Le « dieu des surprises » a encore frappé…
Bergoglio écolo

François proclame une nouvelle œuvre de miséricorde :

La sauvegarde de la Création !

 

 

Le « dieu des surprises » a encore frappé…« Surprise ! »

 

 
Cela pourrait être le gros titre du journal satirique Eye of the Tiber (1), mais c’est bien réel. Le « Pape » François vient de déclarer qu’il existait une huitième œuvre de miséricorde, la sauvegarde de la Création. Au cas où vous vous demanderiez si cela équivaut à une œuvre spirituelle ou corporelle de miséricorde, François a la réponse qui va rendre tout le monde heureux : Naturellement, les deux à la fois !

 

Ce jour du 1er septembre a été institué par François « Jour mondial de prière pour la Création ». Dans son message « pontifical » lancé pour l’occasion, l’apostat argentin avait beaucoup à dire, comme toujours. Avant d’instituer sa huitième « œuvre de miséricorde », Chaos Jorge a joué au savant en déclarant ceci :

 

« La planète continue à se réchauffer, en partie à cause de l’activité humaine : 2015 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée et probablement 2016 le sera encore plus. Cela provoque sécheresse, inondations, incendies et événements météorologiques extrêmes toujours plus graves. Les changements climatiques contribuent aussi à la crise poignante des migrants forcés. Les pauvres du monde, qui sont aussi les moins responsables des changements climatiques, sont les plus vulnérables et en subissent déjà les effets »

(« Pope Francis: Message on World Day of Prayer for Creation », News.va, 1er septembre 2016 ; voir en français : « Le Pape rappelle la responsabilité de l’homme pour l’environnement »)

Réchauffement de la planette

 

Ce n’est là que de la propagande pseudo-scientifique digne du Nouvel Ordre Mondial, avec une touche de sentimentalisme pour vous culpabiliser de posséder un barbecue dans votre arrière-cour ou d’utiliser de mauvaises ampoules électriques. Si François tenait sérieusement à aider les gens, il chercherait surtout à les convertir à la vraie Foi, mais laissons cela de côté pour l’instant.

 

L’imposteur papal poursuit :

« En cette Année jubilaire, apprenons à chercher la miséricorde de Dieu pour les péchés contre la création que jusqu’à maintenant nous n’avons pas su reconnaître et confesser. »

 

François agenouilléeAh, si François était seulement à moitié aussi inquiet des véritables péchés contre Dieu qu’il l’est des pseudo-péchés contre la Création ! Vous savez bien : le blasphème, l’apostasie, l’hérésie, l’indifférentisme, le syncrétisme, l’athéisme, la négation des droits du Christ-Roi et de Son Église dans le monde entier ; la liste est sans fin. Mais pas un mot de François sur tout cela. Non, lui, il préfère se concentrer sur les péchés et « péchés » qu’il est politiquement correct et socialement acceptable de dénoncer, généralement des péchés que les hommes commettent les uns envers les autres ou, désormais, qu’ils commettent « contre la Création ». Cet homme-là n’est pas le Vicaire du Christ, c’est le Vicaire de tout le reste. Il s’agenouille et fait la génuflexion devant l’homme, non devant Dieu.   (Photo de droite)

 

Tout au long de son discours, comme dans son encyclique environnementaliste Laudato Si’, François ne cesse d’appeler la terre notre « maison commune » (2). C’est là une nouvelle preuve que cet individu est un naturaliste qui se préoccupe du monde temporel et ne songe pas à la fin éternelle et surnaturelle à laquelle sont appelés tous les hommes, sans exception. Notre véritable maison, c’est le Ciel, non cette terre. En fait, l’une des choses dont chaque être humain se rend compte assez rapidement, c’est que cette terre est un lieu de transit plein de maux et de souffrance qui ne peut jamais nous rendre vraiment heureux : « Tout le travail de l’homme est pour sa bouche ; mais ses désirs ne sont jamais satisfaits. » (Eccles. 6 : 7) ; « L’homme né de la femme vit peu de jours, et il est rassasié de misères. » (Job, 14 : 1) « J’ai dit dans mon cœur : “Viens donc, je t’éprouverai par la joie ; goûte le plaisir !” Et voici, cela est encore une vanité. » (Eccles. 2 : 1)

 

Le naturaliste écolo... Chaos Jorge

Le naturaliste écolo… Chaos Jorge

 

 

 

