Les FERULAS de Francisco

 

Jamais dans l’histoire de l’Église un pape n’avait à sa disposition une aussi grande quantité de Ferulas (1) (Crosse du pape).

 

Depuis que la Secte Conciliaire éclipse la véritable Église de Dieu, leurs pseudo-Papes jouant les novateurs, se distinguent par l’usage de Croix et de Crosses des plus bizarres, voir sataniques (cf. la croix satanique, ou cassée de J.P.²).

 

Francisco, le dernier en date mais non des moindres originaux… alias François Ø, alias Call Me Jorge, alias le Clown Blanc, vient d’en rajouter une nouvelle dimanche dernier :

La dernière FERULA de Francisco

 

Lors de la fête conciliaire du « Corps et du Sang du Christ », sur l’esplanade de la basilique Saint Jean de Latran à Rome — Pour la première fois depuis le XVè siècle, cette célébration romaine de la Fête-Dieu, se déroulait le dimanche, et non le jeudi, jour officiel de la fête dans le calendrier liturgique —, le Clown Blanc portait fièrement ce nouvel objet.

 

La nouvelle croix de François :

 

Bizarre !…

 

Quelqu’un en connait-il la provenance et le symbole ?
Certainement pas catholique !

 

Nous n’avons pas encore terminé nos recherches… si d’aimables lecteurs ont quelques connaissances, ils peuvent nous joindre par courriel.

 

Il a commencé doucement avec la Crosse dans le style néo-byzantin de Benoît XVI, inspiré de Pie IX :

François avec la Ferula dans le style néo-byzantin de Benoît XVI, inspiré de Pie IX.

Avec la Ferula dans le style néo-byzantin de Benoît XVI, inspiré de Pie IX.

 

François avec la Ferula de Paul VI ressuscitée par Francisco immédiatement après le conclave 2013.

La célèbre et très controversée Ferula de Paul VI ressuscitée par Francisco immédiatement après le conclave 2013.

 

François avec la Ferula de Lampedusa, en bois des navires accostés sur l’île italienne.

La Ferula critiquée de Lampedusa, en bois des navires accostés sur l’île italienne.

 

François avec la Ferula écologiquement correcte, faite avec des métaux provenant des mines durables en Amérique latine.

La Ferula écologiquement correcte, faite avec des métaux provenant des mines durables en Amérique latine.

 

Elle a été faite comme cadeau spécialement pour Francisco…

 

« La Croix est glorieuse et la mort du Christ s’élance vers la Vie », nous a-t-on dit en 2013 ! Le sculpteur Lauri avait déclaré :

« L’œuvre exprime la synthèse de la vision de la mort du Christ, de sa passion, de sa douleur, mais aussi de sa résurrection ; elle est donc le signe de la plénitude de la vie et de l’espérance qui s’en dégage pour tous. » ;

« La Crux gloriosa veut donner à voir la vie qui surmonte la mort, le corps qui va au-delà de la limite, la barrière effrayante de la fin. »

« L’image du Christ — qui, de la croix brute et tordue, désormais vide de sens se détache, se défait lentement — est tension vers la lumière, libération d’une énergie comprimée, tentative de vol ; en vérité l’acte de ce détachement, à un moment que la tradition veut tragique et très humain, anticipe la résurrection, exprime la douleur humaine déjà vaincue, surmontée et rachetée. »

 

Une Ferula utilisée par le Clown Blanc au cours de certaines célébrations de la semaine Sainte.

Une Ferula utilisée par le Clown Blanc au cours de certaines célébrations de la semaine Sainte.

 

François avec la Ferula faite pour la visite en Terre Sainte.

Celle de 2014, faite pour la visite de l’antipape en Terre Sainte. Utilisé le 24 mai pour la cérémonie en Jordanie.

 

François avec la Ferula de son voyage au Mexique, février 2016.

Celle utilisée en février 2016 lors de son voyage au Mexique…

 

François avec la dernière Ferula faite pour la Corpus Domini à Saint Jean de Latran à Rome, 2017.

La dernière — pour l’instant — faite pour la Corpus Domini à Saint Jean de Latran à Rome, 2017.

 

* * *

 

Décidément, le Clown François apprécie les croix bizarres !

Que représente ce petit morceau bleu à la place du Christ ? sur celle-ci :

François avec le Crucifix créé par l’artiste Luiz Bernardes.

Le clown blanc “Call Me Jorge” avec le Crucifix créé par l’artiste Luiz Bernardes.

 

…on dirait un serpent enroulé ?

 

Sa croix pectorale avait déjà aussi fait polémique :

La croix pectorale de François.

Son sens n’est plus celui de la Crucifixion et donc de la Rédemption
mais celui du ou d’un guide du peuple.

Cette Croix a une signification symbolique et la foule derrière le Pasteur représente les chrétiens.

La croix pectorale de M. Jorge Bergoglio.

En Argentine déjà…

 

La croix pectorale de M. Jorge Bergoglio, alias François.

Mais peut-on appeler ça : « un crucifix », car le Christ n’est plus crucifié… Cette représentation a valeur d’icône et non de crucifix.

 

 


 

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