
Causes des peudo-saints Conciliaires : le cardinal Newman bientôt “canonisé” !!!
Cave Ne Cadas
Publié le 13 février 2019
La Secte conciliaire — petite église de Vatican d’Eux — reconnaît deux « miracles » attribués à deux « bienheureux » : le cardinal HOMOSEXUEL John Henry Newman (1801-1890), pasteur anglican converti au catholicisme, fondateur des Oratoires de Saint-Philippe Neri, en Angleterre ; et mère Mariam Thresia Chiramel Mankidiyan (1876-1926), religieuse indienne du Kerala, fondatrice de la Congrégation de la Sainte-Famille. La reconnaissance de ces miracles ouvre la voie à leur fausse canonisation conciliaire…
L’antipape FrançoisØ a en effet approuvé de nouveaux décrets de la Congrégation pour les causes des saints-conciliaires, en recevant le préfet du dicastère, le ‘cardinal’ Angelo Becciu, le 12 février 2019 : deux décrets de miracles, un décret reconnaissant le martyre d’un jésuite équatorien et cinq décrets reconnaissant les « vertus héroïques » de cinq baptisés, première étape vers la “béatification”.
Les deux soi-disant miracles (non vérifiés selon la méthode très stricte de l’Église — la VRAIE, la Catholique)
Le « miracle » du cardinal britannique avait été annoncé par le journal Catholic Herald (un journal Conciliaire bien sûr !) le 28 novembre 2018 : il concernerait la guérison « inexplicable » — le Malin sait faire — d’une femme enceinte américaine. Son cas a été étudié par l’archidiocèse de Chicago, aux États-Unis. La femme a prié pour l’intercession du cardinal Newman lors d’une « grossesse mettant sa vie en danger ». Les médecins qui l’ont traitée ont déclaré qu’ils n’avaient aucune explication pour son rétablissement soudain.
« Mgr » Philip Egan, évêque invalide de Portsmouth au Royaume-Uni, avait alors déclaré qu’il « semble maintenant que Newman pourrait être canonisé et, si tout va bien, au plus tard l’année prochaine ».
D’après le quotidien « Times of India », le « miracle » attribué à l’intercession de Mère Mariam Thresia consiste en la guérison d’un bébé, en 2009. Christopher, troisième fils de Joshi et Shibi, de Perinchery, en Inde, souffrait du syndrome de détresse respiratoire aiguë après sa naissance, le 7 avril. Les médecins de l’hôpital Amala (à Thrissur, dans l’État du Kerala) avaient abandonné tout espoir, mais la famille a demandé l’intercession de Mariam Thresia en posant sa relique près du nourrisson, qui a commencé à respirer normalement deux jours plus tard.
Biographie de Newman
D’après la chronologie du « bienheureux » Newman publiée par l’Association Française des Amis de Newman, John Henry Newman est né le 21 février 1801 à Londres. Aîné de 6 enfants, il a été baptisé dans l’église Anglicane de St. Benet Fink. Il vit une première conversion en 1816 et fait sa Première communion dans la Church of England l’année suivante. En 1824, il est ordonné diacre de la Church of England et prêtre INVALIDE (dixit Léon XIII in Lettre Apostolique APOSTOLICAE CURAE sur les ordinations anglicanes) anglican à Oxford un an plus tard.
Orateur reconnu, il est l’auteur de nombreux sermons et essais. Durant l’été 1843, « Newman voit clairement sa situation: son doute concernant la vérité de la Church of England est plus fort que son doute au sujet de l’Église Romaine ». Il résilie alors sa charge de curé. Il sera reçu dans l’Église catholique par le père Dominique Barberi, passionniste italien, 9 octobre 1845 et il reçoit le sacrement de confirmation le 1er novembre.
À Rome, où il va se préparer au sacerdoce, il entre dans la congrégation de l’Oratoire en janvier 1847 et il est ordonné prêtre le 30 mai. Il fonde plusieurs Oratoires en Angleterre, à Maryvale, à Birmingham, à Londres. En 1850, le pape Pie IX confère à Newman le grade de Docteur en théologie Honoris causa, et il le crée cardinal lors du consistoire du 15 mai 1879.
La santé de Newman commence à baisser à partir de 1886. Il célèbre la sainte Messe pour la dernière fois le 25 décembre 1889. Le cardinal reçoit les derniers sacrements le 10 août 1890 et s’éteint le lendemain.
L’antipape Jean-Paul II de V² l’a déclaré « vénérable » en 1991. C’est Benoît Ier de V² en personne, le 19 septembre 2010, qui a présidé sa pseudo-béatification.
Ce que la Biographie officielle ne dit pas… c’est que Newman a vécu avec un « ami »… pendant 32 ans, qu’ils étaient inséparables… et que Newman avait exprimé son souhait d’être inhumé en compagnie d’un homme qu’il avait, selon ses mots, « aimé d’un amour aussi fort que celui d’un homme pour une femme ».
Cet « ami » de 32 ans… était le Père Ambrose St. John. À la mort de St. John en 1875, Newman fut dévasté. « J’ai toujours pensé qu’aucun deuil n’était égal à celui d’un mari ou d’une femme », a-t-il écrit, « mais j’ai le sentiment qu’il est difficile de croire que le chagrin de quelqu’un puisse être plus grand que le mien. »
« Il n’est pas déraisonnable de penser qu’il aurait pu être homosexuel », déclare le révérend James Martin, prêtre jésuite et auteur de « Ma vie avec les saints » (My Life with the Saints). « Ses lettres et ses commentaires sur la mort d’un de ses amis proches sont assez provocants. »
Newman a décrit St. John comme « ma lumière terrestre »... St. John a aidé Newman grâce à ses études, ses traductions et plus encore. « Même faire des choses comme faire ses bagages avant son départ, s’assurer qu’il prenait ses médicaments, s’assurer qu’il respectait ses rendez-vous chez le dentiste, ce genre de choses », dit Cornwell. « Donc, c’était presque comme une femme, mais sans le lit matrimonial. »
Juste avant sa propre mort, Newman demanda avec force — non pas une mais trois fois — d’être enterré dans la même tombe avec son ami de toujours.
« Ex umbris et imaginibus in Veritatem »
(« Des ténèbress et des faux-semblants vers la Vérité »)
C’était l’inscription au-dessus de la tombe du cardinal Newman à Rednall, village du centre de l’Angleterre… avant son déplacement à la basilique de l’Oratoire de Birmingham.
Dans le cadre du procès de « béatification » du cardinal John Henry Newman, encouragé par Benoît XVI, le Vatican a obtenu du ministère de la justice l’autorisation de déplacer la sépulture du « serviteur de Dieu » de Rednall à la basilique de l’Oratoire de Birmingham. « C’est une étape indispensable au procès, afin de permettre aux pèlerins de vénérer le futur bienheureux dans un lieu approprié », avait fait valoir un porte-parole du primat conciliaire.
Le cardinal Newman était-il vraiment un exemple de vie chrétienne, condition sine qua non à une béatification, présentement suivie d’une canonisation ?…
Sources : Le Monde du 29 août 2008 : https://www.lemonde.fr/societe/article/2008/08/29/mgr-newman-etait-il-gay-shocking_1089296_3224.html
NPR du 17 septembre 2010 : Was Cardinal John Henry Newman Gay? https://www.npr.org/templates/story/story.php?storyId=129930850&t=1550089309896
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