodah Zarah II) ;

« Juste avant Pâques, il fut pendu »

Quarante jours avant cela, la proclamation suivante fut faite :

« Jésus doit être lapidé à mort parce qu’il a pratiqué la sorcellerie » (Sanhédrin 43a) ;

« Jésus est en enfer, bouillant dans des « excréments chauds » (Gittin 57 a).

(cité dans « Réponse à M. L’Abbé Belmont », Bruno Saglio, page 41, Éd Saint-Remi, 2012)

 

[19] Lettre sur le Sillon, St. Pie X, éd Clovis, page 18.

 

[20] Israël Adam Shamir, L’autre visage d’Israël, éd Al Qalam

 

[21] Mgr Jouin, La judéo Maçonnerie et L’Église Catholique, III, page 10, disponible aux Éditions Saint-Remi.