NEQUE IGNORARE MEDICUM OPORTET QUÆ SIT ÆGRI NATURA
« Le médecin ne doit pas ignorer la nature de la maladie. »

Coronavirus COVID-19 :
Si Dieu éprouve les justes et punit les méchants, le Châtiment des nations reste un millefeuille de maux qui doit frapper l’ensemble de l’humanité ; virus affectant l’homme, les animaux et végétaux font partie de la liste dressée par les prophéties. Cette épidémie ne survient ni n’importe où ni par hasard et l’apparition de ce nouveau virus est en parfaite concordance avec les événements eschatologiques annoncés.
— Première hypothèse de travail. Dieu a-t-il décidé d’utiliser la Chine pour initier la grande faillite mondiale annoncée ?
— Nous n’avons que très peu d’indications sur le rôle que doit tenir l’Asie lors des événements liés au Châtiment et au troisième conflit mondial. Toute spéculation est par conséquent hasardeuse mais il n’est pas ridicule de voir, dans le covid-19, une volonté divine de freiner, voire d’arrêter l’expansion chinoise ; et d’atteindre ainsi l’économie mondiale.
On remarque une curieuse symbolique, celle qui frappe de plein fouet le modèle de société chinois, basé sur le commerce et une surveillance intégrale de ses populations. Dieu n’a nul besoin d’employer des moyens spectaculaires pour mettre à bas ce mastodonte antichrétien apparemment invincible. Il Lui suffit d’un simple virus, microscopique, pour paralyser ce commerce qui fait sa force et rendre les millions de caméras de surveillance, que la Chine utilise pour transformer son territoire en prison à ciel ouvert, inopérantes par le port du masque médical.
— Existe-t-il un autre élément permettant de considérer la Chine comme un déclencheur ?
— Oui, à commencer par un élément essentiel, spirituel. Entre trahisons et errances doctrinales, François a passé un accord discret consistant à permettre au gouvernement chinois de nommer les évêques catholiques (pseudo-évêques conciliaires) ; au grand dam des fidèles, déjà en but à d’innombrables persécutions de la part du pouvoir central (1) (2).

Célébration de Pâques dans la cathédrale « patriotique » de Pékin, mars 2018. © AFP / GREG BAKER / AFP
— Un autre indice ?
— Absolument. Face à cette épidémie, les marchés boursiers, par essence spéculateurs, commencent à chuter car, lorsque l’Asie tousse, l’Occident va se mettre au lit. La mondialisation a initié d’innombrables dépendances industrielles qui, aujourd’hui, déstabilisent l’économie mondiale. C’est le problème structurel des systèmes complexes qui se fragilisent à mesure qu’ils se complexifient. Haute technologie, constructeurs automobiles, transports, industrie pharmaceutique et tourisme sont des poids lourds de ladite économie. Quant à la peur des investisseurs, elle représente un puissant moteur de déstabilisations des marchés boursiers et un générateur de violences populaires.
— Cela permet d’entrevoir de prochaines crises majeures ?
— Ce virus est mal connu mais sa longue période d’incubation et sa virulence réveillent la peur ancestrale des grandes épidémies. Son taux de mortalité, d’environ 2 à 3%, est semblable à celui de la grippe espagnole qui, alors que la guerre 14-18 s’achevait, fut à l’origine de 25 à 50 millions de morts. Même si la médecine a fait de significatifs progrès depuis, ce serait une grave erreur de ne pas s’en souvenir.
— Ce virus peut-il précipiter les faillites annoncées ?
— Nous sommes dans les temps concernés. Souvenons-nous de la chronologie laissée par Alois Irlmaier (3) :
1 – Tout d’abord il y aura le bien-être matériel comme jamais !
2 – Puis suivra la perte de la Foi, comme jamais auparavant.
3 – Là-dessus il y aura la perversion des mœurs, comme jamais.
4 – A ce moment-là arrivera un nombre important d’étrangers dans le pays.
