JMJ = magnifique agence matrimoniale !
« Les JMJ, c’est un peu comme une agence matrimoniale »

Des jeunes conciliaires rassemblés pour une veillée au Campus Misericordiae à Brzegi, en Pologne, le 30 juillet 2016 dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse. Photo – AFP – WOJTEK RADWANSKI
Cracovie (Pologne) (AFP) – « Les JMJ, c’est un peu comme une agence matrimoniale », lâche Sophie Jubin, 20 ans.
Venue à Cracovie pour les Journées Mondiales de la Jeunesse avec son petit ami Jérémie, Sophie a déjà trouvé l’amour. Elle peut maintenant s’amuser à observer les tribulations amoureuses de ses camarades. « Dans notre groupe, il y a cinquante garçons pour cent cinquante filles. Clairement, les filles sont déçues », raconte la jeune Suisse de Fribourg.
Ensemble depuis deux ans et demi, le couple vit ses premières JMJ à deux. Samedi soir, ils ont participé à la grande veillée organisée à Brzegi, à quelques kilomètres de Cracovie. Catégoriques, ils assurent que cela leur « permet de se retrouver, en plongeant à deux dans une vie de prière ».
Des émotions dupliquées mais aussi un certain enseignement de l’amour à appliquer dans la vie quotidienne, c’est ce que retiennent les deux jeunes de leur présence aux JMJ. « On sait que si on ne se base pas sur notre foi, ce sera plus compliqué de faire durer notre relation », ajoute Sophie, faisant allusion au nombre croissant de divorces aujourd’hui.
– La chasteté –
Ces jeunes croyants ne se retrouvent pas dans certains comportements de la société contemporaine : « Par exemple, sur la chasteté, nos amis non-cathos ne comprennent pas. Ici, ça fait plaisir d’être avec des gens qui nous comprennent », explique la jeune fille, recueillant l’approbation de son petit ami de 22 ans.
Les JMJ, une occasion de lier des amitiés fortes. Et plus, si affinités. Allongés sur l’herbe l’un contre l’autre, au beau milieu des tentes colorées des pèlerins, Aleksandra et Ignacio sont « presque en couple ». La Polonaise et le Madrilène n’étaient pas venus trouver l’amour, mais « le destin fait bien les choses », sourit Aleksandra, originaire de Varsovie. Malgré la distance, tous deux ont prévu de se revoir après les JMJ. Aleksandra a déjà reçu son invitation pour Madrid.
Cupidon s’est également invité dans l’agenda de François, qui a rassuré les jeunes lors de son apparition à la fenêtre du palais de l’archevêché mercredi : « Dans un mariage, parfois les assiettes volent, mais ne soyez pas effrayés par ces scènes. N’allez jamais vous coucher sans avoir fait la paix, car une +guerre froide+ le lendemain peut s’avérer très périlleuse ».
« Demandez toujours à votre épouse ou votre époux son avis, et n’imposez jamais le vôtre », a conseillé François Ø.
© 2016 Agence France-Presse.
Après un ancien chanteur de cabaret déguisé en prêtre (Michel-Marie Zanotti-Sorkine, voir ICI et LÀ) la Secte conciliaire a maintenant un un ancien danseur professionnel déguisé en prêtre…
Ce conciliaire du diocèse d’Évreux (Eure) est un ancien danseur professionnel, il est notamment passé par le ballet de Düsseldorf en Allemagne.
Ancien danseur professionnel, Franck Legros a profité d’un concert du groupe mexicain Tériso pour exécuter une “danse complètement folle qui a complètement conquis les pèlerins autour de lui”. « Un des séminaristes nous a aidé à organiser un petit concert de rue pour les pèlerins et avec l’ambiance, le “prêtre” s’est mis à danser », raconte un membre de Tériso, qui jouait la chanson et sur laquelle ondulait le pseudo-ecclésiaste de la secte marrane.
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