
LA FIN D’UNE ÉQUIVOQUE…ou
LA FIN DU TRADITIONALISME ?

La F$$PX a toujours revendiqué une forme très particulière — “à usage unique” — de pragmatisme…
Mais au juste qu’est ce que et en quoi consiste le pragmatisme ?
Afin d’avoir les idées un peu plus claires là-dessus, allons voir quelques définitions :
Pragmatique : tourné vers l’action pratique, le mot est d’un emploi plus concret.
Réaliste : dépeint et décrit la réalité même dans ses aspects les plus désagréables.
Définition du pragmatisme
Étymologie : du grec pragmatikos, qui concerne l’action de pragma, action, affaire.
Dans le langage courant, le pragmatisme est l’attitude d’une personne qui s’adapte à la réalité et qui préfère l’action pratique.
En politique, le pragmatisme est une attitude fondée sur le réalisme et qui privilégie l’observation des faits.
Le pragmatisme est une doctrine ou un mode de pensée selon lequel la réussite pratique est le seul critère de vérité. C’est une forme d’empirisme qui valorise l’action, l’efficacité, l’expérience, la mise en pratique et ce qui fonctionne réellement plutôt que des considérations abstraites ou théoriques. Une idée ou une théorie ne peut être considérée comme vraie que si elle peut agir sur le réel.
Le pragmatisme s’est développé, sous forme d’une théorie philosophique, aux États-Unis à la fin du XIXe siècle, avec Charles Sanders Peirce, William James et John Dewey. Pour eux, une pensée n’a de sens que par ses implications concrètes et les idées ne sont que des instruments de la pensée. La vérité n’existe pas a priori, mais se révèle progressivement par l’expérience.
Le pragmatisme est souvent considéré comme une caractéristique de l’esprit anglo-saxon…
(…suivez MON regard !)
Dis-moi pour qui tu roules….je te dirai qui tu es !
Non ! Rassurez-vous chers amis, l’Institut Mater Boni Consilii ne vient pas de découvrir l’eau chaude mais juste de nous rappeler , par la voix de son mentor-gourou, l’Abbé Ricossa, que la F$$PX est déjà ralliée depuis belle lurette à la Rome conciliaire, autrement dit à la secte qui occupe les lieux de la Sainte Église, qu’elle a éclipsée depuis un demi-siècle, la détruisant avec armes et bagages et en la remplaçant in fine par une sorte de Canada Dry religieux et ecclésiastique à usage de fidèles peureux et benêts (pour les moins contaminés !) comme le monde catholique en compte tant de nos jours….
En effet, l’Institut nous dit que « l’accord existe déjà en réalité depuis un bon moment » et que « dans les actes de tous les jours, ce sont des relations normales – de caractère juridique et canonique – entre la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X et les modernistes (reconnus par Mgr Fellay comme “Saint-Siège”) ».
Souvenez-vous, chers amis lecteurs, de ces trois critères absolument indispensables à l’admission du traditionalisme bon teint et una cum au sein de la con-fraternité moderno-conciliaire : le premier constituant ce qu’on nommera le “leurre moderniste” en guise de caution orthodoxe, le second étant la reconnaissance de la validité des sacrements de la secte — et en particulier de sa synaxe accomplie sur des tables synaxiales, véritables “autels” dédiés au sacrifice de Caïn — et le troisième étant la reconnaissance de l’autorité des “pontifes” modernistes dont tous les actes sont nuls et non avenus, faut-il encore le rappeler…
Alors nous ne sommes plus là dans l’équivoque mais plutôt dans le spectacle tragique de la fin d’un monde…ou plus exactement de la fin du traditionalisme et tout particulièrement du traditionalisme lefebvriste…
La dite « barque de Pierre » a changé intégralement de personnel navigant et le Capitaine, seul maître et commandant à bord, est un imposteur-apostat qui n’a pas les diplômes requis pour diriger un tel navire ! Certes, les cabines , les grandes salles, le théâtre, la piscine, les restaurants, ont gardé à peu près (pour un observateur mal-voyant !) leur même décoration, agencement, disposition et apparat…. (ce qui n’est pas le cas pour nous autres catholiques « semper idem », les « ultra-lucides » à la vue 10 sur 10)…mais l’on sent bien que si l’on embarque pour une longue croisière, pour les plus âgés d’entre nous , le souvenir nostalgique du “Normandie”, paquebot de prestige, resurgit comme une sorte de reproche d’un monde qui n’est plus qu’un souvenir et qui ne revit que grâce à l’imagination neuronalement dopée des leurres traditionalistes…. Il est vrai qu’à force de se « shooter » l’âme et le cœur, nos bons tradis ne pouvaient qu’un jour ou l’autre re-tomber dans les bras de leur Chimène bien-aimée…. Sauf que la bien-aimée, faute de changer de sexe, a complètement changé sa substance : de catholique elle est devenue moderno-œcuménique…. Ah ! la puissance de l’amour, jointe à la nostalgie, constitue ce miracle à l’envers que l’on nomme si justement le « traditionalisme una cum » ! On se croit superman puis un beau jour l’on s’aperçoit qu’on en a épousé une autre…. Mais en général il est trop tard : le « OUI » est déjà prononcé !
