UN MANIFESTE MONDIALISTE ANTICATHOLIQUE !!!

ou une étape importante vers la religion mondiale…..

Saint Pie X répond aux blasphèmes de François^Ø, le « pape » de la secte œcuménique de Vatican II :

« Il en est de même de la notion de fraternité, dont ils mettent la base dans l’amour des intérêts communs, ou, par delà toutes les philosophies et toutes les religions, dans la simple notion d’humanité, englobant ainsi dans le même amour et une égale tolérance tous les hommes avec toutes leurs misères, aussi bien intellectuelles et morales que physiques et temporelles. Or, la doctrine catholique nous enseigne que le premier devoir de la charité n’est pas dans la tolérance des convictions erronées, quelques sincères qu’elles soient, ni dans l’indifférence théorique ou pratique pour l’erreur ou le vice où nous voyons plongés nos frères, mais dans le zèle pour leur amélioration intellectuelle et morale non moins que pour leur bien-être matériel. Cette même doctrine catholique nous enseigne aussi que la source de l’amour du prochain se trouve dans l’amour de Dieu, père commun et fin commune de toute la famille humaine, et dans l’amour de Jésus-Christ, dont nous sommes les membres au point que soulager un malheureux, c’est faire du bien à Jésus-Christ lui-même. Tout autre amour est illusion ou sentiment stérile et passager. Certes, l’expérience humaine est là, dans les sociétés païennes ou laïques de tous les temps, pour prouver qu’à certaines heures la considération des intérêts communs ou de la similitude de nature pèse fort peu devant les passions et les convoitises du cœur. Non, Vénérables Frères, il n’y a pas de vraie fraternité en dehors de la charité chrétienne, qui, par amour pour Dieu et son Fils Jésus-Christ notre Sauveur, embrasse tous les hommes pour les soulager tous et pour les amener tous à la même foi et au même bonheur du ciel. En séparant la fraternité de la charité chrétienne ainsi entendue, la démocratie, loin d’être un progrès, constituerait un recul désastreux pour la civilisation. Car si l’on veut arriver, et Nous le désirons de toute Notre âme, à la plus grande somme de bien être possible pour la société et pour chacun de ses membres par la fraternité, ou, comme on dit encore, par la solidarité universelle, il faut l’union des esprits dans la vérité, l’union des volontés dans la morale, l’union des cœurs dans l’amour de Dieu et de son Fils, Jésus-Christ. Or, cette union n’est réalisable que par la charité catholique, laquelle seule, par conséquent, peut conduire les peuples dans la marche du progrès, vers l’idéal de la civilisation. »

L’apostat qui fait nommer “François” ose écrire dans un véritable « manifeste » humaniste des blasphèmes contre la foi catholique, ne craignant pas, dans un sacrilège document, de s’unir, dans une même déclaration, avec un représentant du mahométisme, pour prendre le contre-pied de ce que déclarait un pape catholique dans « Notre charge apostolique » en 1910……

Les deux INFIDÈLES, François Ø et Ahmed Al Tayeb

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Quelques réflexions glanées çà et là au sujet du manifeste blasphématoire de François !

Il n’y a pas trace dans le texte de François Ø du Dieu unique et trinitaire, mais il y a une divinité partagée entre toutes les religions. Mais l’on peut se poser quelques questions :

— Si, comme il le dit, le document « Le pluralisme et la diversité des religions (…) sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains », pourquoi Jésus est-il venu pour être crucifié ? S’est-il trompé ? Que pense Bergoglio de la valeur de la Croix et de la Résurrection ? Sont-ils nécessaires oui ou non ? S’il ne le pense pas, qu’attend-il de nous ?

— Si toutes les religions portent, comme le dit le document, de « vrais enseignements », pourquoi donc y a-t-il des prêtres, des évêques et des papes ? À ce stade, qu’ils démissionnent tous et nous rendent l’argent.

Ce qui est grave dans cette affaire c’est que ça fait 50 ans nous avions déjà vu là où ils voulaient nous emmener ,mais les gens bien intentionnés disaient : « tu vois le mal partout, tu vois tout noir, il y a quand même du bon ,ils ne sont pas tous pourris, c’est quand même le pape qui le demande, qui es-tu pour t’opposer au pape ? » etc. etc.