5 – Il règnera une grosse inflation. L’argent perdra encore et toujours de sa valeur.
6 – Suivra ensuite la révolution.
7 – Alors les Russes attaqueront à l’ouest pendant la nuit.
Nous en sommes encore au point « 5 » et cela est partiellement rassurant, car le monde ne se trouve pas, pour l’instant, dans une hyperinflation, telle qu’on a pu le voir, entre 1921 et 1924, lors des déboires de la république de Weimar. Il est par contre possible qu’une panique boursière initie le cycle des faillites, la divulgation des dettes abyssales qui rongent le secteur bancaire et les spoliations des comptes privés.
— La peur est l’alliée du virus ?
— Sans aucun doute. Si cette infection continue de progresser, la peur fera autant, sinon plus, de victimes que le virus lui-même. Même si cette propagation virale stagne puis commence à régresser, la crainte de recevoir de Chine des produits contaminés, porteurs du virus, va avoir un fort impact psychologique.
— On commence le stockage des produits de première nécessité ?
— Le moment est venu d’y songer, mais aussi de se soucier de la manière dont on peut produire de la nourriture. Si nous assistons à un retour progressif à la normale, ce sera un bon entraînement pour la suite, laquelle est proche. Dans le cas contraire, stocker de la nourriture durable pour une période de un à trois mois permettra de ne pas se retrouver en situation immédiate de pénurie, de limiter les contacts avec l’extérieur et d’éviter de possibles violences si l’épidémie se transforme en pandémie.
— Ce n’est pas un peu alarmiste ?
— Sans doute, mais mieux vaut prévenir que guérir. Dans ce commencement de rupture de la normalité, où les crises doivent se multiplier, la nourriture va être amenée se raréfier et être l’objet de monstrueuses spéculations. Les prophéties décrivent de terribles famines et mieux vaut anticiper le schéma qui se dessine avec de plus en plus d’insistance. Face à des magasins d’alimentation en rupture de stock, les foules deviennent facilement hostiles et, de l’hostilité à la violence, il n’y a qu’un pas qui est vite franchi. Les magasins pillés ne rouvriront pas avant un bon moment, à supposer qu’ils rouvrent. Dans cette logique de multiples destructions de la normalité, des blessures graves qui surviendront tôt ou tard seront difficilement soignées par les médecins et les hôpitaux déjà, en temps normal, saturés et en proie à l’agressivité qui sévit aujourd’hui. Tout doit s’enchaîner et se tenir, comme l’est une cordée d’alpinistes qui dévissent.
— On ne sait pourtant rien de l’évolution de ce virus.
— C’est vrai et c’est ce qui le rend inquiétant, car il peut muter. On dit que l’optimiste est un pessimiste mal informé et c’est aussi vrai car les choses qui peuvent mal tourner ont souvent tendance à mal tourner. Le covid-19 n’est toutefois qu’un élément des destructions prophétisées. Il ne faut pas uniquement se focaliser sur son évolution mais considérer les destructions sociales et économiques qu’il peut engendrer.
— Il faut à présent guetter l’impression exponentielle de monnaie par les banques centrales ?
— Oui, avec un fort ralentissement de l’économie mondiale et une baisse significative des indices boursiers. C’est ce qui me semble le plus important. Les peuples, déjà en ébullition, ne pourront qu’exploser face à la révélation des abysses de dettes, des corruptions et des spoliations qui les ruineront. Ce virus ressemble au « scrupulus », ce petit caillou dans la chaussure du soldat romain qui paralyse la colonne et provoque la défaite de l’armée.
D’après un article de Claude d’Elendil, CONFLIT MONDIAL : https://conflitmondial.wordpress.com/

Bien chers amis lecteurs bonjour,
Notre Carême 2020 va commencer. Notre pénitence ordinaire ne suffira plus à elle seule à éloigner de la terre tous les maux qui devraient rapidement s’accroître dans les prochaines années à venir. Nous manquons cruellement des pouvoirs sacerdotaux authentiques de vrais prêtres « non un cum et d’oblation pure » qui, par le biais des Rituels, des sacrements et sacramentaux, sont à même de faire reculer les forces ténébreuses de l’Enfer et de ses démons, démons qui, à l’heure actuelle sont partout, y compris et surtout dans nos anciens édifices religieux aux mains de la secte et qui ne méritent plus le nom d’églises ou de cathédrales.
