DESDE LA ESCALINATA DE SAN PEDRO

DEPUIS LE PARVIS DE SAINT-PIERRE
Ce matin, 25 mars de l’an de grâce 2020, alors qu’une maladie virulente et d’origine encore incertaine afflige les nations du monde entier, François (1er) du Vatican a parlé aux hommes de cette maladie depuis le parvis de la basilique Saint-Pierre, devant une place absolument vide ; d’autre part, le Vatican a annoncé que ledit François, après-demain vendredi 27 mars, donnerait au monde entier la bénédiction Urbi et Orbi (pour la ville de Rome et le monde entier).
Il y a quelques jours, le même François du Vatican s’était rendu dans une basilique romaine, franchissant à pied les derniers mètres du trajet, pour prier devant un Christ miraculeux qui, à d’autres époques, sauva la Ville éternelle d’une autre peste.
Il y a quelques jours également, accompagné de tous ses évêques auxiliaires vêtus en civil ou presque, leurs croix pectorales pendant au-dessus de leurs chemises, le Cardinal de Buenos Aires s’était rendu dans la cathédrale de la ville pour prier debout devant un Christ orant surmontant un des autels, et d’une voix mal assurée, il avait adressé au Christ une supplique pour obtenir Sa protection contre la peste.
Or, c’est avec une authentique dévotion, et non avec une voix mal assurée, que l’on touche le Sacré Cœur de Jésus-Christ.
Toutes ces voix dont je viens de parler se sont donc élevées – tremblantes ou théâtrales – pour prier ce Christ dont elles piétinent les droits depuis des années.
Ces mêmes voix pleurent les morts causées par la maladie. Il est certes juste de pleurer pour ceux qui meurent et qui, bien souvent, ne peuvent être dûment assistés, parce que tout aussi souvent, les gouvernants de trop nombreux pays ont mené une politique compromettant la santé de leurs peuples.
Pourtant, ces mêmes voix se sont tues des années durant face à d’atroces péchés et aberrations ; il y a quelques jours, on a prétendu remettre sur le tapis l’avortement en Italie, et tant le prédicateur qui s’exprimait ce matin devant une place vide que les évêques qui parlaient debout au Dieu de l’univers – adoré par ses anges au ciel, comme dit l’Écriture sainte – ont alors gardé un silence sépulcral afin de ne pas s’opposer à la démocratie universelle qui prétend légiférer par-dessus la Loi de Dieu.
Dieu, Notre Seigneur, a châtié Sodome et les autres cités pécheresses (épître de saint Jude 9, 7) ; Deutéronome 29, 23 ; Ézéchiel 16, 49 ; Genèse 19, 24 ; Isaïe 13, 19 ; Lamentations 4, 6 ; deuxième épître de saint Pierre 2, 6 ; etc.) pour les abominables péchés qui s’y commettaient, tandis que la Rome actuelle et ses évêques – presque tous l’unisson – préconisent une miséricorde qui n’appelle plus péché le péché et qui n’a pas la charité de dire que Dieu a châtié ces crimes, lesquels ne sont autres que l’expression illégitime d’un désordre. Peut-être ce silence sert-il de voile pour couvrir la faute de nombreux membres du clergé officiel.
Il est permis de se demander si Dieu entendra ces voix, ces plaintes tardives devant une funeste maladie comme devant les morts et les mourants qui se comptent par centaines dans certains pays.
Pour quelle raison prient-ils Dieu, qu’ils ont mis sur le même plan que la pachamama dans la basilique Saint-Pierre, après que les dieux des autres religions eurent été mis sur le même plan que Lui à Assise par Jean-Paul II, Benoît XVI et François ?
L’Écriture sainte énonce clairement ceci : « Tous les dieux des païens sont des démons » (Ps. 95, 5) ; « Ils sont sacrifié à des idoles qui ne sont pas Dieu » (Deut. 32, 17) ; « Ils ont sacrifié leurs fils et leurs filles aux démons (Ps. 105, 37).
Dieu peut-Il écouter ceux qui ont assumé la culpabilité inouïe de se taire quand les nations préparaient des lois iniques pour assassiner des enfants dans le sein de leurs mères ? S’ils le pouvaient, ces enfants ne leur demanderaient-il pas des comptes ? Pourquoi le droit de vivre nous a-t-il été refusé ? Pourquoi ne vous avez-vous pas défendus et avez-vous laissé souiller nos nations de notre sang innocent ? Est-il juste que vous adressiez des sourires à ceux qui ont voulu nous tuer ? Désirez-vous que Dieu vous sauve de ce dont vous ne nous avez pas sauvés ? Vous n’avez pas permis que nous parvenions au Ciel, et vous désirez la santé pour ceux qui, nombreux, se sont tus avec vous.
Je ne dis pas qu’il faille s’abstenir de prier devant un fléau tel que cette maladie, car il va de soi qu’on doit le faire, mais à condition de ne plus se moquer de Dieu. Il est blasphématoire de prier Dieu tout en péchant et en prétendant avoir le droit de pécher. Prier pour demander de l’aide tout en consentant à l’assassinat d’enfants est une aberration, et se taire quand il est obligatoire de parler est aussi criminel que de causer des morts qu’il fallait éviter.
