Mané-Théquel-Pharès

(compté-pesé-divisé)

 

Les jeux sont faits :

MESSAGE à LA GRANDE PROSTITUÉE

 

Chapitre V de Daniel

 

La crainte du Seigneur est sainte,

timor domini sanctus, Ps. 18.

Mais ceux qui s’engagent dans des voies tortueuses,

le Seigneur les joindra aux hommes d’iniquité

Declinantes autem in obligationes adducet

Dominus cum operantibus iniquitatem, Ps 124.

 

« Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu » (Gal. vi, 7) La justice de Dieu est terrible et ne fait que commencer : elle nous concerne tous. L’incendie du lundi 15 avril 2019 de Notre-Dame de Paris est un signal très fort sur l’avenir. Notre-Dame de Paris est le lieu zéro d’où partent toutes les routes de France. C’est la protectrice de Paris, c’est d’abord le cœur de la France !

 

Mais c’est surtout l’âme de la France : Regnum Galliæ, Regnum Mariæ ! De la cathédrale détruite, on ne voit à l’intérieur que Louis XIII consacrant la France à la Reine du Ciel, à la Reine de France !

 

Quand notre sainte Mère nous annonce dès 1846 à La Salette que Paris sera brûlé, elle ne dit pas envahi, massacré, détruit : cela viendra après. Elle dit : brûlé, et cet incendie a commencé ce lundi 15 avril, par le cœur de Paris, par ce qui est l’âme de Paris. La suite de l’incendie de Paris suivra.

 

Bien sûr personne ne parle de cet aspect primordial.

 

 

Au début de l’incendie, LCI a annoncé qu’il y avait eu deux départs de feu, à vingt minutes d’intervalle. Les ouvriers étaient partis depuis environ une heure. Il n’y avait jusque là que les échafaudages qui étaient montés. Il n’y avait aucun objet de chantier (chalumeau, postes à soudure, etc.) encore installé. L’origine du feu ne pouvait provenir du chantier.

 

D’autre part, le chêne demande déjà en temps normal un feu très vif pour brûler ; mais ces poutres avant d’être utilisées, ont été plusieurs années dans l’eau et sont devenues comme du béton et demandent un feu très intense et soutenu pour commencer à brûler :
 

 

Source : https://www.facebook.com/story.php?story_fbid=295809594676337&id=101582246577280&refsrc=https%3A%2F%2Fm.facebook.com%2F101582246577280%2Fvideos%2F295809594676337%2F

 

L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l’accident :

« Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler… Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers … » « Je suis stupéfait »

  • L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l’accident : « En 2010, on a remis à plat toutes les installations électriques, il n’y a pas de possibilité de court-circuit, toute la détection et protection incendie de ND (en allant très loin) » « Je suis stupéfait ! »

« L’incendie n’a pas pu partir d’un court circuit, d’un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

« …détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer des portes en bois par des portes coupe-feu, avons limité tous les appareils électriques, interdits dans les combles »

 

Un autre témoignage :

« Malheureusement, je pense que ce n’est pas un accident. Je suis une ancienne étudiante de l’École du Louvre diplômée en Histoire de l’art. J’ai visité la charpente de Notre Dame avec des architectes des Bâtiments de France, il y a plusieurs années. Cette charpente de bois du 12e siècle était protégée comme jamais ! Chaque intervention est toujours accompagnée par des historiens, des architectes, des experts, aucun travail n’est envisagé sans une prudence extrême, pas de source de chaleur, PAS DE CHALUMEAU, pas d’appareil électrique, un système d’alarme performant, et une surveillance très stricte. Je pense que nous finirons par apprendre que c’est un incendie criminel ! »

 

Une réponse d’un Pompier (C.S.I.) professionnel qui ne doute pas que l’acte puisse être criminel…

« Avant de vous prononcer sur le comportement du feu, vous auriez dû demander avis à des pompiers. Nul besoin d’une grosse explosion pour un embrasement généralisé d’une charpente.

« Ce ne sont pas les grosses poutres en chêne qui ont entièrement brulées, celles-ci se sont carbonisées en surface (ce qui représente tout de même un fort potentiel calorifique) et se sont effondrées, elles sont d’ailleurs maintenant gorgées d’eau et représentent un surpoids sur la structure, mais ce sont les pièces de bois beaucoup plus légères qui les lient entres elles qui ont brûlé, ne supportant plus le poids, la charpente s’est effondrée.

« Quant à la vitesse de propagation sous charpente, nul besoin d’une explosion de grande envergure. Il suffit au départ d’un ou deux petits foyer qui couvent (une ou deux palettes de bois par exemple) (1), des gaz chauds combustibles s’accumulent prisonniers sous la toiture, les matériaux pyrolisent sous l’effet de la chaleur, un plafond de fumées inflammables sous la toiture se forme, et lorsqu’elles trouvent une arrivée d’air suffisante se produit un « Flash over » inflammation généralisée. ce phénomène est très rapide.