Néanmoins, il reste au laïc l’immense pouvoir de la prière, notamment celles qui sont indulgenciées, ainsi que celui des exorcismes privés dont beaucoup ne sont pas réservés qu’aux prêtres et encore moins qu’aux prêtres exorcistes (ce qui ne veut pas dire qu’un laïc peut organiser sans prêtre une séance de délivrance ou de possession démoniaque !!!c’est interdit !), et sans oublier bien sûr les sacramentaux comme l’eau bénite (la plus facile à utiliser) et le sel exorcisé. Comme j’ai pu maintes fois l’observer, chez les prêtres mais aussi chez les fidèles ordinaires, la rectitude de la foi d’un chrétien se mesure bien souvent à l’utilisation opportune et à la foi profonde qu’il met dans l’utilisation des sacramentaux restant à sa portée.
En cette année de calamités qui commencent, il conviendra aux fidèles de faire des provisions de sel exorcisé, d’eau bénite et de cierges bénits.
Une pénitence extérieure (jeûne, prières, cendres, etc…) sans une conversion intérieure ne saurait avoir quelque effet sur le cœur de Dieu qui, à juste titre, est lassé de nos silences, de nos lâchetés, de nos manques d’intelligences et de la pusillanimité de nos craintes.
C’est pourquoi j’ai voulu commencer ce bien modeste article par cette longue citation (voir plus haut) sous forme de dialogue.
Un catholique semper idem ne doit plus rien ignorer de ce qui se trame dans le camp du mal et se doit d’être averti des mille et un dangers qui guettent son âme s’il reste, de près ou même de loin, una cum (sous toutes ses formes !!! suivez mes regards…) avec cette secte apostate dite « église conciliaire ». Ne plus rien ignorer, au moins dans les grandes lignes, ne signifie pas tout comprendre et tout maîtriser sur tous les sujets. Notre plus grand ennemi intérieur reste notre orgueil et notre suffisance. Et j’ajouterai un point, peut-être le plus difficile et délicat pour tout pécheur, Notre-Seigneur veut que nous renoncions à tout affect pour les gloires et choses passagères de ce monde, et plus particulièrement pour les créatures, notamment celles qui nous sont les plus chères, les plus proches ou les plus attrayantes. Alors ne vous méprenez pas : notre affect reste un bien précieux aux yeux de Dieu puisque c’est Lui qui l’a créé. Loin de Lui l’idée de l’éradiquer ou de le remplacer par je ne sais quelle froideur, indifférence, dureté de cœur, ou pire encore… Non ! IL veut que notre affect s’oriente de plus en plus vers Son Cœur Adorable, au point d’en oublier presque tout le reste… Il nous a tant aimés, qu’Il désire le plus petit signe d’affection de notre part. Pourquoi avons-nous si souvent trop l’impression qu’il nous en demande trop, voire même que c’est au-dessus de nos forces ? Pour deux raisons au moins : la première c’est que nous avons beaucoup de mal, à cause de la faute originelle, à réorienter notre affect vers Dieu, qu’on ne voit pas, et plus particulièrement vers Son Fils adorable qui est mort pour nous et a été crucifié sur la Croix d’ignominie. La seconde, c’est que nous avons contracté tout au long d’une vie de péché, beaucoup de réflexes et de mauvaises habitudes dont il est très difficile, sans le concours de moyens surnaturels, de se débarrasser.
