– DÉCRET –
Nouvelle Traduction liturgique du Notre-Père

Notre-Père – Pater Noster

Notre-Père qui êtes aux cieux,
Que votre nom soit sanctifié,
Que votre règne vienne,
Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel,
Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour,
Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous laissez pas succomber à la tentation,
Mais délivrez-nous du Mal.
AMEN.

Pater Noster – Notre-Père

Pater noster qui es in cælis
Sanctificetur nomen tuum ;
Adveniat regnum tuum ;
Fiat voluntas tua sicut in cælo et in terra.
Panem nostrum quotidianum da nobis hodie,
et dimitte nobis debita nostra sicut et nos dimittimus debitoribus nostris
et ne nos inducas in tentationem
sed libera nos a Malo.
AMEN.

Voici la nouvelle traduction liturgique officielle du Notre-Père dans la Secte Conciliaire… L’ancienne traduction hérétique et injurieuse à l’Esprit-Saint qui écrivait « et ne nous soumet pas à la tentation » est enfin abolie.

Celle-ci était contraire à l’enseignement du Concile de TRENTE, dans son Catéchisme qui écrit qu’il ne faut pas demander que DIEU ne nous soumette pas à la tentation mais l’accepter pleinement.

L’ancienne et révolue traduction maçonnisée incitait à ne pas vouloir subir la tentation alors que Jésus-Christ lui-même l’a subie: c’est faire ainsi preuve d’un sentiment d’orgueil que de vouloir s’élever au dessus de la condition de Jésus-Christ, et de ne pas vouloir se conformer au divin modèle qu’il nous a enseigné durant sa vie publique.

Lorsque Saint PAUL enseigne que DIEU est fidèle et qu’il ne permet pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces c’est pour nous enseigner que les grâces de DIEU répandues par l’Esprit-Saint permettent de supporter les tentations afin d’obtenir la couronne de gloire promise à ceux qui l’aiment et qui ont eu part aux souffrances du Christ.

 


 

« Notre Père » Conciliaire : La rénovation appliqué en mars 2017

 

Une petite modification dans un grand classique. Depuis ce début mars 2017, les conciliaires récitant le « Notre Père » ne disent plus « Ne nous soumets pas à la tentation », mais « Ne nous laisse pas entrer en tentation ». Cette modification est issue de la traduction intégrale en français de la Bible liturgique validée par le Vatican (d’Eux) à l’été 2013. Mais elle avait été sans effet à ce jour sur la manière de réciter la plus célèbre prière chrétienne, notamment à l’église, où c’est le missel romain (livre de messe) qui a toujours cours.

« Nous prévoyons une mise en œuvre lors du 1er dimanche de carême 2017 [le 5 mars] », avait confié Mr Bernard-Nicolas Aubertin, le laïc déguisé en archevêque de Tours et président de la Conférence épis… francophone pour les traductions liturgiques. Le sujet a été à l’ordre du jour de l’assemblée des peudo-évêques de France, qui se tenaient à Lourdes en novembre 2015.
 

Plus fidèle à la langue latine

 

La traduction se veut globalement plus fidèle à la langue latine et n’a guère fait débat, à l’exception de l’avant-dernier verset du « Notre Père ». Exit donc « Ne nous soumets pas à la tentation », qui laissait penser que Dieu pouvait pousser ses fidèles sur la pente glissante du péché, ce qui est difficilement concevable pour un croyant. Place à « Ne nous laisse pas entrer en tentation », qui érige plutôt le Créateur en protecteur bienveillant.

Qu’en pensent les autres églises chrétiennes ??… sachant que la version ancienne avait été adoptée après un compromis œcuménique passé en 1966, juste après le conciliabule Vatican II (d’Eux) ?

« C’est une traduction qui nous paraît aller plutôt dans le bon sens, même si elle édulcore l’idée d’un Dieu souverain : “Ne nous laisse pas entrer”, c’est un peu “Dieu fait ce qu’il peut” »

avait expliqué le pasteur baptiste (protestant) Étienne Lhermenault, président du Conseil national des évangéliques de France (Cnef). Pour les orthodoxes, qui prient souvent en slavon ou en grec à la « divine liturgie », « la question se pose moins », avait souligné le sieur Aubertin en 2015…

« Ne créons pas de problème là où il n’y en a pas », avait ajouté le pseudo-archevêque de Tours, qui pensait toutefois à l’époque, qu’une pédagogie du nouveau texte serait nécessaire pour les « fidèles’ conciliaires : « Il y aura un changement d’habitude qu’il faudra accompagner. »