Les Éditions des Amis du Christ Roi de France

Noël 2020

Les Éditions des Amis du Christ Roi de France

Les éditions ACRF vous proposent 4 ouvrages pour Noël.

 

Le Bon Larron, du R.P. Albert Bessières, S.J.

 

Qui connait la vie de ce bandit qui a volé toute sa vie, y compris le ciel, et fut le premier à entrer en Paradis ? Il ne connaissait rien de NS-JC. Il ne l’avait jamais entendu prêcher. Il n’avait jamais vu un de ses miracles. Comment une telle conversion ? Quel courage, quel amour pour tenir trois heures sous les quolibets, les crachas, les injures et peut-être pire ? Il convertit de nombreux autres bandits à travers les siècles, car c’est le grand saint prié pour les causes perdues. Sa dévotion oubliée mérite d’être rappelée en cette époque où de nouveaux bons larrons nous montreront l’exemple de la foi, du courage, de la ténacité et d’un amour infini envers notre Sauveur.

 

À offrir à des proches qui auraient tout oublié. Le Bon Larron leur sera le meilleur enseignant.

Le Bon Larron, du R.P. Albert Bessières, S.J.

Format : 15,5 X 23 cm ; 144 pages ; 12 €

 

À propos du Cardinal Rampolla, suite au livre d’Henri Barbier, Le réseau Rampolla.

 

Ce dernier livre a mérité un essai de réfutation par l’abbé Ricossa. L-H Remy redonne les articles des pour et contre et surtout démonte la méthode habituelle de l’abbé Ricossa : supprimer les documents qui le gênent. Il n’en sort pas grandi. Qui est cet abbé Ricossa ?

À propos du Cardinal Rampolla, suite au livre d’Henri Barbier, Le réseau Rampolla.

Format : 15,5 X 23 cm ; 156 pages ; 19 €

 

ENFIN ! TOUTE LA VÉRITÉ SUR MARTHE ROBIN, LE PÈRE FINET, LES FOYERS DE CHARITÉ, ET VATICAN II, par Louis-Hubert REMY,

qui a été le dernier témoin entendu lors du procès diocésain pour la cause de béatification diocésaine de Marthe Robin. Suite à son témoignage, la commission a clos la décision de canonisation, …qui sera reprise par le “pape” François. L-H Remy raconte comment il en est arrivé là et pourquoi son témoignage. Il le complète avec deux articles anciens et inconnus qui permettent de comprendre Vatican II, les Foyers de Charité, le Père Finet et surtout le rôle de Marthe Robin, qui servait de conseil à Paul VI, par l’intermédiaire de Jean Guitton, pour faire la Révolution conciliaire.

ENFIN ! TOUTE LA VÉRITÉ SUR MARTHE ROBIN

Format : 15,5 X 23 cm ; 102 pages ; 16 €

 

Chrétiens ou Marranes, édition 2020 augmentée par L-H Remy.

Entre autre :

Chrétiens ou Marranes, 3è édition 2020

Format : 15 X 22 cm ; 74 pages ; 10 €

 


 

LES CATHOLIQUES MARRANES

 

Nous avons connu les catholiques révolutionnaires condamnés par Mirari Vos.

Nous avons connu les catholiques libéraux condamnés par Pie IX.

Nous avons connu les catholiques modernistes condamnés par saint Pie X.

Nous avons connu les catholiques progressistes condamnés par Pie XII.

Nous avons connu les catholiques blêmes (BLM) bourgeois libéraux mondains qui ont tout abandonné à Vatican II.

Tous ont en commun de ne pas être : Est, est ; Non, non.

Nous découvrons depuis les catholiques marranes, ceux qui sont DOUBLES : VOULOIR ÊTRE CATHOLIQUE DANS LA STRUCTURE CONCILIAIRE. Eux aussi ne sont pas : Est, est : non, non.

Ils n’ont pas compris que les ennemis de Vatican II supportent tout, pourvu qu’on reconnaisse leur autorité. Autrefois il fallait plier le genou devant Baal, ou mettre un grain d’encens, actions banales apparemment, mais graves car c’était la reconnaissance de l’autorité.

Il en est de même aujourd’hui. On ne rejettera que ceux qui ne reconnaissent pas l’autorité de Rome (1).

Un homme est responsable de ce choix : Jean MADIRAN.

On a fait l’apologie de son livre l’Hérésie du XXè siècle, y compris dernièrement en le rééditant. Certes ce livre a son intérêt, dénonçant que ce sont les évêques qui sont responsables de tous les maux post Vatican II, mais là n’est pas l’analyse centrale des maux. Les vrais et grands responsables sont les “papes” de la secte conciliaire, vrais hérésiarques et vrais démolisseurs de la sainte Église.