En tant que chrétiens, nous sommes évidemment appelés à aider notre prochain et à atténuer autant que possible ses souffrances, pour l’amour de Dieu, car c’est vraiment là une œuvre de miséricorde (cf. Mt 25 : 31-46) ; mais il serait entièrement faux de croire que le but de la vie est de faire de cette terre le lieu le plus merveilleux possible. Non, cette terre devra forcément prendre fin à un moment ou à un autre, comme la vie de chacun de nous (cf. Apoc. 21 : 1). Un jour, ceux qui ont faim n’auront plus besoin d’être nourris, les malades n’auront plus besoin d’être soignés, les sans-abri n’auront plus besoin d’avoir un toit sur leur tête. Un jour, nous quitterons tous ce monde, et le plus important est de laisser le monde en état de grâce sanctifiante, ce qui est impossible sans les vertus de Foi et d’Espérance : « Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé ; celui qui ne croira pas, sera condamné. » (Marc, 16 : 16)
Question à Manille
 

Voilà le véritable Évangile que François met sous le boisseau et nie sans cesse, tout en lui substituant un naturalisme béat qui vise à trouver un bonheur durable en ce bas monde, dont chacun de nous sait qu’il finira de toutes façons avant longtemps. C’est pourquoi François n’a aucune réponse à donner à une petite fille qui lui demande pourquoi Dieu permet que des enfants souffrent (Photos de droite). Il l’ignore, parce qu’il n’a pas la Foi et qu’il ne croit pas en l’Évangile. Un naturaliste ne trouve, en définitive, aucune explication à la souffrance, parce qu’il n’en comprend pas l’objet véritable, qui est la sanctification des âmes et l’obtention de grâces pour soi-même et autrui. Dieu permet tout ce qu’Il permet parce que, quand bien même notre intellect limité n’est pas forcément à même de le saisir, cela va d’une certaine manière dans le sens de notre salut. Mais le salut est un mot absolument étranger à l’esprit naturaliste de François. Il recherche le salut en ce monde, c’est-à-dire en vain, car il n’y trouvera que ce que le monde peut offrir à chacun en fin de compte : la mort (cf. Rom. 6 : 23).

 

 

L'anti-Pape François aime les Aliens...

 

Après avoir cité son encyclique de 2015, dans laquelle il nous exhorte à :

« éviter l’usage de matière plastique et de papier, réduire la consommation d’eau, trier les déchets, cuisiner seulement ce que l’on pourra raisonnablement manger, traiter avec attention les autres êtres vivants, utiliser les transports publics ou partager le même véhicule entre plusieurs personnes, planter des arbres, éteindre les lumières inutiles »

car, dans la secte conciliaire, cela fait partie du « Magistère papal » —, et après s’être prosterné davantage devant le veau d’or du Zeitgeist environnementaliste pseudo-scientifique, François « propose un complément » aux quatorze œuvres traditionnelles de miséricorde (A) ; il en institue une nouvelle censée pouvoir s’ajouter à la catégorie spirituelle comme à la catégorie corporelle :

 

« La vie chrétienne suppose la pratique des sept œuvres corporelles et sept œuvres spirituelles de miséricorde.  « Il est vrai que nous pensons d’habitude aux œuvres de miséricorde, séparément, et en tant que liées à une œuvre : hôpitaux pour les malades, cantines pour ceux qui ont faim, maisons d’accueil pour ceux qui sont dans la rue, écoles pour ceux qui ont besoin d’instruction, le confessionnal et la direction spirituelle pour celui qui a besoin de conseil et de pardon… Mais si nous les regardons ensemble, le message est que l’objet de la miséricorde est la vie humaine elle-même et dans sa totalité. » (Retraite pour le jubilé des pseudo-prêtres conciliaires, troisième méditation, basilique de Saint-Paul-Hors-les-Murs, Rome, 2 juin 2016)

 

« Évidemment la vie humaine elle-même et dans sa totalité comprend la sauvegarde de la maison commune. Donc, je me permets de proposer un complément aux deux listes traditionnelles des sept œuvres de miséricorde, ajoutant à chacune la sauvegarde de la maison commune.