Vous me direz, chers lecteurs, que non seulement tout cela sent le sapin (rite sacrificiel de la fin du traditionalisme catholique, en tant qu’expression authentique de la Tradition) mais qu’en plus cela ne débouche que sur des voies sans issues puisque la fameuse « normalisation canonique » (encore un leurre moderniste !) ne clarifiera la situation que pour ceux qui refuseront d’être des aveugles volontaires. Et des aveugles volontaires, ce n’est pas ce qui manque dans les diverses chapelles et prieurés tradis !!! ça pullule même…. Il serait vain, voire ennuyeux — quoique intéressant — de vouloir classer et catégoriser toutes ces sortes de petites bêtes à la pieuse volonté de rallier le plus grand nombre, c’est à dire la majorité tradi dont la peur ancestrale consiste à redouter d’être privée des sacrements…de la secte !!! Je laisserai donc ce travail aux plus distingués entomologistes de nos amis…
Quant au « coup de tampon » il viendra, comme un coup de grisou, avaliser la destruction définitive du traditionalisme pragmatique et/ou lefebvriste !
Alors l’Institut nous décrit, avec son talent habituel, les conséquences pratiques d’une telle fin programmée :
« Il n’existe plus aucune différence substantielle entre la Fraternité Saint-Pie X d’une part et, par exemple, la Fraternité Saint-Pierre ou l’Institut du Bon Pasteur (tous deux rejetons de la Fraternité Saint-Pie X) ou un prêtre (?) qui célèbre avec le motu proprio Summorum Pontificum d’autre part (également pour ce qui concerne le risque de recevoir de manière invalide les sacrements, puisqu’il existe dans la Fraternité Saint-Pie X toujours plus de ‘prêtres’ ordonnés de manière douteusement valide avec le nouveau rite ou par des évêques consacrés douteusement avec le nouveau rite, qui ne sont plus ordonnés sous condition). »
Vous verrez, chers amis lecteurs…ils finiront tous par s’étriper joyeusement avec la bénédiction de leur ‘pontife’ œcuménique ! Le spectacle ne sera pas beau à voir mais malgré tout réjouissant puisque nous passerons notre temps à compter les points !
Nous ne devons pas pour autant en tirer quelque gloire que ce soit, nous qui n’existons presque pas aux yeux de tous ces gens là, mais nous contenter d’attendre l’heure de Dieu en nous réfugiant dans l’humilité de la prière, l’adoration de Sa Patience et la crainte de Sa Justice.
C’est bien sûr la « mort dans l’âme » mais « l’Espérance au cœur » qu’alors il nous faudra/faut pratiquer sans faire semblant (suivez tous mes regards !!!) ce fameux “NULLAM PARTEM” que, dans une COHÉRENCE ABSOLUE, nous appliquerons alors, non seulement à la secte conciliaire, mais AUSSI à l’ensemble du traditionalisme una cum et conciliarisé… C’est alors que les enfants des ténèbres redoubleront de ruse et d’arguments fallacieux pour vous faire avaler cette pilule amère, vous expliquant doctement qu’il ne faut pas considérer le rapprochement avec Rome comme une abdication de la foi catholique et bla bla bla bla bla bla…..
Contentez-vous de leur rappeler, avec calme et charité, les fondamentaux de ce qu’ils sont réellement : des défenseurs de rites invalides et des sectateurs d’un imposteur sur le siège usurpé de Pierre ! Vous vous ferez alors, et instantanément, des ennemis féroces sur cette terre mais des amis fidèles au-delà des cieux….
Après tout, la vie n’est pas la Vie (éternelle) …alors ne gâchons pas ce merveilleux capital, cette perspective bienheureuse, par je ne sais quel respect humain capable de tous les reniements et de toutes les trahisons !
Haut les cœurs ! Nous les tournons vers le Seigneur !
Pierre Legrand.
