Coronavirus COVID-19 : Arme de la Mondialisation !
Nouvel Ordre Mondial : « Rien ne sera jamais plus comme avant. »
Ça y est ! on y est…
Depuis un certain temps quelques questions nous taraudaient :
1°
Pourquoi Alexandre Adler — d’origine juive (allemande et russe) ; F∴M∴ membre d’une Super Loge ?? il a participé à une réunion du Bilderberg en mai 2003 à Versailles… — publiait en 2009 aux éditions Robert Laffont un livre intitulé Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? dans lequel la CIA avait prévu tout le scénario du coronavirus il y a plus de dix ans :
Voilà une information qui va probablement être classée “complotiste” malgré le fait d’être parfaitement sourcée.
En 2009, Alexandre Adler publiait aux éditions Robert Laffont un livre intitulé Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ?
Alexandre Adler, journaliste et écrivain, franc-maçon à la Grande Loge Nationale de France, administrateur de l’Union libérale Israélite de France, conseiller de Roger Cukierman lorsque celui-ci présidait le CRIF, participant à une réunion du très mondialiste Bilderberg en 2003, est un ami personnel d’Henry Kissinger, ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis.
Le livre dont il est question ici était simplement présenté par Alexandre Adler. Son contenu était pour l’essentiel la traduction en français d’un rapport de la CIA rendu public.
Ce rapport de la CIA envisageait différentes situations.
Deux pages de ce livre retiendront particulièrement l’attention aujourd’hui. Tout le scénario du coronavirus y est minutieusement décrit.
Alexandre Adler, un émule de Jacques Attali
Un peu plus tard, le 3 mai la même année, Jacques Attali, conseiller écouté de tous nos présidents de Mitterrand à Macron (dont il fut l’un des parrains en politique), nous faisait part de ses fantasmes et de ses espoirs morbides dans le magazine L’Express quant à l’avenir de l’Humanité alors confrontée à la pandémie de grippe A (2009/ 2010), le même virus H1N1 qui causa une centaine de millions de morts entre 1918 et 1919 (la contamination s’effectuant, comme pour le Covid-19 par voie aérienne, toux et éternuements)… Écoutons le triste sire Attali : « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur… La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes [car elle pourrait], mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, [permettre] la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé… Et il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine – inévitable – on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial ».
2°
Pourquoi William Henry Gates III, dit Bill Gates — F∴M∴ membre de la Super Loge “Compas Star Rose – Rosa Stella Ventorum” ; devenu, grâce au succès commercial de Microsoft, l’homme le plus riche du monde (selon le classement Bloomberg) de 1996 à 2007, ainsi qu’en 2009, et de 2014 à 2016… — fait en 2015 une série de conférence pour nous dire : « La prochaine épidémie ? Nous ne sommes pas prêts » :
En 2014, le monde a évité une terrible épidémie mondiale du virus Ébola grâce à des milliers de travailleurs de la santé désintéressés – plus, honnêtement, grâce à beaucoup chance. Avec du recul, nous savons ce que nous aurions dû faire mieux. Il est donc maintenant temps, suggère Bill Gates, de mettre toutes nos bonnes idées en pratique, de la planification de recherche de vaccins à la formation des agents de santé. Comme il le dit, « il n’y a pas lieu de paniquer… mais nous devons nous y mettre. »
Nous voici donc arrivé au moment où les loups sortent du bois… et nous nous rendons compte que ces faits (1°) était délivré pour avertir la population, (2°) était délivré pour convaincre la population, qu’il était vraiment temps d’accepter le Nouvel Ordre Mondial qui, par son Gouvernement Mondial serait en mesure de nous offrir le meilleur du monde en s’occupant de tous nos problèmes…
La population n’étant toujours pas convaincue !… Les élites mondiales (F∴M∴ , Supers Loges) sont passée à l’acte pour convaincre définitivement la population.
Gordon Brown, envoyé spécial de l’ONU, prône le gouvernement global face au coronavirus, ennemi invisible de l’humanité
« Rien ne sera jamais plus comme avant. » Ces mots résonnent comme un leitmotiv dans les grands médias français depuis le début de la « crise du coronavirus ». Nous allons vers un « nouveau paradigme », clament les analystes, annonçant le changement de tout : manière de vivre en société, de travailler, de soigner, de rémunérer… Gordon Brown, ancien Premier ministre travailliste du Royaume-Uni, envoyé spécial de l’ONU, vient de le dire de manière encore plus crue, puisqu’il appelle de ses vœux un « exécutif provisoire » au niveau mondial pour répondre aux besoins créés par la crise. Selon le journal de gauche britannique The Guardian qui rapporte ses propos, Gordon Brown réclame « un gouvernement global », ni plus ni moins, pour contrer le COVID-19, ennemi invisible de l’humanité.
Gordon Brown a déclaré, selon The Guardian, qu’il faut un groupe de travail composé des leaders mondiaux, d’experts sanitaires et des chefs des organisations internationales, doté de pouvoirs exécutifs pour coordonner la réponse à la crise. Il aurait d’ailleurs souhaité que le Conseil de Sécurité de l’ONU participât au sommet virtuel du G20 présidé par l’Arabie Saoudite, jeudi, le même qui a annoncé l’injection collective de 5.000 milliards de dollars dans l’économie mondiale pour compenser la crise économique entraînée par le confinement d’un milliard d’hommes sur la planète.