Dieu n’écoutera ces prières que lorsque ceux qui prient se seront convertis ; c’est justice qu’il en soit ainsi, car on ne saurait mordre la main de qui nous nourrit tout en lui demandant de continuer à le faire.
Les lois de la vie et de la nature ne nous appartiennent pas ; elles s’imposent à nous et régissent notre existence, une existence que nous avons reçue et que nous n’avons nullement conquise. La maladie, accidentelle ou causée, coupable ou non, progresse dans tous les pays. En outre, il y a quelques jours, un séisme léger a été enregistré en Bosnie, et un autre dans les Hautes-Alpes, en France ; un séisme fort (7,5) s’est produit en mer, au large de la Russie.
Les hommes doivent confesser leur folie, qui est de vouloir contredire Dieu, de prétendre Le ravaler au niveau de n’importe quel fétiche, d’obscurcir la terre par tant de péchés, par tant d’injustices, par tant d’immoralités.
Ce n’est pas pour rien que selon l’Écriture sainte :
« … et l’univers combattra avec lui contre les insensés » (Sagesse, ch. 5, v. 20) ; sans oublier, quelques versets plus tôt : « … et il armera la création pour se venger de ses ennemis » (Sagesse, ch. 5, v. 17)[1].
Que les hommes se tournent vers Dieu, non avec la prétention de continuer à pécher, mais avec la douleur sincère d’avoir péché.
Lorsque les habitants de Capharnaüm rejetèrent Jésus-Christ, Notre Seigneur fit cette déclaration : « Je vous le dis en vérité : au jour du jugement, le pays de Sodome et de Gomorrhe sera traité moins rigoureusement que cette ville-là ».
Si nous voulons obtenir quelque chose de Dieu, nous devons revenir à Lui. Que la Très Sainte Vierge Marie, dont nous célébrons aujourd’hui la plus grande fête, nous convertisse à son Fils bien-aimé.
Ave Maria Purissima.
En la fête de l’Annonciation 2020 de la Très Sainte Vierge Marie.
† Monseigneur Andrés Morello
L’anti-Pape FrançoisØ appelle tous les chrétiens à prier ensemble mercredi pour vaincre la pandémie
L’antipape François invite les chrétiens du monde à prier le Notre Père en communion, ce mercredi 25 mars, à midi. Par cette prière le jour de la fête de l’Annonciation, il souhaite « que le Seigneur entende la prière unanime de tous ses disciples ». Il espère que cette prière résolument universelle pour vaincre la pandémie de covid-19…
Le 16 mars, on nous a signalé que FrançoisØ avait rencontré des pseudo-évêques français Novus Ordo au Vatican, dont l’un a par la suite été testé positif au COVID-19, le redoutable Coronavirus. À leur retour en France, lui et tous les autres « prélats » qui l’avaient accompagné sont entrés en quarantaine. Ainsi, nous en avons conclu : « La question est de savoir si François lui-même sera désormais mis en quarantaine, et sinon, pourquoi ». Il n’a pas été mis en quarantaine depuis ; ou s’il l’a été, cela n’a pas été signalé.
Ce 25 mars, le journal italien Il Messaggero rapporte que l’un des collaborateurs de FrançoisØ, qui vit à la Casa Santa Marta , le même bâtiment dans lequel François réside, a été testé positif au virus.
L’article d’Il Messaggero note que l’homme positif au COVID-19 à la Casa Santa Marta, qui a été hospitalisé immédiatement, est un « monsignor » travaillant au Secrétariat d’État. Maintenant, le Vatican se rapproche du confinement complet. Le Vatican n’a pas encore émis de commentaire à ce sujet, selon Pullella.
Ce dernier cas de COVID-19 s’ajoute aux quatre cas déjà connus au Vatican. Il s’agit du premier cas à entrer dans la résidence de François, la Casa Santa Marta (alias Domus Sanctae Marthae), la maison d’hôtes construite à l’origine en 1996 par « Jean-Paul II » pour héberger les « cardinaux » Novus Ordo assistant à un conclave. Peu de temps après son élection, FrançoisØ avait annoncé qu’il y habiterait au lieu du Palais apostolique parce que [n’étant pas prêtre ni évêque…ndlr], a-t-il dit, « je ne peux pas vivre seul. Je dois vivre ma vie avec les autres ».
Depuis l’Anti-Pape François a été « testé » ; il n’a pas le coronavirus, son test s’est révélé négatif.
[1] NdT : l’auteur s’est trompé chaque fois d’un verset ; j’ai dû rectifier en prenant appui sur ma Bible Crampon.
Étiquetéabominables péchés, Andrés Morello, assassinat d’enfants, Benoît XVI, blasphématoire, Christ miraculeux, église Conciliaire, François, François du Vatican, Jean-Paul II, Lettre de Monseigneur Andrés Morello, maladie virulente, Mgr Morello, ne plus se moquer de Dieu, plaintes tardives, prier le Christ, Sacré Cœur de Jésus-Christ, secte Conciliaire, vaincre la pandémie, Vatican