« Comme œuvre de miséricorde spirituelle, la sauvegarde de la maison commune demande « la contemplation reconnaissante du monde (Enc. Laudato si’, n. 214) qui nous permet de découvrir à travers chaque chose un enseignement que Dieu veut nous transmettre (ibid., n. 85). Comme œuvre de miséricorde corporelle, la sauvegarde de la maison commune demande les simples gestes quotidiens par lesquels nous rompons la logique de la violence, de l’exploitation, de l’égoïsme […] et se manifeste dans toutes les actions qui essaient de construire un monde meilleur (ibid., nn. 230-231). »

(« Pope Francis: Message on World Day of Prayer for Creation », News.va, 1er septembre 2016 ; voir en français : « Le Pape rappelle la responsabilité de l’homme pour l’environnement »)

 

 

Nous y sommes, et voici que le « dieu des surprises » relève à nouveau son mufle : Au bout de deux mille ans, il existe maintenant seize œuvres de miséricorde, de même que le « saint Pape » Jean-Paul II a institué cinq nouveaux mystères du Rosaire, les « Mystères lumineux » en 2003, près de huit cents ans après la révélation du Rosaire par saint Dominique. Surprise !

 

 

L’Église catholique a pour unique but le salut des âmes ; la secte Bergoglienne, quant à elle, a pour but d’économiser l’énergie.

François l'antipape « Green-pope »

 

Nous ne disons évidemment pas qu’il faille faire de la planète une poubelle, empoisonner ses rivières et la rendre inhabitable. Mais l’entretien de la Création doit être perçu à la lumière de l’Évangile comme moyen de parvenir à une fin, non comme une fin en soi.

 

 

À propos, le seul endroit où l’expression « les sollicitudes de ce siècle » apparaisse dans les saintes Écritures se trouve dans Matthieu 13 : 22, où Notre Seigneur dit la Parabole du semeur : « Les épines qui ont reçu la semence, c’est celui qui entend la parole ; mais les sollicitudes de ce siècle et la séduction des richesses étouffent la parole, et elle ne porte point de fruit. »

 

 

N’est-ce pas là une description fidèle de ce qui se passe à l’heure actuelle ? Le souci du temporel étouffe l’Évangile, étouffe la vérité salvatrice de la Parole de Dieu. « La lumière, la vraie, celle qui éclaire tout homme, venait dans le monde. [mais] le monde ne l’a pas connue. » (Jn, 1 : 9, 11)

 

 

Ce monde temporel périra un jour, comme périront nos corps. Veillons donc à ce que nos âmes ne périssent pas avec lui dans le « feu éternel, qui a été préparé pour le diable et ses anges. » (Mt. 25 : 41)
François patron saint-Enviro

Économie d’Énergie, pas des Âmes…

 

 

On a vraiment remplacé la sainte Croix de notre Rédempteur par un moulin à vent, la Bienheureuse Mère par Gaïa et les grains du Rosaire par une ampoule électrique fluorescente compacte. Que nous prépare-t-on encore ? Les mystères écologiques du Rosaire ? Un huitième sacrement ? « Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai omis de recycler » ?
Bergoglio écolo
 

Chers gardes suisses du Vatican, si vous lisez ceci, de grâce, agissez : expulsez du Vatican ce fou qui ne cesse de déblatérer et renvoyez-le à Buenos Aires par avion. Nous sommes prêts à lui payer son billet de retour.

 

 

Source : Novus Ordo Watch : http://www.novusordowatch.org/wire/care-of-creation-work-mercy.htm

Traduction : le CatholicaPedia.net

(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

 

 

 

 


 

[1] NdT : « œil du Tibre » : jeu de mots cocasse faisant allusion au célèbre film de Sylvester Stallone sur le monde de la boxe : Eye of the Tiger (l’œil du tigre).
 

[2] NdT : C’est exactement l’expression employée pour la première fois par l’initié mondialiste Gorbatchev…
 

 

[A] Les 14 Œuvres de miséricorde catholique :

Saint-Martin
 

Les 7 œuvres de miséricorde corporelle sont :

1) donner à manger à ceux qui ont faim,
2) donner à boire à ceux qui ont soif,
3) vêtir ceux qui sont nus,
4) abriter les étrangers,
5) visiter les infirmes,
6) visiter les prisonniers,
7) ensevelir les morts.

 

Les 7 œuvres de miséricorde spirituelle sont :

1) donner des conseils à ceux qui en ont besoin,
2) instruire les ignorants,
3) reprendre ceux qui pêchent,
4) consoler les affligés,
5) pardonner les offenses,
6) supporter patiemment les personnes désagréables,
7) prier pour les vivants et pour les morts.

 

Catéchisme de Saint Pie X