Annexe
Communiqué de Déclaration de l’IMBC sur la FSSPX – 4 février 2017
“La fin d’une équivoque” : Mgr Fellay confirme
Dimanche 28 janvier 2017, Mgr Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X (alias Fraternité des Apôtres de Jésus et de Marie), a accordé une interview à TV Libertés (TVL), une webtélé privée française ; on peut trouver le texte intégral de l’interview traduite en italien par la même Fraternité (avec la vidéo en langue originale française) à l’adresse suivante (1) :
Les paroles qui ont le plus frappé l’opinion publique, spécialement chez les “catholiques traditionalistes”, ont été celles un peu pittoresques par lesquelles le Supérieur de la Fraternité a décrit l’état des pourparlers pour arriver au tristement célèbre “accord” avec les modernistes : ainsi à cet accord il ne manquerait plus “que le tampon”. Enthousiasme parmi les favorables, deuil, trouble et consternation parmi les opposants à l’accord en question ! (avec la surprise de trouver parmi ces derniers des personnes qui, il y a peu encore, pensaient différemment et peut-être aujourd’hui encore, le dimanche, assistent tranquillement à la ‘messe’ d’un ‘prêtre’ qui célèbre en vertu du motu proprio Summorum Pontificum ou qui dépend de Ecclesia Dei, et qui par conséquent vit dans l’“accord” tranquillement chaque jour).
Les paroles de Mgr Fellay par lesquelles il explique tranquillement, à qui redoute l’accord comme à qui le désire, que l’accord existe déjà en réalité depuis un bon moment – et qui ont précédé immédiatement l’évocation du désormais fameux tampon manquant de le part de J. M. Bergoglio (pour combien de temps encore ?) – ont échappé au plus grand nombre, pour ne pas dire à tous : “J’ai évoqué ce problème avec le Pape lui-même. Et nous sommes tous les deux d’accord. Il y a déjà maintenant un certain nombre de dispositions pratiques qui rendent pratiquement impossible le schisme. C’est-à-dire que, dans la pratique, dans les actes de tous les jours, nous exprimons à Rome, nous montrons notre soumission, nous reconnaissons ces autorités, et pas seulement à la messe en disant le nom du pape et celui de l’évêque du lieu dans le canon de la messe, mais aussi vous avez l’exemple du pape qui nous donne le pouvoir de confesser. Il y a aussi des actes juridiques. C’est un peu compliqué, mais il peut arriver qu’un prêtre commette des actes délictueux, et nous avons des rapports avec Rome qui nous demande de juger ces cas. Ce sont vraiment des relations normales. Il n’y a pas que la confession. Cet été, il a été confirmé que le Supérieur général peut librement ordonner les prêtres de la Fraternité, sans avoir à demander la permission à l’évêque du lieu. C’est un texte de Rome, il n’est pas publié sur les toits, mais qui permet à la Fraternité d’ordonner licitement (il dit, en fait, que le Supérieur peut ordonner «librement»). Ce sont des actes posés, juridiques, qui sont canoniques, qui sont déjà en place. Et qui déjà, à mon avis, suppriment la possibilité du schisme. Évidemment, il faut toujours veiller, c’est sûr”.
Les paroles de Mgr Fellay sont sans équivoque : déjà maintenant, et depuis longtemps, dans les actes de tous les jours, ce sont des relations normales – de caractère juridique et canonique – entre la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X et les modernistes (reconnus par Mgr Fellay comme “Saint-Siège”). Ce qui nous impressionne un peu c’est de voir que Mgr Fellay nous donne raison, alors qu’il donne tort à l’ex-supérieur du district italien pour qui parler des accords en cours était un signe certain de paranoïa (http://www.sanpiox.it/vita-del-distretto/1648-intervista-a-don-pierpaolo-petrucci-2). Comme nous l’avons rappelé dans le Communiqué de notre Institut du 3 septembre 2015, “La fin d’une équivoque” (http://www.sodalitium.eu/la-fin-dune-equivoque-reflexion-sur-la-fraternite-saint-pie-x-ou-fraternite-des-apôtres-de-jesus-et-de-marie/), et dans l’interview de l’abbé Ricossa à Rivarol (http://www.sodalitium.eu/abbe-francesco-ricossa-luther-revenait-terre-trouverait-bergoglio-progressiste/) le soi-disant accord ou régularisation canonique est déjà une réalité, depuis 2015 et probablement depuis bien avant :
“Le fameux accord, je pense, est déjà fait. La FSSPX a déjà reçu des modernistes le 5 juin 2015 le pouvoir de juger en première instance ses propres sujets, ce qu’on ne peut pas faire si l’on n’a pas de juridiction ; elle a été reconnue le 17 mars 2015 par le diocèse de Buenos Aires comme société de droit ecclésiastique, érigée canoniquement ; elle a reçu le 1er septembre 2015 le pouvoir de confesser et d’absoudre, pendant l’année dite de la miséricorde, et voilà que depuis le 20 novembre ce pouvoir devient permanent, ce qui est donner objectivement à la FSSPX une juridiction ordinaire. Récemment, ce 22 juin, à l’occasion des ordinations à Zaitzkofen en Allemagne, elle a été autorisée officiellement à faire des ordinations sacerdotales, comme quoi la FSSPX est déjà reconnue. Il ne reste plus qu’à lui donner le cadre officiel de la prélature personnelle, et à l’annoncer publiquement à ceux qui ne l’ont pas encore compris. On a procédé de cette façon afin d’éviter les difficultés que l’on a connues dans le passé : éviter que de fortes oppositions publiques ne se manifestent contre un accord, à droite de la part de la frange anti-ralliériste de la FSSPX et à gauche du côté des modernistes hostiles à un accord avec les lefebvristes. Cette stratégie s’est révélée très efficace, et tout à fait dans le style de Bergoglio : laisser les théologiens se disputer, tandis que l’homme d’Église (ou ce qui en tient lieu), dans la praxis, va de l’avant” (interview à Rivarol n° 3259 – 24 novembre 2016).