Maintenant c’est plus clair, c’est plus visible, mais il y a encore des irréductibles qui n’ont rien compris, tout comme les pharisiens qui voyaient Jésus guérir les malades, ressusciter les morts, multiplier les pains et les poissons, marcher sur l’eau, changer l’eau en vin et qui Le mirent à mort.

Les pharisiens d’aujourd’hui que sont les modernistes, ne voient pas venir l’antéchrist à travers Bergo(go)glio.

Ce document des franciscains est stupéfiant ; ils ont eux aussi complètement perdu la foi pour sombrer dans le déisme prophétisé par Albert Pike. Incroyable le niveau de destruction de l’Église !

En fait, tous ces documents, tous ces actes et paroles qui confirment la « non nécessité » de Jésus et de son sacrifice (miséricorde universelle entre autre) ne font que confirmer le sentiment que l’abolition du sacrifice perpétuel ne représente pas la nouvelle ‘messe’ œcuménique, que nous attendons probablement en vain, mais bel et bien la confirmation par l’antipape et les ordres que le « chaînon Jésus » pour aller au Ciel n’est plus nécessaire.

Il ne reste donc plus qu’une poignée pour y croire et le proclamer.

Tout est accompli depuis déjà quelques années.
Donc la destruction de cette génération perverse peut intervenir à tout moment.

Le « pape » François Ø a été condamné par l’Église pour hérésie (dubias et correctio filialis). Légalement, nous ne pouvons qu’attendre que Dieu le dépose. La ligne rouge a donc déjà été franchie, d’autant plus que l’anti-Pape François^Ø a dit lui-même qu’il ne pouvait pas y avoir de retour en arrière sur le chemin de l’œcuménisme.

Aujourd’hui, on est encore monté d’un cran, au niveau de l’apostasie et du blasphème :

— Apostasie car sachant que toutes les religions sauf une nient la divinité de Jésus-Christ, si toutes les religions adorent le même Dieu, alors Jésus-Christ ne peut pas être ce Dieu.

— Blasphème car un Dieu qui aurait créé différentes religions entraînant ainsi des guerres et des atrocités pendant des siècles serait un Dieu mauvais et pervers.

— Blasphème aussi parce que le Dieu du Coran ne peut pas être le Bon Dieu.

— etc. etc. etc.

Et si Jésus-Christ n’est pas Dieu, alors le Saint Sacrifice de la Messe est détruit. Aurons-nous une nouvelle ‘messe’ œcuménique en plus ? Dieu seul le sait. Mais, il se célèbre déjà des ‘messes’ œcuméniques.

Avec cette déclaration conjointe de François et du cheikh Ahmed Al Tayeb, on peut se demander si nous ne venons pas d’assister à la création d’une sorte d’ONU des religions. Il y est écrit : « À cette fin l’Église Catholique et Al-Azhar, par leur coopération commune, déclarent et promettent de porter ce Document aux Autorités, aux Leaders influents, aux hommes de religion du monde entier, aux organisations régionales et internationales compétentes, aux organisations de la société civile, aux institutions religieuses et aux Leaders de la pensée ; et de s’engager à la diffusion des principes de cette Déclaration à tous les niveaux régionaux et internationaux, en préconisant de les traduire en politiques, en décisions, en textes législatifs, en programmes d’étude et matériaux de communication. »

Dans cette ONU des religions, le pseudo-pape est sur un pied d’égalité avec le cheikh et les autres chefs religieux qui voudront les rejoindre. Il n’y a plus de suprématie, plus de pape.

Oui, les propos du « pape » ont un caractère banal, par rapport au modernisme qui adopte le point de vue des héritiers des lumières. Mais ce qui n’est pas banal, c’est que ce pseudo « pape » adopte clairement ce point de vue anti-chrétien des lumières (la valeur ce n’est pas la Vérité mais le pluralisme).

