La « messe » de Paul VI ? Une synaxe invalide et déicide !!!
Ou le naufrage consenti du traditionalisme talmudique qui, en châtiment de son aveuglement spirituel, reconnait quelque autorité à la secte montinienne et lui concède par là même la validité de ses sacrements…
Chers amis lecteurs,
Notre bien-aimé administrateur vient de nous gratifier du dernier numéro 528 de Chiesa Viva, numéro remarquable s’il en est car il nous avertit de ne plus accorder le moindre iota à la secte conciliaire, à ses rites, à ses écrits, à ses pompes et à ses œuvres de ténèbres.
Je n’apprendrai pas à mes honorables lecteurs que la vraie difficulté se cache souvent sous les apparences de ce que je nomme « les résidus encore radioactifs du catholicisme bimillénaire ». Saint Pie X nous a pourtant averti que pour le Prince de ce monde, le « Malin », c’est presqu’un jeu d’enfant de tromper les fidèles en mêlant adroitement la vérité et l’erreur, la lumière et les ténèbres. Ce qui donne un mélange grisâtre que les nouveaux « prêtres » de la secte feront passer pour la couleur dans le vent et marquée du sceau de la modernité. Pourquoi donc croyez-vous que ce soit cette couleur qui a remplacé le noir liturgique des célébrations d’obsèques ? Le noir fait trop penser aux fins dernières et aux menaces de damnation qui pèsent sur les âmes des défunts. Dans le grand bazar conciliaire, l’on s’est efforcé d’éliminer peu à peu tous les référentiels liturgiques antiques.
Mais revenons vite à ce qui nous préoccupe et devrait préoccuper au plus haut point tout lecteur de ce blogue sincèrement semper idem.
Oui ! C’est affreux et humainement incroyable mais la synaxe montinienne est un DÉICIDE en bonne et due forme ! L’expression « Dieu de l’Univers » est d’origine kabbalistique.
Une synaxe déicide est donc par essence parfaitement INVALIDE en ce sens que ne s’opère pas la transsubstantiation du pain et du vin. Sous ce rite idolâtre — car nulle créature ne peut « adorer » du pain ou du vin même si c’est le « fruit du travail des hommes » — se cache en réalité une ambiguïté satanique caractérisée. C’est cette ambiguïté qui rend ce rite synaxial monstrueusement sacrilège et luciférien. En effet, le déicide s’accomplit de manière non sanglante tout comme le rite sacrificiel catholique. Il possède donc une réalité opérative qui le rend propice à l’infusion véritable de grâces démoniaques. Au niveau des simples fidèles, qui pour la plupart « communient » sacramentellement à cette eucharistie dévoyée, ce rite aura pour résultat de les enfoncer davantage chaque jour un peu plus dans l’endurcissement de leur cœur, dans l’aveuglement de leur raison et de leur intelligence, rendant ainsi de plus en plus improbable un éveil à la foi catholique et de moins en moins possible une véritable conversion.
Ce sera encore plus grave au niveau des « célébrants » ; il faudra alors distinguer tous ceux dont l’ordination est invalide et qui ne sont donc pas prêtres mais de simples laïcs déguisés en prêtres… (et ils sont l’immense majorité des ‘clercs’ de la secte !)…et les très rares vrais prêtres et évêques, dont on peut, à leur sujet, véritablement parler d’apostasie s’ils ont le malheur d’adhérer malicieusement au conciliabule du Vatican d’Eux. Pour ceux-là on peut vraisemblablement craindre pour leur salut éternel, pour les autres aussi mais à un degré moindre, car ils n’ont reçu aucune des grâces attachées aux fonctions saintes et sacrées… À Dieu seul le jugement et je me garderai bien ici d’envoyer en enfer qui que ce soit même s’il est permis à tout catholique de se faire une opinion en rapport avec ce que nous enseigne l’Église à ce sujet.
Quant aux malheureux traditionalistes qui se laisseraient aller à de telles dérives sous les prétextes humains et circonstanciels les plus fallacieux, ils consommeraient alors leur propre condamnation, rendant leur aveuglement encore plus coupable et pertinace que leurs ex-frères dans la foi.
