Le Clown François célébrera les 500 ans de la ‘Réforme’ luthérienne
Cave Ne Cadas
Publié le 28 septembre 2016
L’anti-Pape François ira en Suède le mois prochain… pour commémorer les 500 ans de la ‘Réforme’ de Luther… moine apostat, et corrupteur d’une religieuse apostate, ami de la table et de la taverne, insipide et grossier plaisant, ou plutôt impie et sale bouffon, qui n’épargna ni pape ni monarque, d’un emportement d’énergumène contre tous ceux qui osaient le contredire, muni, pour tout avantage, d’une érudition et d’une littérature qui pouvaient imposer à son siècle ou à sa nation, d’une voix foudroyante, d’un air altier et tranchant ; tel fut le « nouvel évangéliste », ou, comme il se nommait, le « nouvel ecclésiaste » qui mit le premier l’Église en feu, sous prétexte de la réformer…
Le 26 juin 2016, à l’occasion de sa conférence de presse au cours du vol de retour d’Arménie, FrançoisØ a fait l’apologie de l’hérésiarque Martin Luther, justifiant sa révolte et cautionnant sa doctrine hérétique sur la justification, et donnant au passage, comme à l’accoutumée, un abject coup de griffe à l’Église catholique. Voici ses déclarations :
« Je crois que les intentions de Martin Luther n’étaient pas erronées : c’était un réformateur. Peut-être certaines méthodes n’étaient-elles pas justes, mais à l’époque […] nous voyons que l’Église n’était pas forcément un modèle à imiter : il y avait de la corruption dans l’Église, il y avait de la mondanité, il y avait de l’attachement à l’argent et au pouvoir. Et pour cela, il a protesté. Ensuite, il était intelligent, et il a fait un pas en avant en expliquant pourquoi il faisait cela. Et aujourd’hui, luthériens et catholiques, avec tous les protestants, nous sommes d’accord sur la doctrine de la justification : sur ce point si important, lui ne s’était pas trompé. » (1)
Le lecteur lira avec profit le décret sur la justification promulgué le 13 janvier 1547 lors de la sixième session du Concile de Trente (2) :
« Si quelqu’un dit que les intentions de Martin Luther n’étaient pas erronées, que c’était un réformateur, que l’Église à son époque n’était pas un modèle à imiter, qu’aujourd’hui, luthériens et catholiques sont d’accord sur la doctrine de la justification et que, sur ce point, Luther ne s’est pas trompé, qu’il soit anathème. »
Tout d’abord, le portrait que brosse FrançoisØ du réformateur est plus qu’erroné. Que l’Église humaine ait eu besoin, en ce temps-là, et en bien d’autres d’ailleurs, d’une réforme dans le domaine des mœurs et de la discipline ecclésiastique ne légitime en aucune façon la révolution doctrinale, dogmatique, de Luther comme le prétend le Clown Blanc François. D’autant moins que l’Église catholique a démontré qu’elle savait se réformer, le Concile de Trente acta cette réforme disciplinaire, tout en préservant le dogme immuable de la foi.
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