Le ‘concile’, les ‘papes’ d’après-‘concile’ ont voulu voir des éléments de vérité dans les autres religions, en négligeant trop de souligner les erreurs et les obstacles au salut qu’elles contenaient aussi. Ils ont ensuite mis en avant que la recherche de la vérité ne devait pas être contrainte par la puissance de l’état. Mais ils n’ont pas fait prévaloir la valeur d’un pluralisme de croyance sur la Vérité, en attribuant à la sagesse divine la volonté et la création de ce pluralisme. Il ne s’agit plus de considérations d’ordre politique, mais d’un pluralisme, d’erreurs, de conscience erronée voulues par la sagesse de Dieu, et instaurées par Lui dans la création.

Là on est carrément dans l’apostasie et le blasphème.

Car dans ses propos, le pseudo-pape nie délibérément la Sainte Trinité et la divinité de Jésus-Christ. D’ailleurs il ne parle à AUCUN MOMENT de Jésus-Christ mais toujours de « Dieu », sachant très bien que l’on donne des sens différents à ce mot. Tandis que « Jésus Dieu le Fils » n’entraîne aucune ambiguïté.

Doit-on rappeler que la religion catholique est bâtie sur le Christ ?

Si cette même religion se présente aujourd’hui délibérément comme adoratrice d’une entité qu’elle appelle « Dieu » et qu’elle partage ce même « Dieu » avec les autres religions comme elle l’affirme, sachant que ces dernières ne reconnaissent pas la divinité du Christ, alors de quel « Dieu » s’agit-il ?

Les catholiques (et même les Conciliaires) devraient se poser sérieusement la question aujourd’hui car le chef des conciliaires a affirmé lundi dernier qu’il croyait en un Dieu qui n’est pas Jésus-Christ.

L’antipape Francis (à droite) et le grand imam égyptien Azhar, Ahmed al-Tayeb, arrivent pour assister à la cérémonie du mémorial des fondateurs à Abou Dhabi le 4 février 2019. (Photo de Vincenzo PINTO / AFP)

Mais ce n’est pas nouveau, c’est dans le texte de Nostra Ætate voté par la grande majorité des pères conciliaires et publié pendant le conciliabule de Vatican (d’Eux) ,c’est aussi dans le nouveau catéchisme publié le 11 octobre dont le rédacteur en chef était le cardinal Ratzinger, Paul VI et Jean Paul II, dans plusieurs de leurs discours ont dit que nous adorions le même Dieu que les musulmans en prenant à témoin les textes et orientations du pseudo-concile V².

Dernièrement Benoit XVI a encore affirmé que les juifs n’avaient pas besoin d’être convertis ce qui sous-entend qu’ils adorent le même Dieu que les catholiques tout en niant la divinité du Christ.

Depuis 50 ans tout ça était acté et tout le monde s’en foutait !!!

La Sainte Trinité est indissociable : on ne peut séparer le Fils du Père, on ne peut décider d’adorer le Père d’un côté et le Fils de l’autre, un peu à la carte, à géométrie variable. Je vous rappelle qu’il s’agit d’UN SEUL DIEU.

Ceci est la définition donnée par l’Église (LA VRAIE) elle-même

Si on pousse le raisonnement jusqu’au bout, il n’est pas interdit à la limite de dissocier le Père du Fils, mais alors ceci remet en cause la définition de la Sainte Trinité : on change donc de religion puisqu’on change de Dieu. Autant le dire et être clair.

Dans ce cas il faut changer de nom, car chrétien vient de Christ. Si la religion n’est plus fondée sur le Christ, elle doit porter un autre nom.

Et puis cela pose un autre problème, celui du salut éternel. L’Église catholique affirme que le salut ne peut venir QUE de Jésus-Christ parce qu’il est Dieu.

Comment peut-on partager cette conviction avec les musulmans qui eux, affirment que le salut ne vient pas de Jésus-Christ, puisque pour eux il n’est pas Dieu ? C’est contradictoire.

Il y a donc un choix à faire : avec ou sans le Christ.

C’est le discours typique du modernisme : utiliser une vérité pour mieux faire avaler le mensonge : Dire « on a le même Dieu comme créateur » et rejeter Son incarnation dans le monde en la personne de Jésus-Christ, c’est comme aller consulter son médecin et lui dire « non, votre ordonnance, j’en veux pas… »

La liberté de culte est un leurre humaniste : la seule liberté qu’on a, c’est de choisir la vérité révélée ou le mensonge, la vie ou la mort.

Pierre Legrand

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