Fátima : la « canonisation » maçonnique et blasphématoire de Francisco et Jacinta

Fátima en noir et blanc : non ce n’est pas un film ancien, du début du siècle dernier, mais un film de l’actualité la plus récente. Certains lecteurs qui ne connaissent pas l’italien, me demanderons des éclaircissements. Ce que je fais ici en prenant les devants.

Le document présenté dans cet article, est édité par Chiesa viva, que nos lecteurs habituels connaissent bien, il pose neuf questions en préambule… Les réponses fournies n’engagent que leur auteur. On peut laisser de côté les tracés en couleur de triangles, de pentagrammes ou d’hexagrammes qui sont l’une de ses passions, bien qu’il soit un spécialiste confirmé de l’ésotérisme catholico-romain… Bien que ne pratiquant pas l’italien, cette langue latine est suffisamment proche de la nôtre pour qu’on puisse comprendre ces neuf bonnes questions.

L’emploi d’un langage ésotérique, réservé à des initiés n’est pas une nouveauté dans la vie de l’Église, le décor peint de la Chapelle Sixtine en est la plus riche illustration : c’était il y a cinq siècles. Mais ceci n’est pas le sujet ici abordé.

Ce document est riche d’enseignement : il affirme clairement la mort prochaine de l’Église militante traditionnelle, et les maîtres du “Saint-Siège” l’ont fait à l’occasion de la (pseudo) “canonisation” de ces deux saints enfants, alors que leur ainée et figure de proue des faits miraculeux de Fátima n’est toujours pas ‘canonisée’.

L’architecture de ce sanctuaire provisoire — un temple — annonce aussi la mise en bière de cette Église dont il ne resterait ensuite que des symboles. Cette (pseudo) “canonisation” n’a pas le sens que nous, catholiques, donnons à ce mot. Ces deux enfants sont les témoins d’une « sublimation » qui s’est opérée durant le siècle passé : de 1917 à 1967, 50 ans de déclin d’une liturgie et d’une spiritualité héritées d’un passé désormais révolu, puis 1957-2017, 50 années d’une évolution irréversible pour promouvoir à la place le culte de l’homme moderne qui est aujourd’hui convié à se diviniser lui-même, le Christ n’étant plus alors qu’une figure anticipée de cette mutation. Comprenons bien qu’il s’agit ici de donner raison à ceux qui ont refusé de publier la 3^è partie du secret de Fátima. Sous-entendu, c’est ce silence fait sur lui qui a permis la mutation qui caractérise ce second demi-siècle, car si ce secret (ledit « 3^è secret ») avait été publié par les papes concernés, cette mutation n’aurait pas pu se produire, car c’était son but : rendre impossible ce qui se produit aujourd’hui. Cette cérémonie blasphématoire du 13 mai 2017 donne toute sa signification à la « révélation bidon » de juin 2000, par Sodano, Ratzinger et consorts.

La présence visuelle de ces enfants (les photos géantes) n’est pas placée sous le dais, mais au-dessus (sur le clocher) : ils ne sont donc que des symboles, élevés dans l’éther de la sagesse humaine, de cette mutation actuelle de l’Église militante. Mais sous le dais, observons bien comment le Christ se détache Lui-même de sa Croix qui s’estompe et commence à glisser de côté et n’est alors plus qu’une esquisse pure et symbolique. Remarquons comment ce Christ s’élance de lui-même, mu par sa propre énergie musculaire, comme un plongeur qui va faire des sauts périlleux en l’air avant de disparaître dans l’eau. Le message principal que délivre cette architecture catholico-maçonique concerne la Passion de notre Sauveur et le saint Sacrifice de la Messe. Je suis suffisamment familiarisé avec cette forme d’expression pour en donner la signification. Considérons bien que le ‘pontife’ de cette cérémonie profanatrice, un certain « pape François », siège 5 degrés au-dessus de l’autel (4 + 1), exactement sous l’Homme-Jésus qui s’est libéré de sa Croix, laquelle glisse déjà discrètement vers les coulisses. Notez encore que l’autel est celui de la transgression : il est installé au sommet de 11 degrés, le chiffre 11 étant celui de la transgression (des Dix commandements). Cet autel est en réalité un cénotaphe à 12 places, celui des 12 infortunés compagnons d’un certain Jésus, qui fut un grand initié en son temps, mais qui a fait son temps depuis… La lumière noire des 6 cierges, fait de l’autel un catafalque, exactement comme l’exige le cérémonial des obsèques d’un frère maçon. Etc. Etc.