Sans la grâce de l’amour de la souffrance, amour expiatoire s’il en est, il n’est guère possible à un être humain ordinaire d’orienter son affect vers un crucifié tout meurtri, sanguinolent et martyrisé. Il faut passer soi-même par les fourches caudines de la souffrance pour accepter de voir se réorienter toutes les puissances de notre âme vers la Personne Adorable de Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai Homme ! Le détachement doit précéder la réorientation. Et c’est la souffrance, en union avec celle de Notre-Seigneur sur la Croix, qui sera en quelque sorte le « révélateur » (comme en chimie !) de notre détachement et de notre difficile réorientation.
Pour terminer cet article, je vais me contenter d’emprunter à une mystique bien connue de la plupart de nos lecteurs, cet extrait qui est une sorte de dialogue revendicatif entre Dieu et Satan, Lucifer se posant ici en roi triomphateur de l’Univers, annonçant aux peuples et masses en voie de damnation la couleur de ce qui les attend s’ils ne se convertissent pas à temps… et à contre-temps, car plus le mal avance, plus la destruction des nations devient une réalité concrète, plus il sera difficile aux masses, y compris conciliaires, de se convertir. L’aveuglement étant par excellence la marque du châtiment des vivants, châtiment voulu par Dieu comme l’expression la plus parfaite de Sa Justice et de Sa Miséricorde.
Le défi lancé à Dieu par Satan :
« Un temps viendra, fort loin, reprend le Seigneur, où tu posséderas dans le monde une multitude si grande que ton partage dépassera le mien. Tu deviendras grand conquérant pour un espace de temps qui sera trop long et qui, cependant, sera fort court. Pendant que tu feras la conquête de multitudes, j’opérerai des prodiges éclatants et un tremblement de terre, au moment où le monde sera près de périr, au moment où tu triompheras d’une victoire sans mesure… quand presque toutes les parties du monde et l’Europe entière se soulèveront les unes contre les autres. Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à moi dans le repentir. »
« …Au commencement de ce temps, dit-il, j’userai de tout blasphème et de toute chose injuste pour la destruction de votre Royaume… je transformerai tout en outil de travail contre vous. D’abord je creuserai ce lieu où le plus grand nombre habite…
« Vous n’ignorez pas quel il est, dit la Flamme, je creuserai ce lieu (Paris) sur lequel vous ferez tomber la foudre… vous détruirez le premier, et, moi après vous, j’achèverai tout ; je ferai un décombre tel qu’il n’en a jamais existé.
— Je couvrirai les miens d’une protection de tendresse, dit le Seigneur.
— Je jetterai une révolte entre les vôtres et les miens, reprend Satan ; je soulèverai tous les rois ; je mettrai une division qui conduira à une guerre civile dans tout l’univers.
— De mon côté, continue le Seigneur, j’enverrai ma Justice : des punitions, des miracles, des morts, des fléaux, des pestes, des maladies inconnues…
— Je renverserai le temple de vos prières, clame Satan ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. Tout ce qui, en temps de paix, réside dans vos temples sera brisé, traîné dehors, réduit en poussière par les miens.
— Je montrerai, affirme le Seigneur, que je suis le Roi Éternel. J’écraserai, sous la foudre du ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai mon peuple ; je le préserverai des fléaux ; je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que je te laisse pour le moment. »
La Flamme dit que la douleur est près d’entrer dans les cœurs et l’Enfer prêt à entonner le grand chant de sa victoire. »
La Fraudais : (30 août 1880).
Pierre LEGRAND, en ce Mercredi des Cendres 26 février 2020.
[1] https://www.breakingisraelnews.com/145565/china-dicating-to-pope-appointment-of-bishops-in-secret-deal-with-vatican/?
[2] https://www.franceinter.fr/emissions/geopolitique/geopolitique-27-septembre-2018
[3] Alois Irlmaier (1894-1959) était sourcier, puisatier et constructeur de fontaines, à Freilassing, un petit village bavarois. Alois avait reçu un don de naissance : aucune source ni cours d’eau souterrain ne pouvait lui échapper. (cf. https://touteslespropheties.wordpress.com/2017/09/16/alois-irlmaier/)
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