J’ai toujours dit qu’il fallait autant que possible littéralement fuir ces nouveaux rites et ne pas pénétrer sans motif grave et valable dans tous ces édifices jadis consacrés et désormais livrés aux démons. Dieu d’ailleurs ne cesse de nous donner des signes de Son abandon des anciens lieux consacrés : vols, sacrilèges, déprédations, etc…. y sont de plus en plus fréquents et la plupart des églises de campagne sont désormais fermées six jours sur sept ! Dieu et les anges les ont désertées depuis belle lurette, depuis au moins la première célébration sacrilège de la synaxe déicide de Paul VI !
Depuis de nombreuses années, j’ai toujours été convaincu que le rite conciliaire était invalide… avec toutes les conséquences surnaturelles, spirituelles et pratiques que cela suppose. Dire et affirmer cela dans le monde traditionaliste vous fait vite mettre au banc des accusés ! Mais qu’importe…nous n’en sommes plus là maintenant !
Mes soupçons, que j’aurais pu qualifier à l’époque d’intuition positive, se trouvèrent comme renforcés définitivement par un petit opuscule, pas toujours connu dans nos milieux dits « sédévacantistes » et qui s’intitule le « Sacrifice de Caïn » (1). Il faut avoir lu cet ouvrage (ainsi qu’un autre d’ailleurs du XIXème siècle*) pour se convaincre de la perversité du nouveau rite ET accroître prodigieusement son amour et sa connaissance en profondeur du Saint Sacrifice de l’Autel. C’est à dessein que je mets une majuscule à Autel car les faux autels de la synaxe montinienne ne sont que des tables démoniaques, non plus tournées vers le Seigneur, mais des objets propices au déicide non sanglant qui s’accomplit sous les yeux des fidèles ignorants… Que le célébrant ignore ou pas d’ailleurs la portée symbolique et opérative des paroles qu’il prononce et des gestes qu’il accomplit. N’oublions pas que tout ce qui n’est pas à la gloire du Seigneur, l’est automatiquement à celle de Son Adversaire, le Prince de ce monde ! Dans l’un nous sommes dans l’ordre du surnaturel divin, dans l’autre nous sommes dans l’ordre de la magie opérative donc forcément préternaturelle, c’est dire sous l’emprise des démons.
J’ai bien conscience qu’il reste fort peu de catholiques qui croient au surnaturel et que tout ce que je leur dis là va sembler à certains un peu exagéré ou bizarre… Mais la religion ne se résume pas à des rituels et à des obligations rituelles…cela va bien au-delà du conformisme et de l’habitus humains. Nous sommes reliés au divin par des intermédiaires voulus par Dieu (les ordres sacrés, les sacrements, les sacramentaux, etc…) et ce qui est visible n’est qu’une infime partie de l’iceberg qui reste invisible à nos yeux de chair mais éclatant à ceux de l’âme informée par la foi.
D’aucuns douteront encore secrètement de l’invalidité radicale de la synaxe montinienne. Ils douteront sans doute avec les meilleures intentions et arguments du monde. Mais ils ne se rendent pas compte que leurs propres sentiments sont ceux de la chair et de l’affect qu’ils portent à la fois à Dieu et à leur prochain. Heureusement que cela ne fonctionne pas de cette manière ! Car d’une religion incarnée par UN Dieu d’amour, on tomberait vite dans une religion multi-incarnée dans autant d’êtres vivants qu’il y a sur cette terre avec des milliards de sensibilités différentes !!! Autant dire qu’une chatte n’y retrouverait pas ses petits et que la parole de Dieu ne pourrait pas se faire entendre dans de telles conditions !

La synaxe conciliaire
Pour comprendre l’invalidité de la synaxe conciliaire, il faut pratiquer deux vertus : l’Espérance et la Charité. Car c’est toute la foi de l’Église qui est contenue dans les Saints Mystères. On ne peut les comprendre que si l’on garde cette foi pure et intègre qui suppose que ces deux vertus sont au rendez-vous. Sans quoi le culte rendu ne peut être saint et donc plaire à Dieu.
Toutes les ruses, tous les artifices puisés dans les institutions catholiques ont été employés par Paul VI pour mener à bien et imposer sa Révolution Liturgique.