Ceci signifie, qu’aux yeux des « grands architectes » qui ont conçu cet édifice occasionnel, l’Église militante est bel et bien entrée dans sa propre passion à l’image de la Passion de notre divin Sauveur. Imitons alors sa Sainte Mère qui a vécu cette Passion en l’intériorisant en son Cœur Immaculé, mais aussi transpercé de douleurs.

* * *

Les 6 chandeliers noirs, les 18 couronnes de fleurs à leur base, ainsi que les 2 sièges latéraux derrière l’autel et le trône central, représentent le Triangle Inversé de l’Antéchrist, formé par Lucifer, l’Empereur du Monde et le Patriarche du Monde.

Le côté horizontal le plus grand, reposant sur le bord supérieur du trône central, s’étend jusqu’à l’axe du candélabre, tandis que les deux côtés obliques convergents s’appuient sur les faces verticales des deux sièges de côté. (La géométrie n’est pas parfaite uniquement par l’angle de la photographie).

Cette représentation de la Triple Trinité, avec son axe passant par le centre de l’étoile à 5 branches avec la pointe pointant vers le haut, est le symbole de la déification de l’Homme.

Notez que le point culminant atteint la poitrine du “Christ” à la position du cœur.

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En observant François glorifiant le Soleil Infini de Lucifer,
les mots du Chef suprême des Illuminati, Albert Pike (1), reviennent à la mémoire :

« … Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »

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[1] Albert Pike et le plan luciférien de gouvernement mondial

Albert Pike [1809-1891], 33^è degré, grand commandeur du Rite écossais du Sud,
fonda sa propre obédience luciférienne : le “New Reformed Palladian Rite”
destiné à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial.
(Jean Lombard, « La face cachée de l’Histoire moderne »)

La lettre du général Albert Pike à Giuseppe Mazzini du 15.08.1871 fut révélée par le Commodore William Guy Carr (1895-1959) dans son livre « Pawns in the Game » («Des Pions sur l’Échiquier», Éd. Canadienne éditée en 1954 par la « National Federation of Christian Laymen »). Cet officier de marine canadien faisait partie de l’équipe formée par l’amiral britannique Sir Barry Domville, ancien chef de la « Naval Intelligence », retraité en 1936 et plus tard incarcéré par W. Churchill comme antibelliciste.

Celle ci traite du schéma « Crise, Guerre, Révolution » des 3 grandes révolutions suivies des 3 guerres mondiales qui doivent marquer le XX^è siècle.

L’objectif recherché derrière la mise en œuvre de Trois Guerres Mondiales

Jean Lombard, historien, écrivait en 1984 : « Si l’on permet le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale, la dévastation sera si considérable que les Internationalistes en arriveront à prétendre que seul un Gouvernement Mondial soutenu par une force de police internationale permettra de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux, rendant impossible de nouvelles guerres. Cet argument paraîtra logique à de nombreuses personnes…  » (La face cachée de l’histoire moderne, p. 553) Oui, tout le plan vise cet unique objectif : imposer un Nouvel Ordre Mondial avec sa Religion Universelle… le culte de Lucifer ! Le 14 juillet 1889, Albert Pike déclarait, par exemple, aux 23 Suprêmes Conseils du monde (les chefs de la Franc-Maçonnerie universelle) : « la véritable et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer. » (« The Freemason » du 19/1/1935)

La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre. Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions.

La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant sur les divergences entre nationalistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’État souverain d’Israël put s’établir en Palestine. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu’à son utilisation pour le dernier cataclysme social.

Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et Churchill ont réalisé cette politique ?

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.

Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l’Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ?

« Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »

Extrait intégralement du « Plan de Pike » :

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