
3 documents – Nouveau rite latin du sacre INVALIDE des évêques (Pontificalis Romani, 1968) par Paul VI-Montini
Cave Ne Cadas
Publié le 2 avril 2019
trois documents à diffuser
Rore Sanctifica
1er document (Juillet 2017)

- Tome 1 de Rore Sanctifica (extraits).
- Lignées épiscopales valides après Pontificalis Romani.
- 18 juin 2017 – François et sa croix (double tau) de Patriarche de l’église Gnostique Universelle. Un signal fort. Le tautau.
François-Bergoglio a troqué la croix contre le bâton au double tau, symbole du Patriarche de l’église Gnostique Universelle, le 18 juin 2017, 49 ans jour pour jour après le 18 juin 1968, date de la promulgation du nouveau rite de consécration épiscopale (Pontificalis Romani)
- Tome 3 de Rore Sanctifica, volume 1 (extraits)
- Pages 11-14 – 5 considérations générales sur les sacrements.
- Le cardinal Rampolla, membre de l’OTO, et sa lignée autour ou sur le trône de Pierre
- Télécharger le 1er document en PDF (16.5 Mo)
2ème document : Considérations générales sur les sacrements institués par Notre-Seigneur Jésus-Christ (extraite de Rore Sanctifica)

3ème document : Les éléments clés résumant la démonstration d’invalidité du nouveau rite de consécration épiscopale du 18 juin 1968 (Pontificalis Romani) (extrait de Rore Sanctifica)
Répudiation de toute la Préface consécratoire et de la forme essentielle du rite latin, au prétexte que « ce n’est pas une forme biblique » et mise en place d’un texte créé en 1963 (Dom Botte) et adapté en commission en 1967, sur la base d’une reconstitution d’une pseudo “Tradition d’Hippolyte” dont l’existence est contestée par les universitaires (Jean Magne, thèse en Sorbonne en 1974).
Le nouveau rite contient 3 hérésies : monophysite, anti-trinitaire et onctioniste.
Affirmation erronée par Paul VI de la perpétuation de l’usage de ce texte dans les liturgies Copte et Syrienne occidentale.
Usage par le Père Pierre-Marie de Kergorlay de sources erronées : traduction adultérée du rite Copte par Dom Cagin (1911) (quem/quam), traduction fautive par Denzinger, Ritus Orientalis (oubli de l’ordre du Sacerdoce).
“L’utilisation de cette forme qui est en usage dans deux rites orientaux certainement valides, garantit sa validité.” Père Pierre-Marie (2005).
En 2005, dans le n°54 de la revue du Sel de la terre, reprise à son compte par le Père Pierre-Marie de Kergorlay (dominicain d’Avrillé), de la justification du nouveau rite par Dom Botte et le Père Lécuyer selon le principe de l’analogie. Absence d’étude historique de la Tradition d’Hippolyte.

En fin 2018 sont parus les actes d’un colloque international à l’Université de Laval (Québec) en 2014 qui a constaté (Paul-Hubert Poirier) la ruine scientifique complète de cette pseudo-Tradition apostolique d’Hippolyte de Rome, base du nouveau rite. Ce texte a été qualifié de « document fantôme », infirmant les déclarations de Paul VI-Montini de 1968, reprises à leur propre compte par le Père Pierre-Marie de Kergorlay dans le « Sel de la terre » de novembre 2005.
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