 

Jean XIII (2) a révolutionné l’Église, trahissant l’engagement de son sacre dès le début de son pontificat :

« Je promets de ne rien diminuer ni changer de ce qui m’a été transmis par mes vénérables prédécesseurs. Comme leur fidèle disciple et successeur, je m’engage à n’admettre aucune nouveauté, mais, au contraire, à vénérer avec ferveur et à conserver de toutes mes forces le dépôt qui m’a été confié. En conséquence, qu’il s’agisse de nous ou d’un autre, nous soumettons au plus sévère anathème quiconque aurait la présomption d’introduire une nouveauté quelconque qui serait opposée à cette tradition évangélique ou à l’intégrité de la Foi et de la Religion Catholique » (3).

 

Jean XXIII dès ses premières encycliques accomplira ce pourquoi il avait été choisi : faire la Révolution dans l’Église. Nos ennemis travaillaient depuis des siècles à avoir un Pape à eux. Jean XXIII fut ce “pape”. Du jour au lendemain ce qui avait été combattu par ses prédécesseurs devint son programme. Surtout il fit entrer dans les structures de l’Église, ses pires ennemis. On commença à persécuter ceux qui voulaient rester catholiques et à réformer, réformer. Et ce fut la dérive sur les notions de bien, de mal ; de vrai, de faux ; de juste, d’injuste et même de beau, de laid. Plus de péchés mortels, plus de combat pour vivre en état de grâce, plus de confessionnaux, plus de confession, plus d’examen de conscience. Même les clercs arrêtèrent de se confesser.

 

Ses successeurs ne se feront même pas sacrer. Paul VI fut chargé d’assurer l’avancée œcuménique avec les protestants et les orthodoxes et donc à tout protestantiser, catéchismes, rites sacramentaux, etc… Jean-Paul II lui engagea l’œcuménisme vers toutes les religions, diffusant ce faux œcuménisme dans le monde entier (4). Les autres successeurs continuèrent le travail de démolition, pour assurer le but final : la religion universelle.

 

Quel fut le travail de l’opposition ?

 

Continuer comme avant, mais sans attaquer efficacement la révolution en cours.

 

La pire consigne vint de Madiran : « Rendez-nous le catéchisme, la sainte Écriture et la sainte Messe ». Ridicule !

 

Il avait bien compris que l’on avait attaqué, déformé, enseigné des erreurs sur le catéchisme, la sainte Écriture et la sainte Messe. Il aurait dû dire : de quel droit ces changements ? Vous êtes des hérétiques, ennemis de l’Église de N-S J-C. Combattons jusqu’à la disparition de ces troupes. Sus à l’ennemi, jusqu’à la mort.

 

En envoyant ceux qui commençaient à voir clair, dans une telle impasse, il fit de tous des marranes. Il mourut dans la religion conciliaire les laissant dans un aveuglement mortel. Au moment des sacres par Mgr Lefebvre il donna le mot d’ordre scandaleux : ne nous séparons pas de Rome : il confondait Rome et l’Église et s’il avait médité La Salette, il aurait compris que la sainte Vierge Marie annonçait que si Rome avait perdu la Foi, Rome n’était plus la sainte Église.

 

Avec toutes ses mauvaises analyses, Jean Madiran est devenu le FOSSOYEUR de la Tradition.

 

http://boutiqueacrf.com/

 

 

Éditions ACRF
50 avenue des Caillols
13012 MARSEILLE

Tél. 07.71.84.16

 

 

 

 

Louis-Hubert REMY signera à Paris, Librairie Française, le samedi 19 décembre de 15h à la fermeture.

 

 

 

 

 

 


 

[1] Il en est de même avec le vote. Ça ne sert à rien : aucun résultat depuis plus de 200 ans, mais il faut voter, c’est-à-dire reconnaître l’autorité du système.

 

[2] On vient de découvrir qu’il était membre de cinq loges : le Vicaire de N-S J-C, membre de la Contre-Église ! ! ! Lire d’Henri Barbier : Les Super Loges Internationales, édition Saint-Remi, diponible aux ACRF 10€ + port.

 

[3] Lire le travail remarquable et irréfutable, JEAN XXIII & VATICAN II sous les feux de la Pentecôte luciférienne, éditions ACRF, 14 €   : http://www.a-c-r-f.com/documents/JEAN_XXIII_et_VATICAN_II_Sous_feux_Pentecote_luciferienne.pdf

 

[4] Notre-Seigneur, le Solus Sanctus, le Solus Dominus, le Solus Altissimus, au même rang que les Mahomet, Boudha, etc. Quel blasphème ! Quelle ignominie !