Il n’existe plus aucune différence substantielle entre la Fraternité Saint-Pie X d’une part et, par exemple, la Fraternité Saint-Pierre ou l’Institut du Bon Pasteur (tous deux rejetons de la Fraternité Saint-Pie X) ou un prêtre qui célèbre avec le motu proprio Summorum Pontificum d’autre part (également pour ce qui concerne le risque de recevoir de manière invalide les sacrements, puisqu’il existe dans la Fraternité Saint-Pie X toujours plus de ‘prêtres’ ordonnés de manière douteusement valide avec le nouveau rite ou par des évêques consacrés douteusement avec le nouveau rite, qui ne sont plus ordonnés sous condition). Toutefois, dans la tragédie d’un triste naufrage spirituel pour tant de prêtres et de fidèles, nous pouvons au moins nous réjouir du fait que la “normalisation canonique” de la Fraternité clarifiera la situation, au moins pour qui ne veut pas être aveugle volontaire. Malheureusement, la Fraternité passe, mais le lefebvrisme reste (et la même cause produira demain aussi les mêmes effets). Les accords d’aujourd’hui sont la conséquence logique du fait que la Fraternité Saint-Pie X et son fondateur, Mgr Lefebvre, ont toujours reconnu chez les modernistes la légitime autorité de l’Église : dans les déclarations publiques, dans les célébrations liturgiques (“una cum”), dans la persécution des catholiques (prêtres, séminaristes, fidèles) qui refusent de reconnaître cette soi-disant légitimité. En attente du “tampon” de Bergoglio, celui qui se réclame de Mgr Lefebvre pour continuer à “résister” veut rassembler autour de lui les catholiques fidèles ; mais pour les emmener où ?
Mgr Williamson (Initiative St Marcel) invite les “résistants” à reconnaître en Bergoglio le Saint-Père, et les autorise, en cas de nécessité, à assister à la nouvelle messe montinienne (dont la validité serait certifiée par d’improbables miracles eucharistiques) ; le bimensuel “Sì sì no no”, principal soutien de Mgr Williamson en Italie, a essayé de démontrer non seulement la validité mais même la légitimité et licéité de la réforme liturgique montinienne des sacrements (confirmation, eucharistie, ordre, extrême onction), assez logiquement d’ailleurs puisque Paul VI et tous ses successeurs seraient de manière indubitable les Vicaires du Christ et la Prima Sedes que personne ne peut juger. Pour les “résistants” donc (en dehors de la Fraternité Saint-Pie X, ou encore à l’intérieur en attente du ‘tampon’ pour sortir) :
– nous avons un Pape, Vicaire du Christ, Sa Sainteté François, qui jouit du plein pouvoir de juridiction pour enseigner (de manière faillible) et gouverner ;
– nous avons dans chaque diocèse des évêques légitimes en communion avec lui ;
– nous avons dans chaque église du monde le Saint Sacrifice de la Messe, y compris selon le rite promulgué par Paul VI, parfaitement valide et confirmé par des miracles célestes ;
– nous avons des sacrements, toujours selon le rite montinien, parfaitement licites, légitimes et valides…
À quoi résistent, alors, les résistants ? Au tampon (pour le moment).
Le 4 février 2017.
[1] La vidéo en français est ici : https://youtu.be/wckvRsgz2II
Et le texte en français sur DICI : http://www.dici.org/actualites/transcription-de-lentretien-de-mgr-fellay-a-terres-de-mission-29-janvier-2017/
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