On commence par mettre en place des expérimentations basées sur le volontariat. Par ce biais on distille des changements sans retour bien qu’on assure le contraire dans les textes officiels en latin (double langage) : mise en place de la langue vernaculaire, véritable clé de voute de tout changement…ce qui aura pour effet pervers de crisper certains « intégristes » de l’époque (en gros les années 65-75) sur le problème de la défense du latin, leur faisant parfois oublier des combats bien plus graves et nécessaires. Retournement des autels car le nouveau rite sacrificiel et déicide a besoin de tables pour accomplir son rituel face au public !!! Chacun doit être le témoin passif ou consentant de l’action qui s’opère à la gloire de Satan ! Car chers lecteurs, dites-vous bien, qu’à chaque fois que l’Homme est glorifié, c’est en réalité celui qui règne sur le monde qui l’est ! L’Homme n’est que le cache-sexe du démon, si j’ose m’exprimer ainsi. « On » en a aussi profité pour faire disparaître les prières de protection comme la récitation du dernier évangile (qui déplait fortement aux démons car il prophétise leur défaite finale !) , les prières instituées (en connaissance de cause !) par Léon XIII et surtout la prière à Saint Michel Archange, ennemi officiel de Lucifer et donc de la secte moderniste…
Suivirent des pratiques scandaleuses comme la communion sous les deux espèces (pratique condamnée au Concile de Constance) , comme la manie de la concélébration, des changements dans les habits liturgiques du célébrant, la récitation sous une forme narrative du Canon de la Messe, ce qui rend invalidante la substance de ce sacrement. Forme, matière et ministre sont les maîtres-mots d’un si saint sacrement. S’il manque un seul de ces éléments, le Sacrifice non sanglant n’est pas effectué.
De très nombreux éléments démontrent sans conteste que la synaxe de Paul VI est invalide, impie, blasphématoire et œuvre du Démon.
Je me contenterai dans le cadre de ce modeste article de ne citer que le déplacement de la formulation « Mysterium fidei » dans la consécration du vin. Déplacement qui l’exclut du Canon pour la faire dire par l’assemblée comme introduction à l’acclamation des fidèles… Les Conciles de Trente et de Florence condamnent absolument ce déplacement et cette suppression du Canon rendant la transsubstantiation du vin parfaitement invalide !
Pauvres “fidèles” conciliaires qui vont se croire investis d’un pouvoir de concélébrer avec le Président de l’Assemblée ! Quelle dérision ! Le peuple ne jouit d’aucun droit sacerdotal.
La pratique odieuse ( mais logique ! ) de la communion dans la main viendra couronner le tout ! Ce qui en dit long sur la compréhension eucharistique de tous ces clercs hérétiques de Vatican d’Eux !
Or il est absolument impossible que l’Église promulgue des rites scandaleux et invalides. C’est sans doute évident pour la majorité de mes lecteurs !
La conclusion s’impose donc d’elle-même et je vais faire bref pour ne pas lasser mes lecteurs : Paul VI ne fut pas un vrai pape et la secte conciliaire N’EST PAS ET NE PEUT PAS ÊTRE LA SAINTE ÉGLISE CATHOLIQUE !
Dieu n’expose pas inutilement Son Fils Bien-Aimé aux blasphèmes, sacrilèges et clowneries de la secte montinienne. Alors, chers lecteurs, partez rassurés et cessez de vous scandaliser inutilement : chez EUX il n’y a que du pain et que du vin ! Rendons grâces à Dieu et supplions-le d’abréger l’attente du châtiment qui menace toute chair en ce monde. Nous ne méritons plus d’obtenir davantage…
Pierre Legrand
(*) ouvrage sans doute introuvable mais que je recommande chaudement aux dévots du Saint Sacrifice de l’Autel :
LE SAINT SACRIFICE DE LA MESSE
Par Mgr Herbert Vaughan, évêque de Salford
Société de St Augustin – Desclée de Brouwer et Cie – LILLE 1889
[1] Par PHAZAËL : Le sacrifice de Caïn ; disponible au ESR (10 €+port)
Lien : http://saint-remi.fr/fr/sacrements/505-le-sacrifice-de-cain.html
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