Gordon Brown, envoyé spécial de l’ONU, prône le gouvernement global face au coronavirus, ennemi invisible de l’humanité
Gordon Brown : on ne réglera rien au niveau des nations
« Cette affaire ne veut pas être réglée au niveau d’un seul pays. Il faut une réponse globale coordonnée », a déclaré Gordon Brown. Et cela pourra se faire malgré la politique « Amérique d’abord » de Donald Trump, a-t-il ajouté. Cet exécutif mondial qu’il appelle de ses vœux s’attellerait à la recherche d’un vaccin, à sa production et à son achat, tout en empêchant que certains en tirent profit.
Le gouvernement mondial selon Gordon Brown se chargerait aussi de questions économiques, en s’assurant de ce que les efforts des banques centrales soient coordonnés, en empêchant des fuites de capitaux des économies de marché émergentes, et en se mettant d’accord sur les dépenses publiques en vue de soutenir la croissance. Autrement dit, en mettant en place un système unique au niveau mondial pour diriger l’économie. Vous avez dit socialisme mondial ?
Gordon Brown n’a pas oublié de dire que la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International (FMI) devrait obtenir une puissance de feu financière accrue à fin d’atténuer les effets de la crise dans les pays à bas et moyens revenus. Traduit en termes réels, cela signifie demander au pays les plus riches d’abonder les comptes de ces institutions supranationales afin de remplir les caisses des plus pauvres. Vous avez dit redistribution des biens ?
Envoyé spécial de l’ONU, Gordon Brown évoque ouvertement le gouvernement global
Gordon Brown n’est pas un simple ancien Premier Ministre et ancien chancelier de l’Échiquier Britannique s’exprimant comme tant d’autres sur les bienfaits supposés de la gouvernance globale. Il est l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation globale, voix officielle et actuelle, donc, de l’ONU — en même temps qu’il est sur la même longueur d’onde que le Pacte Mondial pour l’Éducation qui devait être lancé à Rome par l’anti-Pape FrançoisØ le 14 mai prochain avant d’être retardé par le coronavirus chinois.
Est-ce la première fois qu’un responsable de l’ONU réclame explicitement la mise en place d’un exécutif global pour régler un problème global ? Cela se pourrait bien. Jusqu’à présent, on parlait de réseaux, de « plus de multilatéralisme » et de « solidarité internationale » : tel était le sens du discours du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, lors du forum de Paris sur la paix en novembre dernier, axé sur « les questions de gouvernance mondiale et de multilatéralisme ».
Le socialiste portugais évoquait les « risques globaux » pour prôner « un système universel, respectueux du droit international et organisé autour d’institutions multilatérales fortes », un « multilatéralisme en réseaux, au plus près des populations ».

Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, prononce un discours lors du Forum de Paris sur la paix dans le Hall de la Villette, en France.
Mais Guterres n’avait pas pensé à citer une éventuelle crise sanitaire parmi les « cinq risques globaux » qu’il s’agissait de prendre en compte. Il y a aujourd’hui un « ennemi invisible » et surtout commun, contre lequel nous sommes — dixit Macron, six fois en un même discours — « en guerre ». Tous ensemble, forcément. Et quelles que soient nos différences, nos divergences, voire nos inimitiés personnelles et nationales. Quelle aubaine pour un mondialiste !
Le coronavirus, l’ « ennemi invisible commun » qui facilite le changement de paradigme
Gordon Brown a donc ouvertement enfourché le cheval de bataille en allant plus loin dans l’exigence d’une réponse commune, qui aurait pour première caractéristique d’écraser par le haut les pouvoirs et les souverainetés des nations. Un exécutif commun au niveau mondial, fût-il provisoire comme l’a déclaré l’envoyé spécial de l’ONU, serait un organisme de pouvoir à part entière, et non de coopération.
Face à « l’ennemi invisible » et commun qu’est le coronavirus, que les populations du monde entier ont appris à craindre comme on craint l’Apocalypse, une telle instance aurait l’avantage d’emporter l’adhésion des hommes. Et ce d’autant que, nolens volens, tant de gouvernements nationaux ont précisément apporté la preuve de leur incohérence et de leurs retournements incessants face au COVID-19. Une incohérence à laquelle a largement participé l’Organisation Mondiale de la Santé, le bras armé sanitaire de l’ONU… On passe évidemment sous silence la réponse réussie de nations comme Taiwan ou la Corée du Sud qui ont, seules, réussi à juguler ou à éviter l’épidémie dont la principale gravité consiste en l’arrivée simultanée de nombreux cas graves dans des hôpitaux mal préparés, en prenant souverainement des mesures appropriées.
Soulignons pour terminer que l’OMS n’a pas tari d’éloges vis-à-vis du gouvernement communiste chinois pour sa gestion de la crise, quand il n’a pas d’ailleurs couvert les incohérences ou les mensonges de ce dernier. Dans un rapport daté du 28 février, mis à jour le 11 mars, une équipe de l’OMS rend hommage à Xi Jinping en particulier et à l’ensemble du pouvoir chinois (communiste) pour sa gestion de la crise, tant pour la prévention, la mise en place de mesures légales de confinement et de traitement des malades, et le retour à la normale. Le recours aux « big data » et à l’intelligence artificielle, et donc de la surveillance généralisée, pour le traçage des populations et des contaminations potentielles y reçoit une approbation explicite.
« La Chine a certainement déployé l’effort d’endiguement d’une maladie le plus ambitieux, agile et offensif de l’histoire », affirmait l’OMS le 28 février.
Avons-nous un candidat pour diriger l’exécutif global provisoire préconisé par Gordon Brown ? Ça y ressemble.
Jeanne Smits
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On comprend mieux aussi pourquoi le Professeur Didier Raoult est ostracisé par les politiques, les media et les pseudo-scientifiques d’une vaste partie de la communauté scientifique et des organisations sanitaires qui appellent à attendre… une validation scientifique rigoureuse…
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