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Lorsque TAU TAU Bergoglio fêta symboliquement le 18 juin 2017 l’abolition du Sacerdoce catholique, en ouvrant le jubilé du nouveau rite du sacre épiscopal (Pontificalis Romani, 18 juin 1968)

 

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TEXTES IMPORTANTS À LIRE ET À DIFFUSER

 

(D’un correspondant)

 

La cinquantième année (année jubilaire) de l’abolition du Sacerdoce catholique solennellement ouverte à Saint Pierre de Rome par François-Bergoglio

La clé de voûte révélant l’architecture générale du plan d’attaque gnostique contre l’Église catholique

La pierre d’angle qu’ont ignorée ou délaissée les bâtisseurs de la réaction catholique à Vatican II

 

Texte reçu d’un correspondant, bien au fait de cette question de l’invalidité du rite épiscopal de Pontificalis Romani :

 

« C’est le 18 juin 2017, date qui marquait exactement le début de la cinquantième année (année jubilaire) de l’abolition, le 18 juin 1968, du Sacerdoce sacrificiel catholique de rite Latin par la promulgation à cette date de la pseudo-“Constitution apostolique” Pontificalis Romani de Montini-Paul VI, que Bergoglio-François est apparu solennellement sur le parvis de Saint Pierre en arborant devant la presse internationale sa férule de double Tau de Patriarche de l’église Gnostique Universelle, qui, après l’extinction du Sacerdoce sacrificiel Catholique de rite latin désormais acquise dans les faits, supplante à Rome la véritable Église de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

TAU TAU Bergoglio

 

Seul ce contexte hautement vital et stratégique, l’invalidité du nouveau rite des sacres conciliaires, permet de révéler le véritable sens de cette mise en scène publique de Bergoglio, parfaitement comprise par les initiés, habitués des loges de l’église Gnostique et de leurs doctrines radicalement anti-catholiques et sataniques.

 

L’apparition publique du double Tau de Patriarche de l’EGU (église Gnostique Universelle) proclame urbi et orbi l’abolition effective du rite sacrificiel catholique latin de l’ancienne Rome, et sa longue période biologique désormais révolue, après l’extinction progressive de la quasi totalité des lignées épiscopales valides qui s’étaient prolongées pendant 2000 ans dans l’Église catholique.

 

En rendant stériles et sans successeurs valides, ces lignées épiscopales, les initiés gnostiques qui avaient préparé et fait adopter leur nouveau rite invalide, ont raréfié jusqu’à le rendre quasi inexistant, le Sacerdoce catholique, tarissant ainsi les grâces transmises dans les âmes des fidèles par des sacrements valides, finalité de l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ pour sauver les âmes. Que voulaient les occultistes gnostiques, maîtres d’œuvre de cette attaque mortelle contre le Sacerdoce catholique ? Des confessions invalides, messes invalides, confirmations invalides, ôtant la Présence réelle et l’action du Saint-Esprit que procurent les sacrements valides. Pour faire ignorer leur attaque directe et téméraire, ils organisèrent d’autres attaques plus médiatiques contre la Foi, la doctrine, le catéchisme, etc. Autant de sujets où s’étendait la Révolution, dans le but d’occuper la réaction pendant la période d’un demi-siècle absolument nécessaire pour obtenir la fin biologique des lignées épiscopales. Il leur fallait par tous les moyens que rien ne puisse venir troubler cette mécanique infernale mais silencieuse, par laquelle, de sacre invalide en sacre invalide, expirait chaque lignée apostolique, à la manière d’une forêt de cierges que l’on éteignait un à un, inexorablement, dans le silence, l’ignorance et l’indifférence générale.

 

Rendre vains à la fois le sublime Fiat de la Très Sainte Vierge Marie et la Rédemption opérée par son fruit, Notre Seigneur Jésus-Christ, Le Verbe de Dieu incarné, voilà le but véritable de ces occultistes voués au culte de Satan-Lucifer. En effet la devise du 18ème chevalier Rose-Croix n’est-elle pas INRI (Jesus Nazareus Resurrexit Incassum, soit Jésus le Nazaréen est ressuscité en vain), devise devant être accomplie sous l’épais silence que symbolise la Rose Kabbaliste qui escamote la Croix rédemptrice.

 

L’extinction du fruit de l’Incarnation, le Sacerdoce catholique valide, comme prélude à l’instauration du gouvernement mondial et de la religion syncrétiste et messianique mondiales, appelant l’épiphanie de leur faux-Messie, l’Antéchrist.

 

L’OTO (Ordo Templi Orientis) d’Aleister Crowley et du réseau RampollaL’EGU ou église Gnostique Universelle (cf. documentation citée en fin de message) est en effet intimement liée à l’OTO (Ordo Templi Orientis) d’Aleister Crowley et du réseau Rampolla (en particulier de la loge d’Einsiedeln qu’il fréquentait annuellement (loge saint Jean de Jérusalem), localité familière à l’actuel pseudo évêque Vitus Huonder envoyé en cheval de Troie au sein de la FSSPX : elle constitue le volet ecclésiastique de la loge occultiste dont l’épouvantable Crowley fut « la Bête » (the Beast).

 

Cette opération eût des complices ecclésiastiques, tout particulièrement au sein du mouvement de la Tradition, qui disposait encore des armes intellectuelles nécessaires pour comprendre ce qui était véritablement en jeu. Ces collaborateurs religieux, ils les trouvèrent et surent les promouvoir et les utiliser pour bloquer les études sur les sacres, crosser les récalcitrants ou les impertinents qui s’aventuraient à questionner leurs autorités ecclésiastiques sur cette question essentielle.

 

Loin d’être anodine cette opération tentant d’introduire des Sacres et Ordinations invalides au sein de la FSSPX vient de loin et implique directement Benoît XVI-Ratzinger, puis François-Bergoglio et leurs partenaires l’abbé Schmidberger et Mgr Fellay, anciens supérieurs de la FSSPX, ainsi que l’ex-Anglican, Mgr Williamson, l’évêque à la Rose, le jeune protégé de Malcolm Muggeridge, l’agent du MI6 (où il collabora avec Victor Rothschild), issu de la Fabian Society et lié au couple Webb, par sa femme »

 

Nous joignons à ce texte, les trois publications qui parurent sur notre blogue à cette occasion et qui fournissent les précisions nécessaires. :