
« La vérité vous rendra libres. » Jean 8, 32
«VOICI COMMENT MOI,
JEUNE PRÊTRE,
JE (N’) AI (PAS) ÉTÉ FORMÉ»
Un jeune prêtre a écrit un article, ensuite envoyé au journaliste vaticaniste Carlo Maria Valli, le présentant en ces termes : « Pour aborder un sujet dont on ne parle jamais ou presque, mais que je pense important car il concerne le bouillon de culture d’où sortent ensuite toutes les bêtises, les bizarreries, les abus et les profanations …
De quoi est-ce que je parle ?
Mais du séminaire ! C’est en effet là que sont plantées ces graines qui produisent ensuite certaines mauvaises herbes. Ce que je vais raconter, c’est un ensemble d’épisodes que j’ai vécus personnelle¬ment ou qui m’ont été racontés par des confrères distribués dans divers diocèses italiens. »
* * *
Ce que nous lisons dans cet article est tellement aberrant et bouleversant qu’il provoquera certainement l’incrédulité et le rejet de la part de nombreux lecteurs, principalement en raison de l’impossibilité de comprendre les raisons d’une œuvre de destruction et de perversion aussi vaste et généralisée dans l’enseignement de la doctrine catholique dans les séminaires. Par conséquent, avant de publier le texte de l’article, nous estimons opportun de présenter certains documents qui démontrent l’existence d’un plan secret de la Franc-Maçonnerie pour la corruption et la destruction de l’enseignement de la doctrine catholique dans les séminaires. Et ce plan devait être mis en œuvre par des mon-seigneurs et des cardinaux traîtres, tous identifiés dans les documents par le sigle d’appartenance à la Franc-Maçonnerie et ayant pour guide suprême Mgr. Pasquale Macchi, secrétaire personnel de Paul VI.
Le 20 février 2006, commença la distribution de 10 000 exemplaires de l’édition spéciale de Chiesa viva : “Une ‘nouvelle église’ à Saint Padre Pio – Temple maçonnique ?” qui démontrait la nature maçonno-satanique de cette église et la présence d’horribles offenses contre Jésus-Christ et la Sainte Trinité, et où l’aboutissement de ce défi blasphématoire à Dieu était représenté par la croix de pierre, qui s’élève sur le parvis et symbolise la glorification de la victoire de Lucifer sur Dieu.
La direction du projet de cette “nouvelle église” était entre les mains du célèbre architecte Renzo Piano, mais la responsabilité du projet incombait à la Commission Pontificale pour le patrimoine culturel de l’Église, présidée par Mgr. Francesco Marchisano.
Mgr. Marchisano était une vieille connaissance de don Villa, directeur de “Chiesa viva”. En effet, celui-ci l’avait déjà dénoncé comme franc-maçon dans le numéro 109 de “Chiesa viva” de juin 1981, avec toutes les données d’immatriculation maçonniques. Sa carrière s’est toutefois poursuivie sans encombre jusqu’à ses nominations de Vicaire Général de la Cité du Vatican et de Président de la Fabrique de Saint Pierre, conférées par Jean-Paul II.
En septembre 2002, à ces deux nouvelles promotions, don Villa répondit par le dossier “Une nomination scandale”, dans lequel il rapportait également trois lettres de Mgr. Marchisano au Vénérable Grand Maître de la Franc-Maçonnerie italienne, où il écrivait : « Illustre et Vénérable Grand Maître, c’est avec une grande joie que j’ai reçu, par l’intermédiaire de F. MAPA (= Mgr Pasquale Macchi, secrétaire personnel de Paul VI – ndr) Votre tâche délicate : organiser, en silence, dans tout le Piémont et la Lombardie, comment désagréger les études et la discipline des Séminaires … ».
Le dossier fut distribué à des milliers d’exemplaires et certaines personnalités du Vatican vinrent à Brescia chez don Villa pour en acheter des paquets, tandis que d’autres, de Rome, lui confièrent leur malaise et leur désespoir.
Mais il semblait que personne ne pouvait arrêter la montée irrésistible de ce prélat franc-maçon. Il ne lui manquait que sa nomination de cardinal, mais sur la liste des cardinaux admissibles au Consistoire prévu pour le 21 octobre 2003, son nom ne figurait pas. On pensait que la raison en était la publication et la vaste distribution du dossier “Une nomination scandale”, dans lequel était démontrée de façon définitive l’appartenance à la Franc-Maçonnerie de Mgr. Marchisano.
Trois jours avant que le Pape ne lise les noms possibles du Consistoire du 28 septembre 2003, j’étais avec don Villa dans son bureau lorsque le téléphone sonna. Le père resta à l’écoute et, raccrochant, me dit : « Savez-vous ce qu’ils viennent de me communiquer ? Mgr. Marchisano sera dans la liste des cardinaux ! ». Trois jours plus tard, à la télévision, tout le monde vit Jean-Paul II lire la liste des noms des futurs cardinaux lorsque tout à coup, apparut la main de son secrétaire personnel tenant un bout de papier qu’il posa sur le lutrin. Le mouvement d’irritation du Pape ne servit à rien … peu après, il lut également le nom de Mgr. Francesco Marchisano.

VATICAN CITY, Vatican : Le pape Jean-Paul II (à gauche) donne à Mons. Francesco Marchisano d’Italie sa bague cardinale dans la basilique Saint-Pierre le 22 octobre 2003 au Vatican. Une trentaine de cardinaux ont été nommés aujourd’hui pour porter le consistoire à 135 cardinaux-électeurs qui se réuniront en conclave pour élire un prochain pape après sa mort.. AFP PHOTO POOL ARTURO MARI (Photo credit should read ARTURO MARI/AFP/Getty Images)

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