L’incendie plus que bizarre de Notre-Dame De Paris

Bien sûr, les gens sensés ne croient pas à un accident. Tout a été organisé, préparé et certains le savent bien.

Ce qui est étrange, c’est que la toiture de 140 mètres sur 40 flambe en une heure chrono. Dans la nature, c’est Impossible.

Voici une explication très sérieuse

Pourquoi Notre-Dame a-t-elle brûlé si vite ? Il y a deux mois, une entreprise autorisée est venue soi-disant pour pulvériser sur toute la charpente du produit contre les insectes du bois. Or, ce ce qui a été employé en réalité, c’est une solution hautement inflammable qui a formé une pellicule autour des poutres. Ce produit de type « thermite » est composé d’oxyde de fer et d’oxyde d’aluminium, ce qui donne la couleur acajou obtenue après la pulvérisation et la couleur des flammes jaunes-orangées de l’incendie.

Depuis février, le produit, sans doute associé à une colle, a séché et s’est solidifié sur les poutres comme une pâte devenue très fine, une sorte de vernis, sauf que ce n’était pas du vernis…

Le 15 avril, il ne suffisait plus que d’un vrai « pot thermique » générant une chaleur intense de 2200 degrés pour percer la toiture par sa très forte température et allumer ainsi toute la charpente pré-imbibée située nécessairement juste en dessous du toit. Le pot thermique a été allumé par l’individu vu sur le toit avec des flammes jaunes-orangées. Après son amorçage sur le toit, le feu a gagné toutes les parties pulvérisées pendant la fausse désinsectisation. Sous l’action des lances à incendie, le feu augmente dans un premier temps, car l’eau active ce type de pyrotechnie, produisant des crépitements intenses et même de petites explosions.

Si l’eau active ce genre de feu, c’est en raison de l’extrême chaleur produite. En effet, l’eau se catalyse au-dessus de 1100 degrés, libérant ainsi ses deux gaz : l’hydrogène et l’oxygène, d’où les flammes sur un bois dont la combustion ne produit d’ordinaire aucune flamme. Ces deux gaz s’additionnent à l’oxyde de fer et à l’oxyde d’aluminium, augmentant ainsi la combustion. Un pot thermique est capable de détruire un char, c’est du reste pour cela qu’il a été inventé. En produisant une chaleur de 2200 degrés, il double la valeur de sa catalyse (séparation en gaz) avant l’eau, qui se catalyse à 1100 degrés. C’est pourquoi la charpente a flambé comme un feu de paille sous les lances à incendie, les pompiers ne sachant évidemment pas à quel genre de feu ils avaient à faire.

Il s’agit donc d’un attentat grandiose, soigneusement calculé et qui ne peut être l’œuvre que d’esprits pervers de la pire espèce mandatés par un État, et non pas d’un simple quidam ou de quelques terroristes primaires, et sans doute tout cela profite-t-il à des intérêts commerciaux favorisés par d’ignobles salopards.

Comment imaginer que des millions de gens puissent croire qu’un mégot de cigarette ou un court-circuit ait pu produire un tel résultat ?…

Pourtant, on a bien vu cette toiture flamber en une heure chrono.

Il avait fallu 1300 chênes pour la charpente, soit 2000 à 2600 stères de bois.Il est impossible que brûle entièrement en une heure, SANS CARBURANT ADDITIONNE, une telle masse de bois très dur de plus de 800 ans, composée de poutres à section carrée de 40 centimètres de large.

Et ce n’est pas le Saint-Esprit qui a opéré cela, mais une organisation satanique.

La flèche risque de ne jamais être reconstruite à l’identique : dès le lendemain, c’est déjà affirmé à la télévision ; les auteurs du complot songent déjà à une flèche maçonnique ou assimilée.

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