Il suffit donc d’un traître dans les employés qui se charge de faire partir un ou deux petits foyers avant de débaucher, ça couve pendant une ou deux heures, personne n’y voit rien, les fumées sont contenues sous la toiture. Lorsque cela s’enflamme, c’est trop tard. Personnellement je ne crois pas trop à la possibilité d’un accident ou d’une négligence. Tout cela est à prouver. Les preuves matérielles seront certainement impossibles à réunir. Seuls les témoignages pourront servir, mais ils seront bien camouflés par les merdias. »

 

À cette heure bien sûr on écarte la thèse de l’attentat, cherchant une explication (qui ne sera qu’un mensonge, on est habitué !), pour éviter de déclarer : il n’y a qu’une seule explication : ce feu intense ne peut être accidentel, il est obligatoirement provoqué.

 

* * * * * *

 

Et surtout : aucune protection surnaturelle ? Dieu, la sainte Vierge, les saints anges ont laissé tout s’embraser ! Et pourtant on a remarqué que le feu a cessé de s’étendre quand les fidèles parisiens ont commencé à prier (on a vu qu’il n’y avait alors aucun clerc en prières !). Le Très sainte Vierge Marie a laissé brûler sa plus belle demeure !

 

On a découvert que la flèche avait à son sommet des reliques insignes : couronne d’épines, saint Denis, sainte Geneviève et que cette flèche qui était peut-être l’endroit de Paris, le plus exposé à la foudre, n’avait jamais été foudroyée. Quelle belle et constante protection !

 

Et là rien ?

 

 

La date, le lundi saint, est aussi un sujet de réflexion : nous faire rappeler, méditer et partager en cette Semaine Sainte, les douleurs de notre divin Sauveur, et de Sa Très Sainte Mère.

 

Il n’y a qu’une seule explication pour un chrétien : C’EST UN CHÂTIMENT !

 

Le texte (en PDF) qui suit (2) en donne l’explication. Lisez-le avec attention et diffusez-le. C’est Dieu qui juge au moment précis de leur double jubilé (cinquantenaires accomplis) que l’apostasie du nouveau « sacerdoce » du Spiritus Principalis qui « divise le Christ » (comme nous l’enseigne l’apôtre Saint Jean lui-même dans son épître où il annonce l’« Antéchrist  : cf. document joint), ainsi que la « nouvelle religion » qu’il impose à Rome ont assez duré, et que ce nouveau sacerdoce et son nouveau rituel du NOM impies doivent désormais cesser et recevoir enfin leur dû. D’ailleurs il faut souligner que le véritable autel antique de Notre-Dame de Paris, sur lequel la vraie messe a toujours été dite, a été protégé, tandis que l’autel grotesque de la synaxe aura été complètement détruit et broyé.

 

50 ans de la nouvelle ‘messe’ :
des photos symboliquement fortes à Notre-Dame de Paris

 

Alors que c’est le 50e anniversaire de la « nouvelle “messe” » qui, dans la fièvre « progressiste » de Vatican II, a remplacé de force et non sans polémiques le rite millénaire de l’Église catholique, des photos de Notre-Dame de Paris avant et après son incendie ne manquent pas d’étonner. L’autel moderne installé pour le nouveau rite dans la croisée du transept a été enseveli, la voûte s’est écroulée dessus. En revanche, le magnifique maître-autel utilisé autrefois pour la sainte Messe traditionnelle reste intact, surmonté de sa grande croix…

 

Comparer les deux photos ci-dessous, c’est criant de Vérité !

 

L’évènement est bien le doigt de Dieu…

 

Il ne nous reste qu’à en tirer la seule conclusion : FUIR DE PARIS. Et vite maintenant ! Dès demain organisez-vous : trouver un lieu aux environs pour fuir. Préparez un départ très rapide et surtout confiez-vous à la Providence : « les bons chrétiens seront protégés dans leurs biens et leur personne » (Vénérable Elizabeth Carnori Mora, citée dans Holzhauser et autres prophéties (3) de L-H Remy, éditions ACRF, 50 Avenue des Caillols, 13002 Marseille, 13 + port, 07 71 84 34 16).

 

Pour ceux qui nous découvrent : CONVERTISSEZ-VOUS. Nullam partem avec la grande prostituée, la secte conciliaire. Il est toujours temps de se convertir, c’est-à-dire de croire et vivre comme on a toujours cru et vécu, refusant toutes les nouveautés.

 

Que Marie, Reine de France nous protège !

 

« Les cloches ne sonneront plus, la cathédrale s’est tue à jamais… »

Paris va brûler !...
 

 

 

 

NESTORIUS LA PSEUDO NOUVELLE CONSÉCRATION ÉPISCOPALE CONCILIAIRE ET L’ANTÉCHRIST

 

 

 

 

 

 

 

 


 

[1] Note critique : oui pour du bois ordinaire ; non pour des poutres de chêne qui après avoir été coupées restent 10 ou 20 ans dans l’eau pour devenir très très dures. Il faut alors un feu très intense pour provoquer l’incendie.

 

[2] Cf. NESTORIUS LA PSEUDO NOUVELLE CONSÉCRATION ÉPISCOPALE CONCILIAIRE ET L’ANTÉCHRIST

 

[3] Cf. https://boutiqueacrf.com/livres/13-holzhauser-et-autres-propheties-interpretation-de-l-apocalypse-9782816202229.html